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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Pour cacher un mensonge, il faut inventer 1000

Le 10/09/2010

Abdou Hamadi Mrimdu
Abdou Hamadi Mrimdu 
Salim est responsable de ce qui lui arrive ?


« La tenue militaire ne fait pas un bon soldat, comme la sainteté ne vient pas ni du turban ni de la barbe mais tout simplement du cœur ».

On ne renvoie pas au non-dit, au silence, et au secret, l'affaire Salimou qu'il faut traiter ici et maintenant ; car vaut mieux faire des reproches que garder sa colère.

• Chers parlementaires si le parlement existe encore ; l'affaire « Combo » ne doit pas tombée dans les oubliettes comme l'affaire Yemenia de l'A310 ou comme la mort de Farouk, la mort de Comik ; SALIM ABDALLAH et d'autres... aujourd'hui 5 septembre 2010.


102 jours, sont passés depuis que la cour constitutionnelle a confié l'intérim à A² Sambi ex-président de l'union. Depuis, des hommes invisibles font justice dans l'obscurité, ainsi Combo est assassiné à 22H chez lui. Comik est fusillé à 02H du matin, chez lui.

Il y a quelques-mois le général chef d'état-major était égal dans le bonheur, comme dans le malheur avec le président Ahmed Abdallah Sambi dont son mandat vient d'expirer le 26 mai dernier. Aujourd'hui Sambi s'accroche au pouvoir, il souhaite secrètement la mort de Salimou ? En tout cas le cabinet du Rais a voulu éliminé physiquement le général peut avant son éviction ; si ce dernier est encore en vie aujourd'hui, c'est tout simplement parce que Dossar a raté sa mission (selon les déclarations du général Salimou).

Tout ça pour dire à nos parlementaires qu'il ya l'urgence ; Notre armée risque de disparaître totalement ; car l'estime n'est pas au rendez-vous et l'honneur n'existe plus. L'honneur d'un général chef d'état-major, est volontairement et dangereusement exposé à autrui alors que le général ne comprend pas ce qui lui arrive (si on croit à ses déclarations).


Une chose est certaine : l'affaire Combo déshabillera publiquement au moins une figure emblématique :
• Entre Sambi, le président le plus célèbre de l'histoire des Comores et Salimou, le premier général du pays « chaud, froid, c'est vous qui l'expérimentez ». Quand au juge il est bien placé pour savoir que : {pour cacher un mensonge, il faut inventer 1000 (voltaire)}.

Excellence monsieur le président, votre honneur n'est pas menacé ? L'anneau est brisé, foutu pour la chaine, parlons en ici et maintenant.


• La souffrance est accueillie avec résignation, c'est une fatalité. « Il faut libérer le général Salim », avant que la justice de l'ombre lui rattrape.
Libérer le général : vers l'enfer si c'est vrai il a commandité l'assassinat de son frère d'arme Combo. Ou libérer son statut d'homme libre et son honneur de premier général de notre pays.


• En attendant ce jour ! Je rappelle que « la tenue militaire ne fait pas un bon soldat, comme la sainteté ne vient pas ni du turban ni de la barbe mais tout simplement du cœur ».


• Les comoriens et comoriennes entrent dans une angoisse sociale, et pour cause : les contacts avec les aspects les plus sombres de ce monde sont noués. Les contacts avec ce qui peut caractériser notre inhumanité (les assassinats nocturnes) deviennent le quotidien. C'est pourquoi je demande à nos parlementaires d'exiger une enquête parlementaire approfondie et rapide ; mais aussi arrêter d'être toujours les parlementaires spectateurs qui regardent les événements pour enfin savoir la suite.
Nous sommes en colère contre l'assemblée nationale. Nous sommes farouchement en colère contre la cour constitutionnelle. Notre colère est une suite logique et même arithmétique.

« Si nous considérons la suite 2, 5, 8, 11, nous n'avons guère de peine à prédire que le nombre suivant sera très probablement 14, et que la règle gouvernant la suite est une progression arithmétique de raison 3 ». La prévention est une vigilance républicaine, le manquement est une délinquance étatique.

Abdou Hamadi Mrimdu

 

Comores Télécom : « La commercialisation du haut débit dans 4 à 5 semaines »

Le 10/09/2010

 
Après des tests lancés pour mesurer les capacités des services hauts débit, Comores Télécom s’apprête à lancer incessamment des nouveaux produits sur le marché local à des prix qui seront inférieurs aux tarifs pratiqués actuellement. Le directeur technique de cette société d’Etat nous donne ici les détails de cette opération.


Annoncé pour le mois d’août, la  commercialisation a pris un retard à cause d’un problème de câble au niveau de Tuléar et au Nord entre Mombassa et Soudan, a indiqué le directeur technique de Comores Telecom dans une interview à notre confrère Comores-Web publié lundi (06.09). De plus,  au niveau local, il y a eu un retard de livraison des équipements.

Actuellement, CT est en train  de faire les tests de couverture au niveau national. « Dans un premier temps, nous aurons un nouveau produit (MPESSI) et l’Adsl haut débit. La commercialisation sera lancée dans environ 4 à 5 semaines », a-t-il précisé.

Quant aux problèmes que  les consommateurs au niveau de la connexion Internet ou du  réseau cellulaire, le directeur technique de CT répond qu’avec les nouveaux équipements, les utilisateurs auront pleine satisfaction d’ici quelques semaines.  

Et finalement, quels seront les tarifs que Comores Telecom pratiquera une fois les nouveaux services en vigueur ? Réponse : C’est encore à l’étude. Mais ils seront bas par rapport aux tarifs actuels.

 

L`Express.mu

 

Salimou est victime d'une « machination », selon son avocat

Le 10/09/2010

General Salimou et Bastu
General Salimou et Bastu 
L'ex-chef d'état-major de l'armée comorienne, le général Salimou Amiri, arrêté et placé en résidence surveillée le 31 août, est victime d'une « machination », selon l'un de ses avocats, Mohamed Hamada Baco. Le général Salimou est poursuivi, avec d'autres prévenus, pour le meurtre d'un haut gradé de l'armée, le colonel Ayouba Combo, tué mi-juin par des inconnus à son domicile de Moroni.


« C'est une machination, ils ont voulu le révoquer, c'est tout », a estimé vendredi à l'AFP Me Hamada Baco qui affirme ne pas avoir eu communication du dossier.
« Ils (les enquêteurs) ont dit qu'ils avaient déjà arrêté les assassins et qu'ils cherchaient maintenant le ou les commanditaires (du meurtre du colonel Combo, ndlr). Mais ils ne disent pas si le général Salimou est le commanditaire, s'il fait partie des commanditaires ou pas », a ajouté l'avocat comorien.


« Le problème est que l'on ignore ce qu'on lui reproche exactement », a-t-il poursuivi.
Le général Salimou s'était rendu le 31 août au tribunal de Moroni pour y être entendu par un juge en charge de l'enquête sur le meurtre du colonel. A l'issue de cette audition, le juge lui avait signifié son inculpation et son arrestation. Selon des membres de sa famille, le général, en résidence surveillée depuis, n'a accès ni à la radio, ni à la télévision, ni aux journaux. La petite armée comorienne a connu ces derniers mois de graves tensions, se traduisant par un malaise croissant entre une partie de l'état-major et le pouvoir du président Ahmed Abdallah Sambi.


AFP

 

ROHFF a cœur ouvert

Le 10/09/2010

Rohff Rohff

Rohff
Rohff 
Le rappeur international Rohff, Housni Mkouboi de son vrai nom, est actuellement en vacances aux Comores, son pays d’origine. Chadya Hamadi est allée à sa rencontre et vous fait découvrir l’homme et ses motivations.

 

Vous êtes aux Comores depuis une semaine. Que nous vaut cette visite?

 

J’avais un planning chargé, et par plaisir j’avais besoin de venir me reposer et passer le ramadan ici. Le meilleur était de se rendre dans le pays d’origine pour se ressourcer. Après quatre ans d’absence, j’ai senti que le pays me manquait

 

Et comment se passent les vacances sous les cocotiers?

 

Très bien et très calme. Je suis arrivé directement de Miami (Etats Unis) donc il y a un très grand contraste entre ici et là- bas où je me suis fait une bonne forme physique et ici spirituelle. Là tout est bon pour attaquer l’année. Après plus de 25 ans que je n’ai pas vécu l’aïd dans le pays, je trouve que cette fois-ci c’est vraiment une très grande opportunité.

 

Certains de vos fans aux Comores sont déçus parce que vous n’avez jamais fait de concert ici. Quelle réponse leurs donnez- vous?

 

Il fallait que je sois prêt pour le faire. C’est un privilège pour moi d’avoir un pays assez détaché de la France où je me repose, j’essaie d’être anonyme et de passer incognito. C’est pour cela que je ne préviens pas quand j’arrive pour éviter le cortège. C’est vrai que je serai flatté mais en réalité ce n’est pas vraiment dans ma personnalité de faire du bruit à mon arrivée et pour éviter aussi les mauvais yeux (rire). Pour moi quand je viens ici je suis Housni mais pas Rohff. Et faire un concert dans le pays ça serait un petit peu agrandir le mythe, dans le pays où je cherche la paix et le calme. Mais en même temps s’il faut le prendre à la fierté et faire plaisir au peuple pourquoi pas ? On parle d’une tournée Océan indien et le jour où logistiquement ca sera prêt, on va le faire. Si cela ne tenait qu’à moi je ne le ferai pas, mais je le ferais pour le peuple comorien.

 

Vous vous affichez toujours comme un patriote. Alors quand est-ce que vous allez dédier à vos compatriotes une chanson en Comorien?

 

Si, j’ai déjà chanté « Comoriano » avec Salim Ali Amir et Zainaba Ahmed. D’ailleurs on a fait l’Olympia et le Zénith avec ce son pour montrer un peu aux Français ce que c’est les Comores et je ne manque pas une occasion de représenter mon pays où que je sois dans le monde.

 

Comment êtes-vous rentrés dans la musique?

 

J’ai eu plusieurs influences fan de la musique de Michael Jackson, du rap américain et du toirab comorien, étant natif de Mbéni, je crois que j’avais tout pour baigner dans un monde de la musique. Et j’ai pris aussi le côté orateur de la région de Hamahamet, connue pour ça.

 

Comment un Noir des Comores a pu arriver à ce niveau en France ?

 

Je pratique une musique qui est un peu représentative de ha musique urbaine. Notre génération est arrivée avec de nouveaux messages et puis il y a eu la jeunesse qui se confiait à nous. J’ai toujours voulu faire mieux. Je ne suis pas politicien dans mes chansons et je compte sur le mental et la volonté.

 

Au fait quels sont les thèmes favoris de vos chansons ?

 

Elles parlent de mon vécu, de ma vie et de celle des autres. Je n’hésite pas à parler de mes qualités et de mes défauts mais dans le sens positif. Ça ne sert à rien de cacher la réalité parce que tout va exploser le jour du jugement dernier.

 

Rohff c’est votre nom de scène, qu’est ce que cela signifie ?

 

C’est un mot américain qui veut dire dur, solide. Après j’ai changé l’épellation, j’ai mis la lettre « O » à la place du « U » pour signifier « Rimeur, Original, Hardcore, Flow, Fluide. »

 

Quelles sont vos relations avec les autres stars comoriennes de France, Soprano, 3e oeil, etc.?

 

Au début j’avais déjà travaillé avec 3e oeil. Et Soprano je le considère comme un petit frère, on ne se voit pas souvent étant donné qu’il vit à Marseille et moi à Paris. On n’a pas le même public, il est un peu plus jeune que moi, c’est en fait deux univers différents mais ce qui nous relie c’est le pays et il est très talentueux.

 

Parlez-nous de la Mafia k1 Fry ?

 

C’était un collectif de rappeurs qui représentaient un peu les jeunes immigrés d’Afrique et qui représentaient aussi la vie urbaine. J’étais dedans et je suis détaché petit à petit pour faire carrière solo. Ça fait un moment je ne suis plus dans le groupe parce qu’on prend l’âge, et chacun fait sa vie.

 

Souvent vous travaillez aux Etats unis avec des rappeurs américains, est-ce que le rap américain Influence votre rap que vous déclarez propre de vous-même ?

 

Je pense que ça m’a inspiré sur le coté technique et groove. Après sur le coté discours, j’ai mon style vu que j’ai une réalité, des bases différentes des leurs avec ma double culture, voire triple avec l’américaine.

 

Qu’avez-vous tiré comme leçon de votre séjour en prison en 2007 ?

 

Je dirais qu’à chaque mal il y a du bon et beaucoup des grands hommes sont passés par là. Le temps de passer en prison m’a ouvert les yeux sur tant de choses. Même si c’était un coup dur pour moi, je pense que c’était une bonne chose parce qu’après j’ai eu envie d’aller plus haut. Ce qui ne tue pas rend fort, la souffrance fait durcir.

 

Votre 6e album est prévu de sortir cette année, quand exactement ?

 

La sortie de mon album est prévue normalement pour la fin de l’année, inchaallah. Il s’intitule la « Cuenta », un mot espagnol qui veut dire l’addition donc ça s’annonce salé. Il s’agit de l’addition qu’on paie tous les jours et même après la mort on le payera.

 

Etes-vous fiers et satisfaits de vous-même aujourd’hui ou il y a encore des pas qui restent à franchir ?

 

Il y a toujours des pas à franchir, je suis encore jeune et j’ai encore des étapes à réaliser. J’ai peur de stagner parce que c’est à partir de là qu’on commence à ne pas être bien. Venant d’un pays comme les Comores ça ne peut que nous donner de la soif de revanche d’aller plus haut.

 

Il parait que votre père s’est toujours opposé à votre choix, jusqu’à présent ?

 

Je le vois comme un grand homme qui a fait son temps. C’est quelqu’un qui a milité dans le mouvement Pasoco pour l’indépendance du pays. Aujourd’hui il s’est refugié dans la religion et forcément il est conservateur et ce n’est pas concevable pour lui de voir ses enfants dans une musique mondaine. Il n’aime pas ce côté Rohff, pour lui je suis toujours Housni. Même si je n’ai pas grandi à ses côtés mais je le comprends un peu et il n’est pas le seul dans la famille. Peut-être que ce côté là ne reflète pas exactement ce qu’on attendait de moi mais j’ai toujours une admiration pour lui.

 

CHADYA HAMADI

                                                                                                                                                                                                                Albalad Mayotte/9 septembre 2010

 

Amoros et la FCF c`est fini ?

Le 10/09/2010

Ancien international français, Manuel Amoros
Ancien international français, Manuel Amoros 
Le contrat amical de l`ancien international français, Manuel Amoros qui l`a lié avec la Fédération Comorienne de Football est fini ? Si la Zambie a bien écrasé les Comores (4-0) le week-end dernier lors de la 1re journée des éliminatoires de la CAN 2012, Manuel Amoros n'était pas, précision importante, sur le banc comorien comme indiqué ces derniers jours dans différents médias.

 

Nos confrères du web radio RTL-L'Equipe ont joint l'ancien international, qui a précisé ne pas avoir réussi à s'entendre avec la fédération comorienne avant le match. Il est donc resté à Marseille, où il poursuivi son activité de consultant pour OMTV.

 

(Avec R. Se.)

 

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