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Dossar tourne le dos à Ikililou

Le 07/09/2011

M. Dossar, ex-conseiller d'Ikililou
M. Dossar, ex-conseiller d'Ikililou 

L'ancien ministre des Finances et ancien conseiller spécial du président Ikililou Dhoinine quitte le cabinet présidentiel pour servir au sein de la société HSS holding  M. Dossar explique ici les principales motivations de cette démarche, faisant de lui le principal manager de cette société aux Comores. 

 La demande émane de vous ou c'est plutôt HSS qui vous a sollicité ? 

C'est la société qui a fait la demande. Il va y avoir une montée en puissance des activités de HSS. Le PDG de HSS, Essam El Fahim ne pourra pas être présent aux Comores en permanence. Il fallait un Comorien pour assurer les affaires courantes et le suivi des projets.

 

Quel sera alors votre rang au sein de la holding ? Etes-vous actionnaire? 

Non, je ne suis pas actionnaire. Je suis le directeur administratif et financier de HSS aux Comores; je suis un employé de la société, chargé du suivi des différents projets. Je serai le numéro 1 de HSS aux Comores. 

 Quelle sera concrètement votre tâche ? 

 Je vais assurer la liaison entre HSS et les autorités comoriennes. Je vais coordonner les activités de la holding, assurer la supervision du personnel. J'aurai donc un œil sur les projets promis par HSS aux Comores. 

 Pouvez-vous énumérer ces projets ? 

 Il est difficile, quand un  programme démarre, de donner une liste des projets. Il serait mieux que les gens les découvrent au fur et à mesure. Le projet visible et sans doute le terminal de ferry de Moroni dont les travaux ont déjà démarré. Je dois préciser qu'il ne s'agit pas d'un simple port mais d'un nouvel espace d'extension de la capitale. Il y aura un centre commercial, un centre de loisirs, bref des activités touristiques... Il ne faut pas voir l'angle du port, même s'il y aura les liaisons maritimes inter iles, Dans certains pays voisins comme Maurice, ces activités existent. 

 Une polémique sur la démolition du foyer des femmes fait rage à Moroni. Qu'en dites- vous ? 

 Toutes les assurances ont été données que le foyer des femmes ne sera pas démoli. Je ne sais pas ce qu'il faut dire encore. Les travaux ont démarré, le foyer n'a pas été touché, les travaux se feront sur la mer. L'espace sera aménagé sur la mer mais pas là où il y a le foyer des femmes 

 On reproche à la HSS d'ignorer les conséquences sur l'environnement. Que dites- vous? 

 Une étude d'impact est en cours, Les travaux seront communiqués très incessamment

Quels sont les termes des accords passés entre HSS et le gouvernement comorien à propos de ces projets puisqu'on parle des projets strictement privés ? 

Ce sont des projets BOT (Build  operate transfer : construction, exploitation et transfert, ndlr) qui ont vocation à revenir à l'Etat comorien après une période d'exploitation qui sera déterminée par les deux parties. Mais, il faut comprendre que ce sont des projets qui devraient être réalisés par le pays. C'est une chance pour les Comores. 

Quel est le lien existant entre HSS et la Fondation Fatima ?

La fondation Fatima est une ONG qui a pris l'engagement d'aider les Comores, mais elle ne peut pas réaliser les travaux elle-même. HSS va donc exécuter les projets promis par la fondation aux Comores. Les projets en cours sont réalisés sur fonds propres de HSS. Il y a actuellement une centaine de Comoriens recrutés par HSS pour ces travaux et cinq personnes pour assurer l'administration. 

A quand le décaissement des 2 milliards d'euros promis par la fondation ? 

Les démarches sont en cours entre le gouvernement et les responsables de la fondation. Cela prendra quelques semaines.  

On vous prête des relations difficiles avec vos collègues du cabinet du chef de l'Etat...

Ce sont des rumeurs infondées. J'ai toujours eu de relations très cordiales avec mes collègues. Je reste d'ailleurs à la disposition du chef de l'Etat et je resterai solidaire à l'action gouvernementale. Il n'y a pas d'antinomies. Les projets de développement auraient pu être réalisés par le gouvernement. Nous avons les mêmes objectifs, celui d'aider le pays à amorcer son décollage économique. 

Le président est-il au courant de votre initiative ?

J'ai discuté longuement avec lui. Il a été d'ailleurs content car il aura un homme de confiance qui va aider à la concrétisation de ces projets, au profit de la population comorienne. Il ne faut pas voir ces projets sous l'angle de l'entreprise, mais sous l'angle du développement. Les Comoriens seront les premiers à en tirer profit. Si c'était un supermarché, cela serait un cadre strictement privé, mais pour des projets de transports, c'est le pays qui en devient le principal gagnant.

 A.S.KEMBA

 

Chamité s'en va, parlons d'avenir

Le 07/09/2011

Maitre Chamité, Coach national
Maitre Chamité, Coach national 

 

Comme disait William Shakespeare : « Il y a une marée dans les affaires des hommes...». Aujourd'hui la marée verte, celle des Cœlacanthes semble bien sombre. En effet quelques jours après la débâcle de l'équipe des Comores de football lors de la 8e édition des Jeux des Iles de l`Océan Indien, le temps des constats est arrivé. Entre bilan et perspectives, il est temps de se poser véritablement les questions essentielles.
 
L'équipe comorienne de football véritable vecteur de passion vient de connaitre une débâcle sans précèdent lors de la 8e édition des Jeux des Iles de l`Océan Indien aux Seychelles. Maitre Chamité, a ainsi décidé de démissionner de son poste de sélectionneur et entraineur de l`équipe nationale. Selon les médias locaux, il devrait manager son dernier match le 4 septembre prochain à Mitsamihouli lors de la rencontre Comores-Zambie.
 
La Fédération comorienne de football, sous l`égide de son patron, Tourqui Salim vient de l'annoncer au cours d`une conférence de presse à Moroni. Chamité a donné raison à ceux qui n'ont cessé de demander son départ. Mal en point sportivement et secoués par les querelles inutiles au sein du groupe, après les nuls et les défaites, les joueurs comoriens jouent le 4 septembre contre les Chipolopolos (Les boulets de cuivre) avec une chance infime de se qualifier pour les éliminatoires de la Can 2012. Jusqu'où va s'enfoncer l'équipe des Comores et le football national ? La question se pose chaque fois que le jour se lève sur l`archipel.
 
Des instances à l'agonie. L'avenir est aujourd'hui ce qui doit nous intéresser le plus dans un premier temps, il semble difficile voir impossible de continuer dans ce mode de fonctionnement au niveau des instances du football comorien. En effet, il semble primordial de rénover la gouvernance de nos instances afin d'éviter de connaitre des désillusions similaire dans le concert des compétitions. La politique mené étant un échec, il est nécessaire que l'ensemble des responsables ayant régné sur cette dernière décennie démissionne, ce qui semble légitime aux yeux des supporters des cœlacanthes qui attendent un véritable renouveau. Il parait légitime que ce soit désormais des personnes compétents qui s'occupent du football comorien et ainsi lui permettre d'émerger au plus haut niveau.
 
Un raccourci rapide consisterait à dire que cette déperdition coïncide avec la venue de Chamité aux commandes de la sélection nationale. En poste officiellement depuis l'été 2009 de l`équipe A des Comores. Le technicien était d`abord l`entraineur de l'équipe comorienne espoirs. Il avait amené les Comores à la Coupe COSAFA, Council Of Southern Africa Football Associations, pour les moins de 20 ans (La compétition fut instaurée en 1997 après la réintégration de l'Afrique du Sud à la Coupe d'Afrique des Nations de Football en 1996) en 2007. En succédant à Ali Mbaé Camara, la première mission pour Chamité était d`édifier un projet pour la sélection comorienne de football. Une équipe qui est toujours à la recherche de ses valeurs, sa classe et son éthique footballistique. Une lourde tâche car c`est la base fondamentale. Le haut niveau exige beaucoup de choses notamment l`excellence. Et cela n`existe pas chez nous. Le technicien avait-il tout les moyens nécessaires pour tenailler la bataille ? Qu'en pensent et attendent les témoins les plus avertis de notre football ? Quelles leçons ont été prises après le fiasco de la coupe Cosafa en Afrique du Sud en 2007 ? Que font les responsables de l`Etat chargé de superviser le sport le plus populaire de notre pays ? Censé patrouiller et s`assurer le bon fonctionnement de l`équipe nationale, la FCF se la joue en «Dame de pique». Pauvre Chamité a cristallisé plus que jamais les haines les plus féroces et les plus stupides. Encore plus, ceux qui nous enfoncent dans le désarroi défilaient aux abords pour réclamer la démission de l'entraîneur. Frilosité tactique, incapacité à gérer les ego... les reproches ont fusé tout au long de son exercice.
 
Un avenir ambigu. Sur le plan sportif, il est urgent de voir émerger des idées neuves notamment au niveau de la formation des jeunes joueurs avec la nécessité de former des joueurs plus techniques apportant une véritable valeur ajouté avec un état d'esprit irréprochable. La D1 (la Première Division) doit être impérativement un levier de cette espérance. Cependant, il est réglementaire de se demander comment bâtir une équipe nationale compétitive et concurrentielle ? Oui, Chamité a jeté l`éponge. Mais qui aurait vraiment les épaules pour le remplacer ? Entre un entraîneur confirmé de la D1, un franco-comorien (Car il y en a plusieurs...) ou un entraîneur étranger : qui la Fédération Comorienne de Football doit-il choisir ?
 
Que notre univers sportif reste solide dans ses institutions, voila un objectif sur lequel tous les passionnés peuvent aujourd'hui se rassembler. Depuis 2005, l`équipe de football des Comores est entrée dans une ère nouvelle, dans ce que l'on nomme habituellement le «Monde de la Fifa». Un nouvel équilibre du monde foot dans lequel les règles du jeu sont complètement changées. Dans les années qui viennent, quel sera le sort de l`équipe nationale ? Nous n'en savons encore rien. Mais nous savons qu'elle ne pourra relever le défi que par l'effort, que par la volonté tendue de tout son peuple de vaincre. L'heure est venue de retrouver les vraies valeurs du football.
 
L'un des aspects les plus gênants, c'est que les dirigeants de la FCF ne comprennent pas vraiment où ils ont fauté. Ah bon! La Fédé est scrutée par tous. Au lieu d'affronter les vrais  problèmes, le ministère de la Jeunesse et des Sports préfère le plus souvent fermer pudiquement les yeux. Ou les détourner. Souvent  allergiques aux médias et aux relais d'opinion, les Présidents des instances dirigeantes du football comorien ont laissé vivre cette image faussée de leur business. Laissant la liberté  aux journalistes spécialisés de donner leur point de vue : une vision très critique participant à la dévalorisation du spectacle sportif comorien, et au désamour aussi lent que sûr du public : Aucune prévention donc aucune protection ! La vérité est toute autre : Le foot comorien est devenu un business rentable à ce jour. La FCF (Fédération Comorienne de Football), c`est une case dans les comptes. Les gens de la Fédé, quand ils disent qu'ils connaissent le terrain, ils parlent de quoi ? Du football d'il y a vingt ou trente ans ? Nos dirigeants sont déconnectés du football moderne. On a l'impression de tout subir.
 
En répercussion, comme disait William Shakespeare : « Il y a une marée dans les affaires des hommes, prise dans son flux elle porte au succès. Mais si l'on manque sa chance, le grand voyage de la vie s'échoue misérablement sur le sable. Hors aujourd'hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu'il est favorable où tout ce que l'on a risqué sera perdu ».
 
Effectivement, il semble qu'aujourd'hui le football comorien ait la possibilité de prendre un nouvel élan et de se retrouver à marée haute et il est grand temps de reprendre en main le navire des Cœlacanthes agonisant ou toutes les désillusions subis ces derniers temps auront été inutile. Le ballon rond n'est pas un talisman. Il ne permet pas de guérir les maux dont souffre la société. Au mieux, on peut y voir un miroir. Un miroir déformant de nos pires travers. La question n'est pas de savoir si notre sélection est malade d'une certaine faille. Banal. Mais si elle est décidée à le combattre. Si elle est décidée à dépasser les slogans creux d'après match ou de changer un sélectionneur. Si elle est décidée à devenir réellement une vraie équipe nationale. Au stade. Et bien au-delà, dans le reste de la Cité.
 
So. Hwoussewesso

 

Les Comores reconnaissent le CNT

Le 07/09/2011

Ikililou Dhoinine, Pdt des Comores
Ikililou Dhoinine, Pdt des Comores 

L’Union des Comores vient de reconnaitre officiellement le Conseil national de transition (Cnt) en Libye. Cette annonce fait suite à une demande de reconnaissance par le gouvernement Comorien, formulée par les nouvelles autorités à Tripoli. Les Comores viennent d’intégrer la liste de plus en plus longue, des pays qui ont reconnu le Cnt comme seule autorité légitime en Libye. Selon un haut fonctionnaire du ministère des Relations extérieures, un communiqué dans ce sens sera rendu public dès aujourd’hui mardi et une note verbale a déjà été envoyée, le vendredi 2 septembre, au représentant de l’ambassade libyen à Moroni.

“Nous avons de bonnes raisons de reconnaitre le Cnt, car c’est aussi soutenir le droit du peuple libyen de jouir de la liberté et de la démocratie“ dit-on au Mirex. Au niveau international, les choses se précipitent aussi favorablement pour le Cnt. La ligue des Etats arabes, dont les Comores sont membres, et une vingtaine de pays africains ont déjà fait savoir leur reconnaissance au gouvernement composé par des anciens rebelles... Pour rappel, les Comores avaient affirmé s’aligner derrière la position de l’Union africaine, qui en tant qu’institution, se refuse toujours de reconnaitre officiellement le pouvoir des ex-rebelles.

Sur le terrain, les forces du désormais ancien guide libyen ont établi leur bastion à Beni Walid, où se seraient retranchés des membres de la famille du leader en fuite. Pour ce qui est de la démocratie, l’Ong américaine des Droits de l’homme Human Right Wacht dénonce les amalgames et les exactions de certains membres du nouveau régime envers les populations d’origines noires, accusées de soutenir le “tout nouveau rebelle“, Kadhafi.

 

Toyb Ahmed

 

Pourquoi, diable, ils sont toujours la ?

Le 07/09/2011

Si les patrons des sociétés d’Etat avaient bien travaillé, l’opinion l’aurait su. Or, il se trouve que les indicateurs de presque tous les établissements publics sont aujourd’hui au rouge. C’est d’ailleurs un miracle s’ils n’ont pas jusqu’ici déposé le bilan. 

La Ma-mwé ne tient qu’à un fil et a cessé de remplir sa mission depuis belle lurette ; la Sch n’est plus ce fleuron qui finançait jadis les urgences gouvernementales et a du mal à renouveler ses stocks ; l’Onicor, sous les feux de la rampe ces derniers temps pour ses multiples scandales financiers, bat de l’aile ; Comores Télécom, en raison d’investissements pour le moins hasardeux et des recrutements fantaisistes et purement politiciens, est devenue l’ombre d’elle-même ; la Snpsf que certains présentaient jusque-là comme l’exception de la règle est aujourd’hui dans l’œil du cyclone. Malgré tout, il y a encore des thuriféraires du précédent pouvoir qui veulent nous convaincre que leur régime n’a pas échoué. 

Si les sociétés d’Etat ont de tout temps servi à engraisser les proches, cousins et autres séides du pouvoir, l’histoire retiendra que sous Sambi, elles se sont royalement acquittées de cette tâche (Je vois les Sambistes pur sucre me demander de laisser tranquille leur poulain puisqu’il n’est plus aux affaires. Ils doivent craindre plus le jugement de Dieu que celui des hommes). 

Nous sommes encore nombreux à nous demander par quel miracle ces patrons de sociétés d’Etat ont réussi à garder leurs postes jusqu’ici. Eux qui devraient être, en ce moment, en train de s’expliquer devant un juge d’instruction. Qui a dit que les gris-gris sont devenus inopérants ? Franchement, pourquoi le président Ikililou, qui est au fait de la gestion de ces sociétés, maintient-ils des gens qui ont failli à leurs missions ? Qu’attend-il pour nous débarrasser de cette bande d’incompétents aux dents toujours longues ? 

Inoussablog

 

Comores Télécom demande à l’assemblée de s’opposer à la privatisation…

Le 28/08/2011

Le Staff de l`Assemblee Nationale
Le Staff de l`Assemblee Nationale 

L’Assemblée nationale avait reçu ce mardi en audience des cadres de Comores Télécom. La direction de la société demande le soutien des élus pour s’opposer à la conception de l’exécutif dans la privatisation. Suite à des réflexions internes, cette société d’Etat propose une division en deux de la société.

Le gouvernement comorien s’est engagé dans le cadre du programme IPPTE à procéder une réforme de ses sociétés d’Etat parmi lesquelles Comores Télécom. Suite au rapport de la SFI (Banque Mondiale), le gouvernement a mis en place une commission chargée de la privatisation de Comores Télécom par un arrêté du ministère des finances le 19 janvier 2010. Une commission technique chargée de la privatisation de la société est mise en place.

« La direction générale de Comores Télécom a accompagné les travaux de ladite commission en finançant notamment l’audit des comptes financiers ainsi que la réalisation d’un busines plan préalable à l’évaluation du patrimoine de la société », lit-on dans un courrier adressé à l’Assemblée nationale de l’Union des Comores. Après plusieurs réflexions à l’intérieur de la boite, les cadres proposent de scinder la société Comores Télécom en deux entités distinctes. « Une création d’une société de téléphonie mobile ouverte à l’investissement privé (étrangers et nationaux) et une création d’une autre société de téléphonie fixe (téléphonie fixe, fibre optique et transmission des données) », lit-on une lettre adressée au parlement.

Cette proposition fait suite aux craintes de la société. « Il se trouve que dès la mise en service de la fibre optique, des convoitises apparaissent ici et là pour la gestion de cette infrastructure à large bande passante et le gouvernement dans son conseil des ministres du 18 mai 2011, appuyé ensuite par deux récentes missions de la Banque mondiale, entend externaliser la gestion de la fibre optique de la société Comores Télécom », explique-t-on dans cette société d’Etat. En clair, les cadres de cette entreprise croient qu’avant de dire que « le gouvernement entend séparer la fibre optique du patrimoine de Comores Télécom ».

Comores Télécom ne s’opposerait pas totalement à la privatisation, mais pose certaines conditions. « Pour que cet objectif soit atteint, les Comores doivent disposer d’une politique sectorielle bien définie au lieu de procéder au coup par coup », peut-on lire dans ce document. « La nécessité d’une politique sectorielle des TIC va permettre de concevoir des projets visant un échange d’expériences, un transfert de compétence, d’expertise pour un développement durable du secteur des TIC, utiliser les TIC comme un levier pour stimuler la création d’emplois dans les autres secteurs et favoriser les partenariats publics-privés dans le secteur ».

 

A.A. Mguéni

 

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