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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Vers la reprise des négociations

Le 24/05/2010

Le président Ahmed Abdallah Sambi
Le président Ahmed Abdallah Sambi 
C'est ce lundi 24 mai que devaient se retrouver des représentants du pouvoir fédéral comorien et des représentants des trois îles afin de discuter d'un calendrier électoral et d'un gouvernement consensuel, conséquence de la fin du mandat du président Sambi qui s'achève dans 48 heures, le 26 Mai. L'opposition parlementaire comorienne se félicite de la décision de la Cour constitutionnelle comorienne qui a déclaré la fin du mandat, mais a accepté le principe de son maintien durant une période intérimaire.

 

Ils soufflent le chaud et le froid, les représentants de l’île de Mohéli car le président Ahmed Abdallah Sambi, dont le mandat s’achève le 26 mai prochain, a tout de même réussi à prolonger sa présidence jusqu’à fin 2011.

 

Au terme d’une réforme constitutionnelle contestée et d’un Congrès boycotté par l’opposition, la Cour constitutionnelle a validé la décision, mais en fixant les règles pendant cette période qu’elle qualifie elle-même d’intérimaire. Reste maintenant la date des élections qui théoriquement devraient porter à la présidence de l’Union des Comores un ressortissant de l’île de Moheli.

 

Pour Maître Ibrahima Nzimba, opposant au maintien du président Sambi et défenseur de la présidence tournante : « C’est une décision qui réitère la fin du mandat du président Sambi le 26 mai 2010 à minuit et qui ouvre une période intérimaire qui veut dire que le président Sambi n’est plus le président et qu’il occupe une fonction d’autrui et, qu’à partir de cet intérim, il faudra bâtir quelque chose de consensuel jusqu’à l’élection nouvelle du président de l’île de Mohéli. »

 

« Anticonstitutionnel et mauvaise interprétation de l’arrêt de la cour», répond Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Le député assure que le président Sambi est légaliste : « Nulle part, il n'a été indiqué qu’il faille nécessairement que ce soit un originaire de l’île mais il y a eu le précédent comorien en juin effectivement, et le futur président sera certainement mohélien. Très sincèrement, si le président Sambi  voulait rester au pouvoir, il aurait modifié la Constitution comme le font beaucoup de chefs d’Etat africain et se représenterait autant qu’il le voudrait. »

Les négociations devaient reprendre ce lundi après-midi.

 

Rfi

 

Le consul honoraire des Comores « viré »

Le 24/05/2010

L`ancien consul honoraire des Comores, Stéphane Salord
L`ancien consul honoraire des Comores, Stéphane Salord 
Les 80 000 Comoriens de Marseille n'ont plus de consul honoraire. Stéphane Salord a été démis de ses fonctions, il y a quelques jours. Ce qui a jeté un trouble dans la communauté. Que s'est-il passé ?

 

Difficile de savoir, Stéphane Salord ne préférant pas (encore) s'exprimer. Il s'agirait d'une affaire politique qui survient en pleine crise constitutionnelle dans l'archipel.

 

Selon un Comorien qui connaît bien la communauté et la situation dans son pays, le consul honoraire "paierait son opposition au gouvernement". "Nous allons nommer un nouveau consul, explique de son côté Abdallah Mirgane, l'ambassadeur à Paris. Les accréditations sont parties au Quai d'Orsay. D'ici juin, on devrait être fixé".

 

                                                                                                                                                       La Provence

 

Une vedette prend feu aux Comores

Le 24/05/2010

Le Gouverneur de Mohéli, Mohamed Ali Said.
Le Gouverneur de Mohéli, Mohamed Ali Said. 
Une vedette a pris feu dimanche au port de Mohéli, aux Comores, faisant un mort et un blessé grave, a-t-on appris à Moroni, la capitale du pays.

La vedette Mlezi III avait quitté Moroni la veille avec à son bord une cargaison de pétrole.


L'embarcation a pris feu alors que le débarquement de sa cargaison avait déjà commencé, précise un témoin joint au téléphone à Fomboni, la capitale de l'île de Mohéli.

Mlezi III est l'une des trois vedettes de transport appartenant au gouverneur de Mohéli, Mohamed Ali Said.

 

                                                                                                                                                       Bangwenet

 

Boléro : « Tendez la main à vos frères »

Le 24/05/2010

Hamada Madi Boléro
Hamada Madi Boléro 
Quelle est la véritable nature de la politique d` Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ? Cette politique semble indécise. Pas de sécessionnisme, ni rejet franc de sa critique, mais maintien new look des intérêts de l`Union sacrée. Il a pris le flambeau national tout en douceur et loyalement accepté par le monde entier car c`était une chose rare dans le continent noir. Le temps de la victoire est passé, il veut reconquérir un autre destin. Donc une politique à géométrie variable, qui voudrait montrer une rupture, un sécessionnisme radical, caché sous un matelas de mensonges et d`hypocrisies et  qu'il donne l'impression de vouloir garder en réserve pour satisfaire l'opinion.

Ces derniers jours (fin officielle de son mandat), on retrouve un Sambi en profil bas, attendant probablement la baguette magique pour faire croire à son dernier round... Mais quand le tyran aurait disparu, n'aura-t-on pas un robinet cassé et un tuyau qui déversera sans contrôle l'hémorragie d`un sécessionnisme
survolté ?

 

C'est avec beaucoup de réserve que nous publions ici cette lettre. Jusqu'à plus ample information, cette lettre de l` Ancien Chef de l’Etat par intérim de l’Union des Comores, Hamada Madi Boléro, qui date de plus de trois ans (juin 2007) semble par cette actualisation se prêter à une volonté, dont nous connaissons bien la source. Alerter les consciences du pouvoir contre un vague complot non identifié, mais qui serait hébergé par l`immoralité.... Est-ce que cela aurait un lien avec le climat actuel des relations entre le pouvoir et le peuple ? La réponse désignerait la source véritable.

 

A Son Excellence Monsieur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi

Président de l’Union des Comores


 

Excellence Monsieur le Président de la République,


Plus d’une année déjà depuis que les Comoriens vous ont choisi pour présider aux destinées de notre pays conformément à la constitution de l’Union des Comores suite à des dures et âpres négociations qui ont abouti à la signature de l’accord de Fomboni par toutes les parties comoriennes et garanti par l’Union Africaine et l’Organisation Internationale de la Francophonie.

 

Monsieur le Président, pour avoir été au premier plan de ces négociations, je vous assure que l’accord obtenu n’a satisfait ni la partie Anjouanaise qui prônait l’indépendance de l’île d’Anjouan vis-à-vis de l’Etat comorien, ni la partie Mohélienne qui exigeait à ce qu’un plan dit de rattrapage économique de l’île de Mohéli soit inclus dans le document final estimant que c’est Mohéli qui a trop souffert de la gestion chaotique de la République Fédérale Islamique des Comores, ni la partie Grande-Comorienne qui, chiffre à l’appui, soutenait la thèse selon laquelle c’est Anjouan qui a bénéficié de la part de lion des investissements relatifs au développement des Comores et que par conséquent une modification du cadre institutionnel incluant les symboles de l’Etat dont son emblème, sa devise et sa dénomination n’avait aucune raison d’être, ni l’Opposition Nationale qui estimait que la crise séparatiste n’est que la conséquence de la crise économique aux Comores, ni la partie Gouvernementale qui demandait encore du temps pour que les comoriens trouvent à travers un débat profond, franc et sincère, les meilleurs mécanismes de fonctionnement de l’Etat qui affirmeraient l’unité du pays et sauvegarderaient son intégrité territoriale tout en octroyant aux îles une très large autonomie, ni enfin l’Union Africaine, l’Organisation Internationale de la Francophonie, signataires de l’accord et l’Union Européenne représentée par la France et la Ligue des Etats Arabes qui n’ont cessé d’attirer l’attention des parties comoriennes sur la complexité et la lourdeur du nouveau cadre institutionnel auquel les comoriens étaient parvenus.

 

Toutefois, c’est pourtant cet accord qui a permis à ce que notre pays retrouve la paix, la sécurité et surtout qu’il retrouve la place qui est la sienne dans le concert des nations au premier chef desquelles l’Union Africaine. C’est également grâce à cet accord qui ne satisfasse aucune partie, que le pays a pu organiser des élections présidentielles des îles autonomes et de l’Union, des élections législatives des îles autonomes et de l’Union avant de mettre en place l’une des institutions phares du nouveau cadre institutionnel, la Cour Constitutionnelle. Et enfin, c’est conformément à cet accord obtenu dans la douleur que les Comores, avec l’appui de la communauté internationale dont l’Union Africaine et l’Afrique du Sud, ont organisé l’élection présidentielle consacrant la tournante qui vous a permis d’être désigné par la majorité des Comoriens dans la démocratie comme Président de la République.

 

Excellence Monsieur le Président,


Lorsqu’un pays sort d’une situation de crise qui a failli anéantir des efforts centenaires, des sacrifices douloureux consentis par ceux qu’on appelle communément chez nous les dinosaures qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour bâtir et préserver une nation, il fut très maladroit de votre part d’avoir enchaîné par une chasse aux
sorcières, aux intimidations, aux mensonges juste parce que vous vouliez vous accaparer de tous les pouvoirs en créant une situation de haine d’abord dans l’île où avait pris naissance le séparatisme (Anjouan), ensuite pratiquer une politique chauviniste et d’exclusion dans l’île qui jusque là avait su garder la sérénité et le calme (Grande-Comores).

 

Vous avez tellement promis des miracles que vous pensiez pouvoir désigner les autres comme responsables de votre échec. Vous serez le seul et l’unique responsable de vos actions et les Comoriens retiendront de vous entre autre, que vous avez tout fait pour les diviser en usant des manoeuvres d’un Etat policier, clanique et familial. Vous n’avez pas su faire la jonction entre l’idéal et le possible. Vous avez même réussi à vous aliéner ceux qui, aujourd’hui,
auraient dû être vos alliés objectifs.

 

Croyez-vous très sincèrement que des anciens Premiers Ministres, des anciens Ministres de la République qui ont démontré depuis longtemps leur patriotisme dans des moments très difficiles que notre pays a traversés lors des différentes déstabilisations de l’intérieur comme de l’extérieur, ou qui ont eu à prendre des décisions étatiques favorables à la paix civile dans notre pays tout en mettant en péril le plus souvent leur vie ainsi que celle de leurs  familles respectives et de surcroît anjouanais comme vous et qui ont perdu leurs biens en voulant lutter contre le séparatisme, croyez-vous disais-je Monsieur le Président, qu’ils sont subitement devenus séparatistes et ennemis du peuple ?

 

Vous ou votre entourage, n’avez pas toujours compris que vous êtes dans l’impasse ?


Comment comprendre que c’est après la signature d’un accord, l’adoption d’une constitution et la mise en place des institutions nationales dans lesquelles siègent toutes les îles, que vous décidez de faire couler le sang aux Comores ? Excellence Monsieur le Président, n’êtes-vous entrain de régler un problème anjouanais reléguant au second plan le sens même de votre premier rôle de MODERATEUR et GARANT de l’unité nationale ?

 

Monsieur le Président, et pourtant ce ne sont pas les cadres qui manquent à Anjouan ni les patriotes !


Pourquoi ne pas rechercher encore à reconstituer d’autres équipes ?

Mais si vous y croyez toujours ou comme dit la rumeur que c’est votre entourage qui vous pousse hors de votre rôle premier, alors je me donne la peine de vous apporter ma très modeste contribution dans vos réflexions.

 

Monsieur le Président, avec vos agissements, vous avez divisé l’armée et en tant qu’ancien Ministre de la défense, je vous plains car l’armée comorienne ne devait en aucun cas subir une humiliation car cela détruit le moral de la troupe. Même dans les grands pays où les forces de sécurité sont mieux organisées et bénéficient des avantages dus à toute force de sécurité, en cas de problème, cela se règle à l’intérieur de l’armée avec ses institutions et non
dans la rue. L’armée doit pouvoir être forte psychologiquement.

 

Ensuite, les forces de sécurité doivent toujours se reconnaître en un chef et cette hiérarchisation de son fonctionnement interne est un gage d’unité et de discipline contrairement aux corps civils. Vous avez donc détruit ce qui restait comme force de sécurité et nous allons le payer très cher à l’avenir.


Par conséquent, vous ne pouvez plus vous appuyer sur elle pour imaginer gagner une guerre que vous déclencherez à Anjouan ou dans n’importe quelle partie du territoire sans parler des conséquences incalculables et les traumatismes que cela aurait fait au sein de la population. Alors, Monsieur le Président on va vous conseiller très probablement de vous adresser à l’Union Africaine.

 

Excellence Monsieur le Président, l’un des principes fondamentaux des actions de l’Union Africaine pour parvenir à ses buts, à savoir « sauvegarder l’unité et l’intégrité des Etats-membres », principe défini et fixé dans sa Charte est « le règlement des conflits par le dialogue, les bons offices » pour préserver la paix des Etats-membres.


Pour que l’Union Africaine puisse agir de la sorte, il faudra un minimum de consensus des Nations Unies notamment du Conseil de Sécurité. Ce dernier prendrait cette option si et seulement si la paix mondiale était menacée, ce qui n’est pas le cas. Il vous faudra un diplomate hors pair pour justifier la mise en place des moyens adéquats par l’Union Africaine pour débarquer à Anjouan ; et s’il réussit, ce sera certainement à la fin de votre mandat qui court.


L’Union Africaine est consciente que demain les familles qui souffriraient de ce débarquement porteraient plainte contre elle car elle aurait violé un des principes fondamentaux du droit international en l’occurrence la «noningérence dans les affaires intérieures des Etats ». Parce que Monsieur le Président, si l’Union Africaine commence par intervenir dans les Etats-membres pour régler des problèmes politiques des régions desdits Etats alors que ces derniers sont dotés d’institutions démocratiquement mises en place (Présidence de la République, Gouvernement, Parlement, Cour Constitutionnelle), nombreux seront les Etats qui verront par là la possibilité de notre organisation panafricaine de devenir un monstre qui agit de par sa propre volonté et non conformément à sa Charte.


En réalité que fera l’Union Africaine encore si demain lors des élections des maires ou des députés à Anjouan ou à Mohéli, un Président de l’île ou de l’Assemblée sortante refusait de quitter son poste ? Et si elle intervient que va-telle encore faire si la même situation se reproduit ailleurs en Afrique dans un autre pays ?


L’Union Africaine, en arrivant à Anjouan, pensait rencontrer un gouvernement anjouanais séparatiste ou en tous les cas prônant le séparatisme. Mais lorsqu’elle s’est rendu compte que c’est plutôt des problèmes internes aux Comores, elle ne vous a rien dit mais très certainement c’est aux institutions comoriennes avec la classe politique de trouver une solution à la situation d’Anjouan.


Alors même si vous réussissez miraculeusement à faire couler le sang, ou même sans effusion de sang, comment envisagez-vous la suite ? Puisque très certainement il faudra négocier alors pourquoi ne pas le faire dans la paix ?


Excellence Monsieur le Président, tendez la main à vos frères, c’est cela accepter les responsabilités qui sont les vôtres. Notre Prophète Mohammed l’a certainement fait pour préserver la paix de l’Umma. Ne commettez pas l’irréparable car comme Anjouan, Mohéli voudra aussi dans moins de trois ans gouverner les Comores et consolider la réconciliation des coeurs des comoriens. Ne prenez pas des décisions hâtives qui pourraient pousser les grandscomoriens  se révolter eux-aussi, il y va de votre crédibilité ainsi qu’à celle de notre pays.

 

La politique n’est pas un domaine où l’orgueil, l’agitation et l’activisme font recette. A ce stade de responsabilités, vous ne devez plus être l’otage d’un clan d’idées ou le chef d’une confrérie. Vous êtes le Chef de l’Etat.


Vous êtes le Premier Magistrat du pays. Vous êtes le Garant de la paix civile. Vous auriez été le Président de l’un des cinq membres du Conseil de Sécurité de l’ONU, vous auriez droit à appuyer sur le bouton qui pourrait déclencher l’arme nucléaire !


Je crains que puisque vous avez tout fait pour m’humilier et vous rappelle que toujours ma « table basse » pour laquelle vous avez ordonné que ma femme et moi passions deux jours à la gendarmerie avant d’être déféré au tribunal de Moroni pour vol de table basse, est toujours aux mains de votre justice et qu’un jour vous allez devoir me la retourner, mes conseils ne vous procurent que dégouts.


Cependant, en tant que comorien qui a occupé pour un temps les fonctions que vous occupez aujourd’hui, j’ai cru qu’il était de mon devoir de vous soutenir en tant que Président de la République élu démocratiquement en vous exposant mon point de vue sur ce que vous vous préparez à faire.


J’ose espérer que vous ne verrez en ma communication que la volonté d’un homme politique comorien qui, comme disent les comoriens, ne veut pas cracher sur l’assiette où il a mangé ou voudra en manger.

 

Qu’Allah le tout puissant vous guide dans vos actions pour que la paix civile et la concorde se consolident aux Comores.


Veuillez croire Excellence Monsieur le Président en ma très Haute Considération.

 

Munich, 25 juin 2007

 

 Monsieur Hamada Madi Boléro
Dernier Premier Ministre de la République Fédérale Islamique des Comores,
Ancien Chef de l’Etat par intérim de l’Union des Comores

 

Mohéli ne plaisante pas !

Le 23/05/2010

Le dialogue inter-comorien sur l’harmonisation des mandats électifs des exécutifs de l’Union et des îles autonomes, prévu reprendre ce samedi après-midi à Moroni, n’est pas ouvert. Initialement prévues s’ouvrir mercredi dernier, les discussions ont été reportées au 22 mai à la demande de la partie mohélienne.

 

Cette dernière ne s’est pas finalement présentée à la table des négociations. L’interdiction de tenir un meeting populaire vendredi pour exposer à la population de l’île les positions que les représentants vont défendre aurait jeté de l’huile sur le feu.

 

La communauté internationale, à la tête de laquelle l’Union africaine (UA), a, pourtant, pesé de tout son poids pour que ce dialogue sur la fixation d’un nouveau calendrier électoral soit couronné de succès. L’Envoyé spécial du président de la commission de l’UA, le diplomate mozambicain Francesco Madeira a repris son bâton de pèlerin pour ramener les différentes parties à la table des négociations le plutôt possible.

 

La Ligue des Etats arabes a dépêché à Moroni un Envoyé spécial, en la personne de Youcef Rahmania, renforcer l’expertise en la matière.

 

Le mandat du président actuel prend fin, constitutionnellement, le 26 mai à minuit et la haute juridiction de l’Etat lui accorde de diriger la période intérimaire jusqu’à l’élection du nouveau président de la République. Une décision qui n’est pas du goût des opposants farouches au régime qui attendaient voir une personnalité autre que le président Sambi diriger assurer l’intérim.

 

(Xinhua)

 

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