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Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

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Nouveau blog Bangwenet

Le 23/09/2010

 




http://bangwenet.over-blog.net/

 

Bangwenet version 2.0

Le 18/09/2010

 

Toute l’actualité comorienne à chaud sur le « Fil rouge ». Des dossiers pour aller plus loin sur les grands sujets d’actualité. Un petit mot à tous ceux et celles qui viennent régulièrement ou non visiter le blog Bangwenet.  

 

L`Equipe Bangwenet vous rassure de suite, qu`il n`arrête pas le travail, loin de là. Seulement, elle aime trop le changement, l`évolution, virtuels ou réels.

 

Bangwenet change d'hébergeur, tout simplement. Il continu ailleurs à déposer vos articles et vos réactions dans un endroit encore plus convivial.

 

http://bangwenet.over-blog.net

 

Merci de votre fidélité !

 

Les mollahs lorgnent sur l'Afrique

Le 16/09/2010

Manouchehr Mottaki, Ministre iranien des Affaires Etrangeres
Manouchehr Mottaki, Ministre iranien des Affaires Etrangeres 

La coopération entre l'Afrique et l'Iran est de nature à favoriser la paix dans le monde, a osé affirmer mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki, dans un sourire carnassier. Il faut lire par là "de nature à favoriser le développement du terrain de chasse du régime de Téhéran", qui prend une ampleur singulière sur ce continent.

 

Le régime iranien vient d'organiser cette conférence de deux jours dans l'objectif d'étudier les moyens de développer ses relations avec l'Afrique. 

 

Foin de "la justice, la paix et la sécurité" dont Mottaki se targue, car partout où s'implante les mollahs les troubles foisonnent comme des champignons. On se rappelle de l'attentat meurtrier qui avait laminé l'ambassade américaine au Kenya, on peut suivre comme une trainée de poudre l'avancée des groupes intégristes de la Mauritanie à la Somalie. Au sénégal, où les mollahs se sont installés à ciel ouvert, le pouvoir s'étonne de l'implication des religieux dans les conflits sociaux.

 

Les Comores ont a leur tête un président formé à Qom, et partout ou sévit la misère, on voit pousser des "associations culturelles et islamiques" qui recrutent des candidats à la formation intégriste et terroriste en Iran pour revenir au pays former leurs noyaux et leurs réseaux, armés et financés par Téhéran.

 

Mais l'on sent que les sanctions internationales commencent à brûler, car Téhéran ne sait plus à quel djinn se vouer pour desserrer l'étau. On entend alors Mottaki appeler à la création d'un "parapluie financier" entre "les secteurs privés iraniens et africains" qui "peut prendre la forme d'un consortium ou même d'une co-entreprise". Trouver la bonne formule pour faire circuler l'argent, voilà ce que recherchent les mollahs. On suppose que le Trésor américain et l'Europe examine à la loupe ces bons plans.

 

Iran-Manif

 

Saïd Mohamed Cheikh Dahnoune est mort

Le 16/09/2010

 

Le mufti de la communauté comorienne de Marseille s’est éteint

 

Membre respecté de la communauté musulmane de Marseille et particulièrement celle des Comoriens, Saïd Mohamed Cheikh Dahnoune est décédé ce mercredi 15 septembre. Une prière sera dite à l'hôpital de La Timone, vendredi 17 septembre, à 11heures, avant le rapatriement du corps vers les Comores, où il sera enterré.

 

Moins médiatique que le défunt Mohamed Arkoun mais tout aussi important à signaler, voici une grande figure de la communauté comorienne de Marseille qui s’en est allé. Saïd Mohamed Cheikh Dahnoune, chef spirituel de la communauté et imam de la mosquée de la rue Gaillard qu’il a contribué à construire dans le 2e arrondissement de Marseille, est décédé à l’âge de 72 ans des suites d’une longue maladie mercredi 15 septembre.

« Nous sommes affligés de son décès, moi particulièrement parce que j’ai été imam », nous confie Nassurdine Haidari, un des adjoints à la mairie de Marseille. « Je dois dire que c’est une personne d’une extrême sagesse qui œuvrait toujours dans le dialogue permanent avec les autres communautés musulmanes de Marseille. Il faut dire qu’il fut l’initiateur de la première donation communautaire pour la Grande Mosquée » de la cité phocéenne, ajoute-t-il.

60 000 € avait en effet été réunis pour l`élaboration du projet par les Marseillais d’origine comorienne. Cette communauté, forte de 70 à 80 000 personnes, représente 5 % de la population. Saïd Mohamed Cheikh Dahnoune avait remis le chèque, en octobre 2009, à l’association qui gère la mosquée.

« Il a contribué activement à la mise en place du réseau Chioni pour l’enseignement islamique, l’un des plus denses de la ville. Il a donné à la communauté comorienne une épaisseur spirituelle. (…) C’est un homme qui a su passer le cap de l’intégration, tout en conservant un patrimoine culturel et cultuel. C’était un passeur qui nous a transmis qu’on pouvait faire la synthèse entre notre culture, notre religion et le pays d’accueil. C’est une page qui se tourne pour la communauté comorienne de Marseille », fait savoir M. Haidari.

Le Conseil français du culte musulman, qui parle d’un homme qui a « grandement œuvré pour le rassemblement des musulmans de Marseille et a toujours défendu l’Islam de juste milieu, de paix et de modération », déplore aussi sa disparition « qui laissera un grand vide dans le cœur de tous ceux qui l’ont côtoyé ».

Une prière en hommage au défunt sera dite vendredi 17 septembre, à 11 heures, à l'hôpital de La Timone, nous informe M. Haidari. Le corps de Saïd Mohamed Cheikh Dahnoune sera ensuite emmené à l'aéroport pour y être rapatrié vers les Comores, la terre de ses ancêtres, où il sera enterré à son arrivée samedi 18 septembre.

 

saphirNews.com

 

Publication de la liste provisoire des candidats

Le 15/09/2010

Le futur president sortant Abdallah Mohamed Sambi
Le futur president sortant Abdallah Mohamed Sambi 

Les organes en charge de l’organisation et du contrôle des élections ont bouclé, avant-hier dimanche, le dépôt des candidatures pour les élections harmonisées du président de l’Union et des gouverneurs des îles prévues pour le 7 novembre et 26 décembre prochains en Union des Comores.

 

Le premier constat qu’on peut tirer des listes provisoires publiées, (celles-ci doivent, d’abord, être examinées et validées par la cour constitutionnelle d’ici le 30 septembre) c’est le nombre important des prétendants. La cour constitutionnelle a enregistré une dizaine de candidatures pour la course à la magistrature suprême, tous originaires de Mohéli, l’île à laquelle échoit la présidence tournante, alors que 27 prétendants aux postes des gouverneurs des îles se sont inscrits auprès des commissions électorales insulaires (CEI).

 

15 candidats se sont alignés sur la ligne de départ pour l'élection du gouverneur de la Grande-Comore, 8 à Anjouan et 4 à Mohéli. Les trois chefs des exécutifs insulaires sortants ont tous décidé de tenter de rempiler pour un nouveau mandat.

 

L’autre observation que l’on peut faire à la lecture de cette liste, c'est le clivage au sein des états-majors politiques, que ça soit au sein de la majorité présidentielle ou dans les rangs de l’opposition. La volonté affichée au début de la présentation des candidatures communes s’est heurtée aux ambitions personnelles des uns et des autres. Ainsi, la mouvance présidentielle se retrouve avec deux candidatures aux primaires du 7 novembre prochain alors que l’opposition aura 8 candidats.

 

Le vice président sortant, Ikililou Dhoinine, choisi par le président Sambi pour défendre les couleurs de la Mouvance présidentielle dans les prochaines élections aura en face de lui des candidats de l’opposition et un candidat issue de son propre camp, à savoir Mohamed Larifou Oukacha. Ce dernier qui occupe actuellement le poste de secrétaire général de la présidence a décidé de se mettre en piste et s’est choisi l’autre vice-président Idi Nidhoim comme son colistier en Grande-Comore. Selon les observateurs, cette candidature illustre les profondes dissensions qui minent l’équipe au pouvoir.

 

Plusieurs membres de la Mouvance présidentielle se sont également alignés dans la course aux postes de gouverneurs en Grande-Comore et Anjouan.

 

Du côté de l’opposition le schéma est identique. Les adversaires du président sortant n’ont pas réussi à faire taire leurs clivages alors que cela aurait été leur seule chance de pouvoir inquiéter la Mouvance présidentielle.

 

Ainsi, les deux camps partent pour les différentes batailles électorales en rang dispersé…

 

Malango Actualite

 

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