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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

1 Or ramené hier par 176 athlètes comoriens aux 8e JIOI.

Le 15/08/2011

 

La délégation comorienne est rentrée hier des Jeux des îles de l’Océan Indien avec une seule médaille d’or. Cette délégation dirigée par son chef de mission Hassani Mohamed Aboudou est arrivée à Moroni saine et sauve à l’aéroport de Moroni Hahaya.

 

Après que l’atterrissage du Boeing 767-200ER transportant les 176 dont 67 athlètes, la délégation notamment les coureurs a été accueilli par les militaires. Ils ont été reçus à l’ancienne aérogare de Moroni-Hahaya que par des élements de l’And et certains présidents des fédérations absents aux Seychelles. Pendant que les footballeurs ont été surpris de cette mesure de sécurité à leur profit, capitaine Abdillah Youssouf fait savoir ‘’on est là pour sécuriser les jeunes pour éviter des éventuelles surprises de la population’’.

 

Au cours des formalités de tout un chacun, Hilmy Aboud Siad, président de la Fédération comorienne d’athlétisme déclare ‘’je suis content qu’ils soient là tous. Ils sont bien rentrés tous en forme et il reste donc de faire le bilan de ce qui a marché et pourquoi certains ont failli’’. Depuis Hahaya, Djamchi Attoumani, seul médaillé d’or de la nation respirait au rythmé des questions des médias privés. Devant le micro de Djabal Tv, le champion régional des 800m jubile ‘’je suis heureux, très heureux. Ce n’est pas parce que je suis le seul à avoir une médaille d’or mais du fait que j’ai fait parler des Comores aux Seychelles’’, avant de dire que ‘’je pense défendre mon titre à la  Réunion pour les jeux des 2015’’. Avant que chaque membre de la délégation ne prenne son chemin, Hassane Abdérémane, entraineur national des basketteuses proposait que ‘’les Jioi sont passés et le bilan tout le monde le connait. Mais je dirais que le Coji et toutes autres Le Coji ou tout comité sportif national doit prendre apte de nos rapports. C’est important si vraiment on veut permettre au sport national de faire un grand pas en avant’’.

 

Après ce tournoi, les footballeurs vont poursuivre, dès la semaine prochaine, leurs activités pour les préparatifs des éliminatoires de la Coupe d’ Afrique 2012. Les hommes de Chamité, le coach qui ne trouve plus ses repères dans ses coaching, recevront les zambiens le 4 septembre prochain. Dix heures avant le départ  pour Mahé (Seychelles), cette même délégation a été reçue par le chef de l’Etat Ikililou Dhoinine. Mais c’est pour quand la prochaine invitation du président pour les athlètes pour un petit bilan ? Les anciens ambassadeurs nationaux devraient être saisis par Saïd Ali Sultan pour une éventuelle réception à Beit-Salam.

 

I.Youssouf (Al-watwan)

 

Tackfine, le bourreau de l`AND

Le 15/06/2011

Commandant, Tackfine Ahmed
Commandant, Tackfine Ahmed 

Entre complicité et mesquinerie, la loi infernale de nourrir le séparatisme et la haine sans faille entre frères d`armes, un bourreau impitoyable se démarque de jour en jour, il se nomme Tackfine Ahmed.


« Un militaire sans formation de base est un criminel en puissance », disait le président anti-impérialiste et panafricaniste Thomas Sankara. Cette affirmation de l’ancien président du Faso, même si elle est excessive, témoigne en tout cas de la prise de conscience d’un régime (Celui de Sambi) que le militaire doit être outillé pour appréhender à sa juste valeur sa mission dans la société, qu’il doit être moulé dans le creuset du civisme et de la citoyenneté, formé aux valeurs républicaines.


Les mutineries à répétition avec leur lot de pertes en vies humaines, de vols et de viols et dont la dernière a été contenue dans le sang (La mort subite de Combo), prouve que le pouvoir du pays des Sultans batailleurs, bien qu’averti, n’a pas su relever le pari du moins, pour l’heure. Une analyse permet de se rendre compte qu’on récolte la tempête aujourd’hui, parce qu’on aura mis beaucoup d’entrain à semer le vent.


Beaucoup de crimes politiques furent commis. On recruta en masse et souvent sur recommandation des « gros bonnets ». Un groupe de personnes malfaiteurs se tailla la part belle au sommet de l’Etat. L’affairisme gagna ses rangs. Ce que les hommes du rang appelleront, à la faveur de leurs mouvements d’humeur, la confiscation de leurs avantages par leurs supérieurs, devint chose normale et cela fut presque érigé en système de gouvernance. Puis, petit à petit, le régime Sambi a fait preuve de plus en plus de laxisme dans la gestion de ces groupes formés ici et là.


Nous accusons, sévèrement, le soit disant Commandant Tackfine Ahmed. Homme sans foi ni loi, manipulé comme un abrutit pour faire régner la terreur. Principal initiateur des tracts séparatistes. Précurseur confirmé du prospectus de dénigrement à l`ancien Chef d`Etat Major, le General Salimou Amiri. Il était au devant de la scène pour mener à bien la propagande de diffamation et de calomnie à l`ancien homme fort de Kandani. Comme l`histoire en témoigne, avant d`attaquer Salimou, il avait mis tout d`accord pour vilipender et mépriser ceux qui deviendront quelques temps plus tard ses meilleurs amis, ses alliés de fortune : Ahmed Abdallah Sambi et Abdallah Gamil. Retourner une veste, c`est la matière de base de Tackfine me disait un jour un ancien soldat.


Au temps des milles et une nuit, il est d`abord, un séparatiste pur et dévoué. Un coureur de jupon de renom. Un alcoolique de grande classe. Ce qui lui permettra peut-être de tutoyer les sommets des forces armées. De conseiller au Cabinet de l`homme fort de l`AND, Tackfine partage les mauvaises habitudes. Et pourtant, il gravit les échelons en douceur.


Qui est-il ? Que fait-il, exactement ? L`homme est un animal sans couleur. Un caméléon intelligent, dira certainement celui qui l`a côtoyé. Né dans le bourg de Mutsamudu, Tackfine sait très vite que la mendicité est une preuve de bassesse certes, mais un moyen de survie aussi. L`ère Ahmed Abdallah, il se dit fidèle et s`engage à l`époque dans l`armée. Sans formation initiale, l`anjouanais trace son chemin mais qui dit malin, malin demi. Il possède la main fantoche : pris en flagrant délit, il a transgressé les codes de l`armée : vol commis avec des circonstances aggravantes. Il a volé une somme colossale d`argent d`une valeur de 28 millions et parti en fuite. A une époque où les enfants du régime étaient les plus protégés, il sera plus tard licencié et banni dans les registres de l`armée nationale. On apprend qu'il est finalement parti s`installer à l`hexagone. Malin qu`il est, il s`inscrit a l`armée où il sera très vite démasqué aussi pour des mauvaises conduites. Par chance, il échappe encore une fois à la justice et retourne au bercail comme un rien.    

Un fonctionnaire d`Etat très averti, qui connait parfaitement les rouages de l`AND me chuchotait ceci un jour en plein travail dans une caserne : « Zé hitima ngazi wanawo ». En se référant de l`histoire d`une famille grand-comorienne dont Tackfine avait abusé violemment la fille ainée, en l`enceintant et déclarant publiquement ceci : « Je n`ai pas des comptes à rendre à personne. Déjà, vu qu`elle est de Ngazidja, je m`en fiche totalement. Personne ne peut me poursuivre en justice car je détiens les clés de la justice ». Il les a violemment menacés d`élimination et poursuis sa ligne de conduite, je cite : « En cas de tentation de porter plainte contre moi, je ferai subir cette famille ce que je suis en train de faire au général Salimou ». L`affaire est soigneusement classée et personne n`en parle.


Vraiment vous m'êtes insupportable... Pas autant, cependant, que votre compère bling-bling AAB, Abou Achirafi Bacar, l`inspecteur raté, imbu de sa personne, roi des falsifications, grand bonimenteur, faux intellectuel qui en réalité ne sert qu'un clocher, celui du détournement de fonds et de consciences, et qui conseille aussi bien en matière de la suretéterritoire le régime Sambi, en s'infiltrant partout, tout en se prétendant fidèle aux idéaux de la corruption. Nous en avons tous assez de le voir se mêler de tout avec une suffisance insupportable et accaparer tous les plateaux de négociations. Etant, Conseiller de Monsieur Achirafi, du Tackfine a roulé la farine avec du vin blanc au lieu et en place d`eau fraiche. En nous disant qu`ils allaient retrouver de gré ou de force les pyromanes qui ont incendiés la résidence du directeur national de la sureté du territoire, ils ont supposé qu`ils étaient les meilleurs enquêteurs du monde. Mon œil ! C`était du bla-bla car le citoyen lambda a su très vite que vous êtes des ignobles menteurs. En mettant le feu et le sang, vous avez cru que les comoriens oublieront les maladresses que vous faites ici et ailleurs.


La vérité, vous la masquez au peuple ! Vous êtes un menteur, Monsieur le Commandant, un imposteur, un faux ami du genre humain, un faux penseur impartial ! Un faux homme des valeurs républicaines, et un vrai agent de la mafia comorienne.


Il faut bien l’avouer, il a mis le Chef d'Etat major actuel de l'armée nationale, Abdallah Gamil dans le qui-vive. En racontant son mécontentement à ses amis mutsamudiens ce que personne ne doutait, « Gamil continue de faire ses affaires dans la tranquillité. En faisant les commandes des entreprises familiales telles que la librairie Nouveauté et Nassib S.A.R.L au nom de l`AND. Je ferais pareil a Anjouan et s`il ose me toucher, on lavera le linge sale ensemble dans la place publique et tant pis pour lui  », s`extase l`ancien trouffion du Santé militaire.


Ce qu’il veut et fait en ce moment, n’est-il pas ce qu’il voulait et faisait déjà à l`époque d`Ahmed Abdallah ? Que veut et que fait Gamil en compagnie d`un homme sans structure professionnelle tel que Tackfine ? Dans ces conditions peut-on entrevoir avec réalisme un lien professionnel avec une personne pareille dans un cabinet militaire ? L`actuel Chef d`Etat major, Abdallah Gamil, et ses camarades, vont-ils devenir ce que Patrice Lumumba et ses camarades furent en 1960-61 au Congo ?


Telles sont quelques-unes des questions cruciales qui se posent et auxquelles renvoient les évènements en cours maniés par un seul homme, heureusement qu`il est déjà démasqué. Toutes choses qui suggèrent des choix à tout comorien conscient de notre temps.  

  

Face à tout cela, et comme écrivait Emile Zola en son temps, dans l’affaire Dreyfus, « j’accuse ». J’accuse les mutins de toutes les garnisons pour la violence aveugle, les détournements, les diffamations gratuites et la méchanceté. J’accuse aussi leurs supérieurs pour n’avoir pas su travailler à créer des cadres internes de concertation et à éviter l’exploitation, l’injustice et le manque d’équité. Car des hommes comme Tackfine, il en a beaucoup. Mais, j’accuse d’abord et surtout le régime du président Sambi d’avoir semé et entretenu la mauvaise graine. Je l’accuse d’avoir refusé d’ouvrir réellement les vannes de la démocratie dans le pays. Cette démocratie véritable lui aurait permis d’éviter d’avoir à payer et choyer l’armée à n’importe quel prix, pour s’assurer sa loyauté. Le monstre finit toujours par se retourner contre son créateur.


J’accuse ce régime d’avoir failli, tout au long de ces cinq dernières années notamment, dans sa politique de gérer et grader ses militaires, de n’avoir pas su former ces hommes en armes aux valeurs républicaines et, ce faisant, d’avoir enfanté, par action ou par omission, son propre cauchemar, mais aussi et surtout celui des paisibles populations.


Zaki Abdoulmadjid

 

300 millions détournés à la SNPSF

Le 09/06/2011

 
 

 

Hommage aux victimes du crash des Comores

Le 09/06/2011

 
Près de deux ans après le tragique accident d’un Airbus A-310 de la compagnie Yemenia, qui s’était abîmé en mer peu avant son arrivée aux Comores, le souvenir de ses victimes et de sa petite miraculée de 14 ans vivra à La Courneuve sous une forme originale : une salle du collège Jean- Vilar, dédiée à l’enseignement du théâtre, deviendra l’espace Djae, du nom de deux élèves de 4e, Samiat et Moutassouim Djae, qui étaient décédés dans cette catastrophe.
Tous deux étaient très impliqués dans le projet théâtre du collège. Inauguration cet après-midi, à 17 h 30, au collège.

 

Des vols de haut niveau a la SNPCF

Le 07/06/2011

 

Il y a deux semaines des experts français, dans le domaine finances, sont dépêchés aux Comores, pour une audition à la SNPCF de Moroni. Et là, il est découvert un fossé de 100 millions de francs comoriens gobés dans le compte de la Receveur de cette société Mme Mahamoud Tadjidine Mariama Assoumani, et depuis donc, l’actrice du fait est placée en garde à vue.


Mais avant que l’emplacement en cachot ne soit pas utile, une délégation des notables de la ville de Moroni est parti avec 50 millions à la SNPCF pour mater la situation auprès des suprêmes mais en vain. Le poids a été lourd.

 

Juste, ce délit s’est produit au moment des versements dans les banques, des finances de la SNPCF. Un détournement de haut niveau ayant comme nature, Fond versés et les compensations des chèques. Oui, une intelligence qui fait régresser le pays mais non progresser au moment où les Comores sont au pied des murs. Ce détournement qui s’est produit sous l’incompétence du DG, DR et des autres instances du service, remonte de 2008, et cela montre que l’Etat est démissionnaire dans l’administration comorienne.

 

Outre, l’informaticien de cette même société, au nom de monsieur Oubeid, originaire de la ville de Foumbouni, où est issu le DG de ce même service, la SNPCF, a commis le grave de même. Une fois que l’ordinateur du guichet a été endommagé, il a été affecté à le réparer. Cela lui a ouvert l’occasion de le régler en sa faveur, et rajouter trois chiffres dont 000 dans son compte. Exemple, si lui a été destiné 25000 fc, il a gagné 25000000 fc, geste qui l’a vite enrichi. Lui et ses amis. Tout se passait tranquillement. Et donc après la découverte du fait, le prévenu  a voulu quitter le pays mais, la police l’arrêté d’un coup et découvert avec 40 millions de francs comoriens en espèce.    

 

Mais au moment où le pays devient société sans état, ces actes ne passeront pas en veilleuse et ces acteurs ne seront pas récompensés, comme l’ancien DGI sous Azali qui s’est vu nommer au plan après un mandat d’arrêt international lié à un vol, aux anciens ministres d’Azali, sortant de la prison pour être récompensés par Sambi…comme le juge qui quittait le service des impôts par un magouille pour la justice…, comme l’ancien DG des hôpitaux quittant la prison et se présenté candidat aux législatives dernières en faveur du Régime Sambi ?

 

La Rédaction - Comoresplus

 

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