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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

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Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Le 09/10/2008

Le 4ème forum économique des Chambres de Commerces et d'Industries des îles du Sud Ouest de l'Océan Indien (Comores, Madagascar, Maurice, Réunion et Seychelles) aura lieu du 21 au 23 octobre 2008 à Moroni, aux Comores.

Environ 150 participants des îles de la zone seront attendus lors de cette rencontre. C'est l'Union des Chambres de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture des Comores (UCCIA) qui est responsable de l'organisation de la rencontre. Celle-ci sera aussi marquée par l'Assemblée générale annuelle de l'Union des Chambres de Commerce et d'Industrie de l'Océan Indien (UCCIOI). Il reviendra à Maurice d'assurer la Présidence tournante.

 

Le forum a prévu des ateliers de travail sur des thèmes suivants :

La sécurité alimentaire et les opportunités pour les îles du Sud Ouest de l'Océan Indien

La mise en oeuvre de l'Accord de Partenariat Économique (APE) intérimaire entre l'Union Européenne et les quatre pays ACP (Comores, Madagascar, Maurice et Seychelles) de la sous région ainsi que les discussions autour d'un éventuel accord complet ;

Le développement des nouvelles technologies de l'information et de la communication et l'évolution des échanges intra régionaux ;

Le fret maritime régional ;

Les opportunités que représentent les Comores, pour la zone, comme tête de pont dans les pays du Golfe.

 

Aussi le portail du Réseau régional en information commerciale de la Commission de l'Océan Indien (COI) fera l'objet d'une présentation. C'est la Chambre de Commerce et d'Industrie de Maurice qui est le point focal pour la gestion du portail. Ce dernier intégrera la toile de chaque Chambre de Commerce des pays membres de la COI. Le portail constitue ainsi une plateforme pour la promotion de l'information utile sur le potentiel commercial de la zone du Sud Ouest de l'Océan Indien.

 

                                                                                                                      Média-terre. 

 

une rentrée scolaire plus que jamais incertaine

Le 09/10/2008

Mad Ali Said
Mad Ali Said 

La rentrée scolaire des écoles publiques comoriennes devait avoir lieu, lundi 6 octobre, sur fond de crise sociale. Selon le censeur du lycée de Said Mohamed Cheik de Moroni, Mad Ali Said (DJiDJI), la rentrée des professeurs a bien eu lieu dans des conditions satisfaisantes conformément à la note du ministère de l’Éducation nationale, et il espère que les cours pourront reprendre dès la semaine prochaine.

 

Mais du côté des enseignants, le gouvernement « n’est pas prêt pour cette rentrée. »
Au niveau du lycée, certains professeurs ironisent l’audace du gouvernement qui « ose annoncer une rentrée scolaire sans avoir répondu à aucune de leurs revendications. »

Pour ce qui est de l’école primaire, le syndicat des instituteurs a déjà voté en assemblée générale, lundi, la non-reprise des cours jusqu’à nouvel ordre. Ils réclament entre autres le paiement des arriérés de salaires impayés depuis le mois d’avril 2008.

 

                                                            Kwéli

 

Moussa Kaka: «Je reviens des portes de l'enfer»

Le 09/10/2008

 

Le correspondant de Radio France internationale (RFI) au Niger, Moussa Kaka, est sorti mardi de la prison de Niamey après plus d'un an de détention.

 

Moussa Kaka a été accueilli dans la joie à sa sortie de prison. (Photo: AFP)

Vêtu d'un tee-shirt RFI, Moussa Kaka, visiblement stressé et en colère contre les autorités, a retrouvé ses deux femmes et ses enfants ainsi que des amis qui l'attendaient devant le centre de détention où s'étaient réunies des dizaines de personnes.

 

«Je suis très ému car je reviens de très loin, sincèrement à la limite des portes de l'enfer», a-t-il déclaré à la presse. «Du début jusqu'à aujourd'hui j'étais innocent, seulement je leur 'pompais l'air' en faisant mon travail de journaliste alors il fallait qu'ils me mettent à l'ombre», a-t-il dit, ajoutant: «Je n'ai rien fait de mal. Je garde la tête haute».

La cour d'appel de Niamey avait ordonné un peu plus tôt sa mise en liberté provisoire «d'office».

 

«Les faits sont requalifiés d''atteinte à l'intégrité du territoire national par entente avec les éléments du MNJ'», le Mouvement des Nigériens pour la Justice, rébellion touareg, a précisé son avocat Me Fodi Boureima Mamadou.

«Moussa est renvoyé devant le tribunal correctionnel. L'infraction qui était considérée comme un crime au départ a été requalifiée en délit», a souligné l'avocat.

 

Pas de rébellion, selon les autorités

 

Le journaliste, également correspondant de Reporters sans frontières (RSF) et directeur de la radio privée Saraounya, encourt désormais une peine allant de un à dix ans de prison.

Correspondant de RFI depuis quinze ans, Moussa Kaka avait été arrêté le 20 septembre 2007 puis inculpé de «complicité d'atteinte à l'autorité de l'Etat» pour des liens présumés avec les rebelles touareg.

 

Il est poursuivi sur la base d'enregistrements d'écoutes téléphoniques, seules preuves à charge qui contenaient des conversations avec notamment Agaly Alambo, chef du MNJ.

 

Niamey a toujours affirmé qu'il n'avait pas été arrêté en raison de ses activités journalistiques. Le président Mamadou Tandja a toujours nié l'existence d'une rébellion touareg, refusant de dialoguer avec le MNJ dont il qualifie les chefs de «bandits armés et de trafiquants de drogue».



                                                                                                                       Source: SDA/ATS   

 

Moussa Toybou sur les traces du président de Ngazidja ?

Le 09/10/2008

Moussa Toybou
Moussa Toybou 

Entre Moussa Toybou, le président anjouanais, et le chef de l’Etat, si ce n’est pas encore la guerre, ils n’ont pas, en tout cas, la même lecture de la reforme constitutionnelle que le second appelle de ses vœux. Les propos de M. Toybou, le samedi sur Djabal Tv, tranchent avec ceux tenus par le président Sambi quatre jours plus tôt, et semblent rejoindre, paradoxalement, les déclarations de l’opposition.


Pour Toybou, la préoccupation actuelle de la population n’est pas la révision de la constitution, mais l’amélioration de leur quotidien. C’est exactement ce qu’a dit, il y a seulement un mois, le député Mhoumadi Ibrahim Sidi, considéré comme l’un des farouches adversaires de Sambi, à l’occasion d’une conférence de presse à Moroni.


Il faut dire que Moussa Toybou a la réputation d’être l’homme de confiance de Sambi, qui ne s’est pas économisé pour lui offrir la présidence de l’île en juin dernier. L’on sait que Mohamed Abdouloihabi, chef de l’exécutif de Ngazidja, avait refusé, dans un premier temps, de recevoir son homologue d’Anjouan pour ses accointances avec Beit-salam.


Voilà qu’après son interview sur Djabal Tv, Toybou a vu les portes de la résidence privée d’Abouloihabi s’ouvrir à lui. Les deux hommes se sont rencontrés à Iconi, d’abord en tête-à-tête avant d’élargir l’entrevue à M. Dhoiffir Bounou et Soudjay Hamadi, les présidents des parlements de l’Union et de Ngazidja.


Le syndrome Fazul est en marche. En effet, l’on se rappelle que c’est l’ex-président de Mohéli, Mohamed Said Fazul, qui aussitôt élu, s’est retourné contre ses anciens protecteurs, la CRC du colonel Azali. M. Abdouloihabi lui a emboîté le pas.


Le président Moussa Toybou n’a pas à s’agenouiller devant un régime finissant qui ne peut rien contre lui. Au risque de se brûler les ailes et d’empoisonner ses relations avec Mohamed Ali Said et Mohamed Abdouloihabi, qui disposent encore de quatre ans avant le terme de leur mandat. Ce sont sûrement ces considérations politiques qui pourraient précipiter le désamour entre Toybou et Sambi.

 

                                                                               Inoussa blog

 

Conclusion Générale ?

Le 06/10/2008

 

A mi-mandat du régime Sambi, force est de constater que les vrais enjeux ont été relégués au second plan : Stabilité politique, Paix sociale, Croissance économique et mise en valeur des ressources humaines; Lutte contre la pauvreté, Objectifs du millénaire. Depuis deux ans, le pays est en récession économique, la situation sociale est devenue très préoccupante;

 


Depuis plus de 5 mois, le pays vit une des crises économiques et sociales la plus désastreuse de son histoire. Le pays ressemble parfois à un pays en guerre : plus de carburant, plus d’électricité. Il arrive parfois de vivre dans le noir complet avec une circulation réduite de véhicules, des bureaux et magasins travaillant au ralenti, des pêcheurs, artisans et industriels assignés à résidence, des opérateurs économiques en en faillite…

 

 


La vie au quotidien des consommateurs est devenue un calvaire avec la flambée spectaculaire des prix de tous les produits de base. Les consommateurs ne sont pas les seuls frappés par cette crise, le secteur productif est frappé de plein fouet. Pour la première fois dans l’histoire comorienne, la Fédération du Secteur Privé Comorien (FSPC) a porté plainte contre le gouvernement Comorien (à travers la Société Comor Hydrocarbures et la Ma Mwe ) pour ce quelle qualifie de « banqueroute de plusieurs opérateurs économiques et de mise à mort de l’économie comorienne».

 


Dans leur plainte adressée au Procureur de la République , la FSPC a motivé leur requête par le fait que « La Société Comor Hydrocarbures a failli à sa mission principale, celle d’approvisionner le pays en permanence en produits pétroliers, la Mwa Mwe ne remplit plus son devoir de fournir l’électricité nécessaire au fonctionnement du pays et d’informer ses clients de son incapacité à honorer son contrat;

 


Il n’est pas à démontrer que l’économie comorienne continue de subir des conséquences fâcheuses de la double crise du carburant et énergétique que traverse le pays. Certaines entreprises ont fermé la porte et d’autres risquent d’emboîter le pas. Sil n’est pas facile d’estimer les pertes des entreprises, l’économie comorienne dans sa globalité a subi des dommages de près de 15 milliards de nos francs selon les premières estimations (9% du PIB).

 

 


Plus grave encore, les acquis de la réconciliation nationale, fruits de plusieurs années d’efforts, de travail de rapprochement entre les Comoriens, d’appui de la Communauté Internationale , ont été remis en cause par le pouvoir qui privilégie l’exacerbation des haines sociales.

 


Les dérives financières deviennent monnaie courante: de la multiplication des ordonnateurs des dépenses publiques à l’attribution des marchés publics de plusieurs centaines de millions de francs sans appel d’offre aux membres de la famille et aux amis.

 


La course aux postes politiques qui a atteint son comble, encourage fortement l’émergence de petits partis sans envergure nationale, constitués sur la base des motivations opportunistes. Ce qui contribue à dégrader de plus en plus, l'image des dirigeants politiques, à déformer le rôle des organisations politiques et à vider la vie politique de sa substance vivifiante, en la réduisant à une simple compétition pour des postes.

 

 


Au lieu d’encourager le peuple à produire et à innover pour améliorer son cadre et la qualité de la vie, le Président Sambi installe le Pays dans la fatalité en axant sa politique sur la mendicité et l’improvisation.

 


A mi-mandat, le Président Sambi a réussi la prouesse de ne rien concrétiser quant a ses promesses électorales et tous les indicateurs socio économiques ne présagent rien de bon sauf à croire aux miracles. Difficile d’imaginer que le miracle est réservé à la fin...

 

 

 

 

 

                                                   Karidjini kamriysera

 

 

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