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« Wussiku wa mwaba drabo kohomo husha »
Le 31/07/2010
Mouigni Abdou |
Plombé par les frasques de ses anciens et nouveaux ministres, ces compagnons de fortune et son bilan dérisoire, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi se retrouve face au spectre de l'échec.
Il y avait, au moment de son élection en 2006, quelque chose de magique chez l`homme au turban vert, nommé l`Ayatollah non Khomeiny. Son âge, son énergie, sa volonté de rupture, sa boulimie de réformes et un discours séduisant bâti sur des valeurs, comme le travail, l`éducation, la santé, et surtout éradiquer la pauvreté coûte que coûte et des promesses, comme la «République irréprochable».
Après l'interminable torpeur de l`ère séparatiste, le pays semblait enfin prête pour le grand saut, pour des ajustements de son train de vie douloureux et néanmoins plébiscités. Une nouvelle constitution est en place, un représentant de l`Etat élu démocratiquement, des nouveaux marchés colossaux se présentent, un développement économique qui se stabilise, des projets en cours, ... instantanément les pépins politiques ne manquent pas, la débrouille a l`africaine est toujours présente, mais le pays marche a quatre pattes.
En respectant la constitution et les vertus de tous les comoriens, la charte de l`honneur et le code de la franchise abdiquent l`esprit ouvert, le régime change sans démagogie, que ca soit a la poutine ou a la chiraquie. Le régime crcien est bel et bien parti, les hommes aussi. Ailleurs, tout le monde applaudit, bravo Azali ! La boucle est bouclée.
Un cycle non-renouvelable
Une nouvelle époque s`annonce farouche, au gré de bien faire que les autres. De manière habile, c`est logique ! Sambi est annoncé le messie comme si Moroni était Falouja ou Peshawar (respectivement ville en guerre d`Irak et d`Afghanistan), il promet tout. Tout le monde attend de lui. Le candidat l'avait promis. Le président l'a-t-il fait ?
De fait, les premiers mois au pouvoir de cet homme monté sur des ressorts ressemblèrent à un véritable feu d'artifice. Sambi semblait alors d'une habileté inouïe. Dès son premier souffle, il convoque avec beaucoup de chahut tout les barons de l`ancien régime, il les insulte, les juge, les emprisonne et même certains sont devenus les serpillères de son mouvement politique. Dont plus tard, ils squatteront le gouvernement central. Il pratiqua «l'ouverture politique» pour associer des personnalités de différents horizons à son action et lui conférer un caractère d'intérêt national. Il brandit la carte de la «pluralité» en s'entourant de femmes et des hommes issus des minorités visibles, pour incarner les Comores de demain.
Politiquement, il paraissait invincible : son adversaire était moribonde, l`opposition déboussolée et la société civile avait perdue toute raison d'être.
Ce sont ses proches collabos qui n'en finit pas de ravager l`Union ! Et pour couronner le tout, un président qui rêve de faire l'Union à sa manière, de la modeler, de la diriger, de tout décider lui-même pour le plus grand bien de ses copains-coquin et la même camaraderie rêve l`au-dela, songe de prendre la place du précédent à la tête de cette union unanimement sacrée pour faire la même politique. Quel gâchis !
Alors, le pays part à vau-l'eau. Elle s'en remettra, bien sûr, mais la crise actuelle dans laquelle elle n'a fait qu'entrer est d'autant plus grave que la prochaine présidentielle n'aura lieu que quelques temps avant l`année 2011. Il faudrait pouvoir tourner la page au plus vite mais, non, il y a presque un laps de temps à attendre alors que le chef de l'Etat dégringole dans les places publiques, perd la main, et qu'un parfum de putréfaction morale sature le pays sur fond de colère sociale grandissante.
Pouvoir solitaire
Quatre ans plus tard, l'artifice a fait long feu. Il ne reste de l'ouverture qu'un ministre de l'Education Nationale, de la Recherche, de la Culture et des Arts, Fouad MOHADJI, qui n'a jamais eu son mot à dire depuis qu`il est empêtré dans le navire, et la figure trouble de Mohamed Larif Oukacha, fraichement nommé Secrétaire Général à la Présidence de l'Union. Leurs missions et compétences sont l'assistance de barrer la route aux moheliens de ne pas briguer la Tournante comme la constitution de 2001 l'a défini ; l'île de Djoumbe Fatma est logiquement celle de laquelle sortira le prochain chef de l'exécutif.
Il ne reste de la «pluralité» que deux poids lourds de la Convention pour le Renouveau des Comores tombés sous les charmes et vite converti dans le Sambiland : OUBEID MZE Cheikh, ministre chargé de l'Economie et du Commerce extérieur, qui peine à justifier ses frais, et Ibrahima MHOUMADI SIDI, ministre de la Défense, de l'Intérieur et de l'Information, un des âmes du programme dit citoyenneté économique dont son « Plan » se révèle déjà un échec complet.
Le dernier remaniement du gouvernement, VU l'accord pour la gestion de la période intérimaire signé à Beït- Salam le 16 juin 2010, la gente féminine ne figure pas sur les derniers plans de Sambi.
Le bilan présidentiel semble ainsi devoir se résumer à l'opération baptisée «Démocratie aux Comores», urgente et nécessaire, selon Sambi mais qui est bien sombrer avec son artisan, Général Salimou, qui a déclaré publiquement qu`il est menacé à mort, après l`action militaire réussie. Jusqu`alors, les révélations sont classées sous silence. On préfère fermer les yeux pour ne pas salir les cousins du maitre. Cette opération abracadabrantesque orchestré sur le dos du débarquement dont le député Mohamed Ali Soilihi alias Mamadou, Ministre des finances au moment des faits, nous en dira plus le jour j. Le 6 juillet dernier, le Colonel Mohamed Bacar est prié de retourner au bercail avec ses acolytes. Bara bara !
De fait, il y a fort à parier que ses vas-et-viens de Fomboni-Moroni-Mutsamudu, et vice versa, ne suffiront pas à restaurer la crédibilité d'un gouvernement carbonisé et l'autorité d'un président dont la cote de popularité est au plancher.
Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, le recalé du Prix de la Fondation Mo Ibrahim (Rappelons que le prix Ibrahim s'élève à 5 millions de dollars (1.750.000.000 francs comoriens). Après Nelson Mandela, lauréat d'honneur, le premier chef d'Etat à avoir goûter les délices de ce prix, en 2007, est Joaquim Chissano, ancien président Mozambicain, suivi en 2008 du botswanais Festus Mogae. Tous les deux ont quitté le pouvoir dans les délais et on fait preuve de bonne gouvernance durant leurs mandats électifs), a joué avec le feu, et il est en train de perdre. Le spectacle qui apparaît au fur et à mesure que se dissipe le nuage de fumée est affligeant : le pays a fait dix pas en arrière, les projets colossaux sont paralysés et l'opposition s'apprête à renaître de ses cendres.
Arrivé aux plus hautes fonctions du pays auréolé de la présidence de la fédération comorienne, l'homme au turban n'a pas répondu à tous les espoirs qu'on avait placés en lui. Sambi qui cisèle ses phrases, maîtrise les concepts que d'autres éludent, n'aimait pas parler stratégie, encore moins transmettre ses convictions personnelles. Beaucoup de ses compagnons étaient frappés par sa soudaine retenue dans ses conclusions et le flou artistique de ses décisions, comme s'il refusait de s'exposer sur un terrain qu'il savait glissant. Il fâchait souvent l'économie et décevait son camp par ses maladresses politiques et diplomatiques, et par ses contradictions devenues suspectes.
Son rêve est devenu réel, puis irréel et ensuite de plus en plus illisible, tout en restant irréaliste.
Trop tard ?
Sa mouvance a paralysé et vidé de sa substance le processus de développement des services publics ; l`Assemblée Nationale demeure l'otage des querelles, Beit-Salam dont il était l'architecte en chef, a perdu au fil des ans de sa puissance, et ses matelots semblaient sans cesse hésiter sur le bon cap. Le capitaine s'est parfois réveillé, surpris qu'on l'accuse d'inaction, de manque de clarté sur les 200 millions de dollars de la citoyenneté économique, 3 milliard de franc comorien de projet Habitat volatilisé, ou la cherté de la vie quotidienne pur produit de la mendicité qu`il a fabriqué et l`achat des consciences. Mais il a rarement réussi à faire mentir ceux qui l'accusaient de ne jamais poursuivre les idées nouvelles qu'il lâchait parfois au détour d'une intervention.
C'est le second paradoxe : l'homme du verbe semblait de plus en plus distant, comme si l'intellectuel avait renoncé à communiquer avec ses concitoyens.
Pour le reste, en attendant d'achever de se déconsidérer aux yeux du monde, le pouvoir qui ne cesse de se falsifier tanguera jusqu'au jour où elle sombrera dans les caniveaux bouchés. Ainsi va le monde. L`homme de la rue aura toujours de quoi s'étonner !
Mouigni Abdou
Citoyen
Houmed Msaidié : « S’ils veulent torpiller l’accord, c’est à leurs risques et périls »
Le 29/06/2010
Houmed Msaidié, Secretaire General de la CRC et Membre Comite |
Les missions assignées à ce comité sont de contrôler, superviser et assurer la mise en œuvre effective de toutes les décisions issues du dialogue et le strict respect du chronogramme. Il sera aussi chargé de suivre et contrôler les actions liées à la passation des services. Pour éclairer l’opinion sur le déroulement des travaux, La Gazette / HZK-Presse a interrogé ce week-end un des membres du Comité, Houmed Msaidié.
Interview :
Question : Pouvez-vous nous faire le point sur l’évolution des travaux du comité de suivi de « l’accord sur la gestion de la période intérimaire » dont vous êtes membre ?
Houmed Ali Msaidié : Nous nous sommes réunis. Nous avons adopté le règlement intérieur et désigné un bureau provisoire. C’est la communauté internationale qui préside pour le moment. Ndzouani et Ngazidja assurent le rôle de rapporteur. Le bureau va se pencher sur la lettre de mission du ministre d’Etat chargé des élections ainsi que les cas des deux ministres issues des exécutifs de Mwali et Ngazidja qui n’ont pas encore de locaux. Notre prochaine session est prévue pour le 12 juillet prochain.
Quelle est la suite du processus en cours ?
H.A.M. : Des événements majeurs pour la poursuite du processus en cours doivent intervenir entre le 25 juin et 25 juillet. Il va falloir mettre en place de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et les Commissions insulaires (CIE), valider les dates des élections, réviser le code électoral afin qu’il revienne sous le format ancien, c'est-à-dire avant la révision effectuée l’année dernière par le décret du président Sambi. C’est pendant cette période qu’interviendra également l’élaboration de la loi relative aux indemnités, privilèges et traitements protocolaires à accorder aux présidents de l’Union, de la cour constitutionnelle, de l’Assemblée et des gouverneurs des îles après que leur mandat sera définitivement échu.
Question : Il parait que vous n’êtes pas arrivés à vous entendre sur le poste du président du Comité ?
H.A.M. : C’est classique. Nous représentons des intérêts auparavant divergents. Nous sommes entrain de reconstruire la confiance. Cette période étant stratégique, il est normal que le contrôle du bureau du comité de suivi soit un enjeu. Toutefois, cette situation n’a pas bloqué le déroulement normal des travaux ni le comité.
Question : Ne craignez-vous pas que les décisions du comité soient ignorées par le pouvoir en place ?
H.A.M. : Personnellement, je considère que c’est un risque. Même, en signant, on savait que la possibilité que l’accord soit torpillé par le pouvoir existe. D’autant plus que l’article publié la semaine dernière au journal Alwatwan par un ancien membre de la CENI qui a eu à occuper le poste de secrétaire Général de cet organe, Monsieur Kassim Zahahe, qui est préfet du nord ainsi que l’intervention radiotélévisée de l’ancien ministre en charge des élections qui est aujourd’hui conseiller du président Sambi vont dans un sens de tentative de mettre en cause cet accord. Il faut ajouter à cela, le discours démagogique sur la souveraineté. D’un côté on critique les actions de la communauté internationale et de l’autre on demande qu’elle garantisse le versement des salaires des agents. Cela étant, nous en tant qu’opposition nous considérons que jusqu’à présent, c’est le régime Sambi qui préside aux destinées du pays. S’ils veulent torpiller l’accord, c’est à leurs risques et périls. Nous rappelons qu’il y a eu un entêtement dans notre pays et l’entêté s’appelle Mohamed Bacar, où est-il maintenant ? Rappelons également que le contrat du président Sambi et le peuple comorien a pris fin le 26 mai dernier et la rallonge de son mandat est une convenance nationale. Alors, s’ils veulent torpiller l’accord qu’ils le fassent ! On aura des adversaires qui ont pillés le pays en moins. La preuve, durant quatre ans de pouvoir, ils n’ont pas été capables de payer ne serait-ce que 8 mois sur fonds propres. Pour revenir à l’accord, le président Sambi a réuni à Mutsamudu, il s’est engagé à le respecter. Nous lui accordons le bénéfice du doute.
Question : Vous avez évoqué le cas des deux ministres qui ne disposent pas de locaux qu’est-ce que le comité de suivi envisage de faire ?
H.A.M. : Ce problème est entrain d’être résolu. Il parait qu’une solution sera trouvée dès lundi [aujourd’hui, ndlr], cela d’autant plus que le ministre d’Etat chargé des élections doit être opérationnel dès maintenant. Le représentant de l’Union s’est engagé à intervenir. Le bureau intérimaire va suivre ce dossier.
Question : Quel commentaire faites-vous sur les portefeuilles attribués aux exécutifs de Mwali et Ngazidja ? Mwali a parlé d’une « coquille vide » au sujet du ministère en charge des élections…
H.A.M. : L’accord prévoyait l’entrée au gouvernement des représentants des exécutifs insulaires. Bien sûr la question des attributions est importante, mais l’esprit c’est la présence des îles pour bien cadrer l’application de l’accord. C’est important d’être au cœur des décisions qui engagent le quotidien du pays. Et c’est au Conseil des ministres où, en principe, tout se décide. Je ne suis pas fâché du fait que le régime garde le ministère des finances, même si, je sais que l’objectif c’est de tenter de biffer tout ce qui s’est passé. Mais leur disons que nous sommes capables de savoir ce qui s’est passé et on le sait déjà. Nous avons toutes les preuves.
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Boléro mène la danse à merveille
Le 29/06/2010
« Dès que nous avons débuté la lutte mohélienne j’avais fais la promesse divine que le jour où il sera certain que la tournante vient à Mohéli, je vais organiser un pic nique » explique Bolero. « Mais le moment venu, je suis désemparé car je me suis rendu compte que je ne pouvais pas réunir en même temps ceux qui montaient les barricades, ceux qui tenaient le stylo et ceux qui prenaient le micro, c’est pourquoi personne n’a été au courant de l’objet exact de cette sortie » a-t-il poursuivi.
L’ancien premier ministre n’est pas passé par quatre chemins et annonce au public « un dimanche vous allez voter un mohélien et j’espère que se sera moi ». Une annonce qui n’était qu’un secret de polichinelle. Cependant Boléro n’a pas été avare, il a pensé aussi à Mohamed Ali Said. Après avoir cité ceux qui se sont sacrifiés pour la lutte de la tournante notamment les chefs des exécutifs de Ngazidja et de Mwali, il a exhorté la population de redonner confiance à Mohamed Ali Said pour qu’il puisse continuer son mandat qui a été écourté. « Je vous demande d’accepter le sacrifice que Mohamed Ali Said a fait et lui donner la chance d’aller une deuxième fois pour ce mandat » dit-il.
« A Mohéli nous sommes nombreux à prétendre à cette course mais j’espère que nous, dans notre région, entre moi et Bienrif Tarmidi, nous allons nous entendre pour vous présenter un candidat que vous allez choisir » dira-t-il tout en précisant qu’il espère que ça soit lui.
Il convient de souligner que dans la coordination des forces vives de Mwali, regroupant la mouvance de l’exécutif de l’ile et l’opposition, des clans se dessinent. Il y a ceux qui soutiennent la politique de Mohamed Ali Said, il y a les fidèles de Boléro et Bienrif a les siens.
De l’autre coté, toujours de l’opposition, il y a ceux qui gravitent déjà autour de l’ancien président de l’assemblée nationale Said Dhoifir Bounou, surtout des jeunes cadres de Fomboni-centre. Le député Abdou Djabir soutenu aussi par des jeunes cadres a aussi son mot à dire. Mohamed Said Fazul, Mohamed Ali Assanaly, comptent beaucoup sur leur parti respectivement UCP et FPC. Sans oublier Dr Abdoulhakim qui s’y prépare.
Plus surprenant, le colonel Mohamed Anrifi Moustoifa, chef du détachement régional de l’Armée nationale, a réuni ce même dimanche également toute sa famille pour leur annoncer son intention de briguer le fauteuil de Beit-Salam.
Mouayad Salim
Un an après, l`enquête est bredouille
Le 29/06/2010
" J'ai l'impression que les victimes sont mortes dans l'indifférence ", déplore Mohamed Ahmed, président d'une association marseillaise de familles de victimes de la catastrophe du 30 juin 2009, qui compte 400 membres en France et à l'étranger.
Aux Comores, le président d'une autre association se dit " profondément écœuré par la légèreté des autorités" comoriennes dans l'enquête.
L'A310 effectuant la liaison Sanaa-Moroni s'était abîmé avec à bord 153 personnes, dont beaucoup vivaient en région parisienne et à Marseille. Une passagère de 12 ans avait survécu.
Les boîtes noires ont été repêchées fin août 2009. Début septembre, la commission comorienne chargée des investigations avec l'assistance du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), avait annoncé que les données étaient exploitables.
Mais depuis, plus rien. "Aucun rapport d'enquête n'a été publié", dénonce Ahmed Bahassani, avocat de l'association comorienne, accusant le Yémen de blocage.
" C'est un problème d'argent. De gros intérêts sont en jeu et selon la piste retenue, le constructeur et la compagnie ne seront pas pénalisés de la même façon. Si la défaillance technique et l'erreur de pilotage sont confirmées, ils vont +banquer+ ", estime-t-il.
D'autres pointent les liens entre Moroni et Yemenia.
" Les autorités comoriennes ne veulent pas se fâcher avec la compagnie, qui a le statut de compagnie nationale aux Comores et contribue à désenclaver l'archipel ", souligne Saïd Ahamada, président de la Chambre de commerce franco-comorienne à Marseille.
Fin 2009, le chef d'enquête comorien, Ali Abdou Mohamed, avait été limogé pour s'être exprimé sur le contenu des enregistreurs. Il a été remplacé par Bourhad Ahmed Bourhane, dirigeant d'une société de services au sol, le Yémen réclamant parallèlement une contre-expertise.
Correspondant
AFP
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Yemenia : une marche mercredi, un an après le crash
Le 29/06/2010
A noter que c'est toujours le flou sur les causes réelles de l'accident : "Le BEA a transmis son rapport mais la Yemenia a demandé une contre-expertise et retarde la publication du rapport d'enquête", selon Saïd Hamada, le président de l'association SOS Voyages.
La Provence.com
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Merci pour tout ce que tu contribues pour notre pays,que dieu nous transforme ce champ des mércenaires Lybiens...