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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Le grand shlem ou échec et mat

Le 07/02/2010

L'année 2009 s'est achevée dans une confusion totale en Union des Comores. L'enchaînement d'un Chapelet d'élections référendaires et législatives aussi bizarres les uns, les autres, à finit par plonger tout le monde dans un fatalisme sans nom.

 

Le terrain de la réflexion politique est abandonné aux parasites de tout bord qui slaloment sur le cime d'une gigantesque vague digne d'un tsunami dans le brouhaha d'une armée des zombies dirigée, côté société civile, par des tonneaux vides et des ivrognes invétérés, instruments de prédilection, côté politique, d'appareils ou clubs d'opportunistes corrompus et insatiables qui ont pour religion le pouvoir pour le pouvoir et rien d'autres.

Jamais, de mémoire de Comorien, une campagne électorale n'a été aussi catastrophique, dégoûtante et hors du sujet proposé aux prétendants à la fonction de représentant d'un peuple souverain et digne de ce statut.


Au premier janvier 2010, tout le monde s'est réveillé avec la gueule de bois, le malaise et le vertige d'un échec, sûrement collectif qui cache mal, mais alors très mal, la victoire à la Purus que certains adeptes de la « religion pouvoir », voudraient laisser croire en étendant à travers la ville de Moroni des étoffes bigarrés sur les poteaux électriques comme signes des coeurs en fête, alors que l'immense majorité de la population affiche une indifférence plus qu'inquiétante de ce remue-ménage d'une minorité d'agitateurs inconscients et irresponsables.


Le taux d'abstention à ces élections malgré la manipulation des suffrages et le bourrage des urnes, en dit long sur cet état d'esprit, d'une indifférence du citoyen vis-à-vis de la course aux titres ronflants qui offrent aux aspirants, le statut d'intouchables au sens indien et lexical du terme et l'impunité reconnue aux vaches sacrées de l'inde, face aux pires des crimes, notamment économiques, en Union des Comores.


Les critères de choix des hommes aux mandats électifs de ce pays, comme aux nominations aux postes techniques de l'administration publique, des entreprises publiques et parapubliques à vocation industrielle et commerciale, ainsi que la qualité des hommes et des femmes auxquels l'Etat décharge certaines des ses missions régaliennes au nom de l'encouragement de l'initiative privée, expliquent plus que tout analyse issue des diagnostiques posés par le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale, l'enlisement de la société comorienne dans l'agadoue de la pauvreté et de la misère les plus intolérables, au seuil de ce XXIème Siècle.


L'impuissance du citoyen comorien face à la démagogie et aux mensonges de la classe politique, le plonge dans une apathie totale où le fatalisme et le désespoir sont aussi visibles, que le nez au milieu du visage. Les gouvernants rafistolent, colmatent les brèches et usent leurs freins pour maquiller leur incompétence et leur culpabilité en instruisant à charge contre des ennemis imaginaires inventés pour mieux abuser de la naïveté du peuple.

 

Tournera, ne Tournera pas !!!
Pour Qui et pour Quel Intérêt ?

 

Décidément, la tournante donne le tournis !Cette formule fondamentalement antidémocratique soufflée aux Anjouanais par les doctrinaires du séparatisme qui sévit au sein du peuple de l'Archipel depuis le 6 juillet 1975 à partir de MAORE, a démontré ses limites depuis le premier Coups d'essais de la Présidence de Ngazidja, incarné par Assoumani Azali Boinaheri. Loin d'avoir servi un quelconque intérêt national, ce pouvoir n'a pas non plus servi l'Ile mandataire, mais il a été exploité comme un fond de commerce par sa famille, ses copains et ses coquins pour s'enrichir illicitement et impunément.

Mis à part quelques chantiers démarrés sans une once de chance de se voir boucler un jour et un fleuve de projets mythiques qui ne relève d'aucun programme réel de développement national, le bilan du mandat confié à l'Ile de Ndzouani incarné par Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI n'a su conjurer ni la malédiction de la famille politique C.R.C d'Azali, ni les effets de l'appétit d'ogre des parasites flatteurs des roitelets du système et hypocrites devant l'éternel.


Pendant que la famille régnante, les copains et les coquins du souverain s'en mettent plein les poches, le peuple comorien croupit dans la misère, vis d'espoir et d'eau fraîche servis après un apéro (apéritif) de démagogie et de mensonges suivit d'un dessert chocolaté auréolé des prières sans foi, accompagnées des rêves d'un an au
delà meilleur dont la garantie n'est pas du ressort humain.

Que faire pour conjurer une telle malédiction avec le mandat de l'Ile de Mohéli ?Que nous réserverait un mandat de l'Ile de Mohéli qui se déclinerait suivant cette logique égocentrique pour se conclure par un désastre aussi pathétique et cynique que celui de ces deux précédents mandats de Ngazidja avec Assoumani Azali et de Ndzouani avec Ahmed Abdallah Mohamed SAMBI ?Est-ce un instinct collectivement suicidaire, ou celui de survit dicté par l'égoïsme (du sauve qui peut) ?

 

Qui vivra, verra !
La médiocratie de Gauliat à Dzaoudzi


Le séparatisme aux Comores est inauguré à Maoré par les « Serrés la main », puis le M.P.M avant de contaminer Ndzouani, depuis le mois d'Août 1975 en réaction au premier acte majeur de sabotage de l'indépendance de l'archipel, le coup d'Etat d'Ali Soilihi.

Ce coup d'Etat parrainé par le dernier haut commissaire colonial du territoire sur ordre expresse de Paris, devait intervenir à moins d'un mois de la naissance de la Jeune République issue de l'acte historique du 06 juillet, la proclamation unilatérale de l'indépendance, pour penser les blessures d'une puissance touchée dans son orgueil, laver l'affront infligé aux yeux du monde au Maitre, par les sujets insoumis de l'Archipel et tuer dans l'oeuf le processus de conquête des autres aspects de la souveraineté national, l'indépendance économique, culturelle, artistique, philosophique etc....


Toute honte bue, cette puissance a continué son oeuvre macabres en exploitant sans vergogne, les faiblesses du jeune Etat pour instaurer et entretenir une instabilité politique chronique, saboter toute velléité d'un décollage économique à partir de l'Ile soeur occupée et transformée peu à peu en Colonie de peuplement créole et Franco
Malgache.

Du 03 août 1975 au 30 avril 1999, la France a fait payer au prix fort à ses nègres insoumis de cet Archipel, leur crime de lèse
majesté du 06 juillet 1975 et l'affront de la reconduction aux frontières du personnel de son administration, après la dénonciation de ses manœuvres néo-coloniales par un Ali Soilihi piqué au vif par la trahison de Marcel Henriy et Moussa Bamana, porteurs devant l'éternel, de l'étendard du séparatisme concocté par Paris dans ces Iles. Assassinats par exécutions sommaires, déportation et empoisonnement des leaders d'opinion et des chefs d'Etat, ont émaillés l'histoire politique du jeune Etat, au rythme des Coups d'Etat conduits, comme par hasard, par le même tristement célèbre Bob Denard, officier supérieur de l'Armée Française à la tête d'une solde des mercenaires en service commandé.

Ce James Bond de tropique a réussit la prouesse de s'introniser Roi de trois Iles, permettre à la France d'asseoir et consolider son occupation de la quatrième, tout en participant au compte de Paris à l'Etat major des forces occidentales en appui à l'apartheid en Afrique du Sud.


Le monarque Denard alias Moustapha Mhadjou, nom comorien d'emprunt, a marqué de ces gros sabots sanguinolents l'histoire politique de cet archipel jusqu'à sa mort et même par delà, du fait des conséquences des actes criminels qu'il a infligé à sa population.


Le parjure, de la France devant l'histoire à propos de la décolonisation de cet archipel pour lequel un de ses Présidents du camp de la droite affirmait devant la presse « qu'elle n'a pas vocation à désunir ce que la nature à uni », après qu'un autre du camps de la gauche cette fois-ci, s'adressant à ses adversaires au sein de leur hémicycle disait « reconnaître le caractère inaliénable de l'indépendance des Comores », ces déjugements et revirement de Paris matérialisés dan la loi scélérate du sénateur Messmer, sont traduit dans le « KWEZI WA MAORE » de Nikola Sarkozy, s'adressant à ses sujets de l'empire colonial à partir de l'esplanade de Dzaoudzi, en janvier 2010.


L'anachronisme de ce baroud de grande puissance en terre comorienne est plus qu'un déni du droit international, un mépris des Résolutions pertinentes de l'ONU, l'UA, La L.E.A, une injure grossière aux usages et coutumes des relations internationales, mais il constitue une éloquente réponse à l'offre de dialogue du Président SAMBI faite lors de la session de l'Assemblée Générale des Nations Unies en Septembre 2009.Une bien bel preuve de l'amitié franco-comorien !


C'est le droit de la force opposé par une puissance qui se veut le Champion toute catégorie parmi des défenseurs des droits de l'homme, à la force du droit, aux Comores.Où est la troisième voie ?


Idarousse Aboudou Mohamed 

Fonctionnaire et membre du Congazi

 

Soirée d’intégration des élèves et étudiants

Le 04/02/2010

L’Association des élèves et étudiants comoriens au Sénégal
L’Association des élèves et étudiants comoriens au Sénégal 

L’Association des élèves et étudiants comoriens au Sénégal (AEESCOS) organise dimanche à Dakar une soirée d’intégration dédiée aux nouveaux membres de la structure, annonce un communiqué transmis à l’APS.

Prévue à partir de 18 heures à la Maison de la Culture Douta Seck, la manifestation se tient sous le haut patronage de l’ambassadeur des Comores au Sénégal, Mahamoud Sollih, et du ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, Aliou Sow, indique la même source.

SG/ADC

 

À découvrir ce week-end : les îles Comores

Le 04/02/2010

Les Comores en images
Les Comores en images 

L'association Accompagnement, spécialisée dans la médiation interculturelle et la solidarité internationale ainsi que l'antenne locale de la Croix Rouge organisent, samedi 6 et dimanche 7, un week-end pour partir à la découverte des Comores, à la salle des fêtes Françoise-Malle. Cette manifestation sera organisée au profit de Haïti Au programme : ...

- > Samedi 6, de 14 heures à 17 heures, les Comores en images avec un reportage sur l'envoi de matériel médical et de vêtements en faveur des habitants de ce pays. Entrée libre.

- À partir de 19 heures, un dîner spectacle sera proposé avec des spécialités culinaires et des danses des îles.

Prix, boissons non comprises, dix euros.

Possibilité de réduction pour les familles.

> Dimanche 7, de 14 heures à 17 heures, les Comores en images. Entrée libre.

Les fonds collectés serviront à des actions de solidarité en faveur d’Haïti.  

Renseignements et réservations à la permanence de la Croix Rouge, place du Général-Leclerc à Thumeries, mercredi et vendredi, de 14 h 30 à 17 heures ou Tél : 09 75 96 21 32, ou 06 11 41 17 29.

 

Sambi a boudé à Addis

Le 04/02/2010

Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Président des Comores
Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Président des Comores 

EXCLUSIF. Selon plusieurs sources concordantes, notre président aurait boudé le dîner du groupe Afrique Australe, en marge du sommet de l’Union africaine en Ethiopie. Pour deux principales raisons.

D’une part, parce qu’il était question de resserrer les rangs autour de la candidature du Malawi à la présidence de l’organisation panafricaine. Or, Sambi avait déjà choisi son camp, celui de Kaddafi au détriment de la solidarité géopolitique. Il le regrettera à jamais. Malgré les espèces sonnantes et trébuchantes distribués par-ci et par-là, le mollah libyen a finalement perdu la partie.

D’autre part, par cette absence au dîner de ses pairs, le chef de l’Etat comorien ne souhaitait pas croiser son ex-ami, Kikwete, avec lequel il est en froid depuis plusieurs mois. En effet, le président tanzanien serait opposé à toute prolongation du mandat présidentiel aux Comores. La raison est simple : il n’a pas aidé le gouvernement comorien à se débarrasser de Mohamed Bacar en 2008 pour permettre à Sambi de faire la même chose en 2010, à travers une tripatouillage de la constitution.

Aux dernières nouvelles, de retour à Moroni, le président comorien pourrait faire escale à Dar-es-salam (contrairement à l’itinéraire initial). Rencontrera-t-il enfin le président Kikwete ? A l’heure qu’il est, difficile de répondre à cette question.

 

 

                                                                                                                                                         I/M/blog

 

Point de vue de : Mouigni Abdou

Le 04/02/2010

Mougni Abdou, Philosophe
Mougni Abdou, Philosophe 

Peut-on déshabiller Mamadou Tanja et Andry Rajoelina pour habiller Ahmed Abdallah Sambi ?

 

 

A quelques jours seulement de la fin de son mandat, le président Ahmed Abdallah Sambi multiplie les déclarations et les fait multiplier par les siens pour s'offrir un bonus malus de deux à trois ans, à la tête du gouvernement comorien. En réalité, cette affaire qui a une forte odeur d'argent ne fera pas reculer Sambi même si un tremblement de terre à la haïtienne" la kaddara Allah", frappe le pays.

Le chef de l'Etat a déjà battu les cartes et rangé ses pions. Une Cours constitutionnelle à la taille de ses bassesses, une Assemblée fédérale téléguidée, une Constitution controversée et verrouillée, une communication monocolore, un discours refrain à l'allure d'un CD usé sont les ingrédients du tripatouillage de la gouvernance de Sambi et des préparatifs d'un coup d'Etat constitutionnel en cours.

 

 

 

 

Aux Comores, l'opposition est déterminée à dénoncer les manœuvres d'un président avachi, insouciant et corrompu et les allégeances d'un gouvernement incompétent qui considère que l'Etat se résume en l'autorité sans le peuple ni même le territoire.

En effet, le peuple ne ressent pas qu'il est encadré et soutenu par le régime. Sambi et son Gouvernement ne disent rien par rapport à la déclaration humiliante de Sarkozy à Mayotte qui se résume en « Mayotte c'est la France ». Le territoire est amputé et Sambi le consent. Mais le discours de l'opposition s'évapore dans l'Océan Indien et entre les HLM que Sambi a construits dans le cadre du projet Habitat.

Sambi s'est vu ironisé à Addis Abeba, lors du dernier sommet de l'Union africaine. Pendant qu'on parle de la marche du continent, du NEPAD, du règlement des conflits en Afrique, de la mondialisation, des changements climatiques, de la crise économique qui traverse le monde, Sambi se cantonne dans sa position d'usurpateur.

 

 

 

 

L'allocution de Sambi est maigre. Très maigre et pauvre d'idées. Aucune contribution dans le débat général dans le sens d'apport d'idées et de perspectives. Sambi a préféré la langue de bois. Une vraie xilolalie.

Il parle de ses réformes, de son harmonisation, de sa majorité, de son allégeance aux Iraniens et aux chiites, de ses projets fantômes, de son pourcentage dans les affaires, de ses harems,de ses ambitions par rapport au pays, de la nécessité de prolonger son mandat,de tout et de rien. Le discours de Sambi n'est qu'une provocation à l'endroit de l'Union africaine. L'Union Africaine est en train de gérer les crises et les conflits en Afrique. Il n'est plus question désormais de coups d'Etat militaires mais plutôt de coups d'Etat constitutionnels.

 

 

 

 

En ligne de mire, Madagascar et le Niger. On parle de résolution dissuasive dans la gestion des changements des Constitutions pour prolonger les mandats présidentiels. Peut-on déshabiller Mamadou Tanja et Andry Rajoelina pour habiller Ahmed Abdallah Sambi ? N'a-t-on pas fini avec la politique de deux poids et deux mesures ?

Dans les coulisses du sommet de l'Union Africaine à Addis Abeba, tout le monde est soulagé de la fin de la présidence de Kadhafi, complaisant avec les Tanja et les Sambi. Désormais, un anglo saxon, en la personne de Mutarika à la tête de l'Union africaine avec l'appui de l'Afrique du Sud, laisse présager une nouvelle ère et espérer que la démocratie sera sauvée en Afrique.

En tout cas, le soutien qu'affichait Kadhafi aux usurpateurs à Madagascar, en Mauritanie, au Niger, aux Comores et en Guinée est une page tournée, à l'Union Africaine. En ce qui concerne Madagascar, c'est la SADC qui a proposé le texte de la résolution finalement adoptée par le sommet de l'Union Africaine. Sambi qui est à la porte de la SADC pour une adhésion des Comores sera sans doute surpris par la Résolution adoptée par l'Union africaine, à l'initiative de l'Organisation régionale.

En effet, l'Organisation panafricaine vient d'adopter une résolution qui marque la volonté du continent de refuser les coups d'État, en se dotant de pouvoirs de suspendre les gouvernements qui modifient les Constitutions pour étendre leur pouvoir sans un consensus au sein de la classe politique et de la société de leur pays, et de sanctionner les militaires qui tentent de légitimer par la voie des urnes les prises de pouvoir par la force.

C'est dans cet élan que je voudrais dire à M. Ahmed Ben Said Djaffar, Ministre des Relations Extérieures des Comores de tempérer son discours et d'obtempérer la réalité des faits. Djaffar qui ignore le processus de réconciliation nationale aux Comores veut briller maintenant en devenant la porte parole de Sambi, en matière de politique intérieure. Apparemment, il a oublié que sa première responsabilité en tant que Chef de la diplomatie est de nous éclairer sur la gestion de la question de Mayotte et de faire, à l'attention des Comoriens, un simple communiqué au sujet de la visite du Président français à Mayotte.

 

 

 

 

Un conseil à mon ami Djaffar ! Allez aux urnes comme Me Mzimba et Me Fahmi au lieu de vous réfugier dans le turban de Sambi avant de nous parler de politique intérieure.

Mouigni Abdou
Professeur de philosophie

 

 

 

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