Tiken Jah Fakoly

La star ivoirienne de reggae Tiken Jah Fakoly a demandé vendredi à Bamako à la junte au pouvoir en Mauritanie depuis le coup d'Etat du 6 août de "quitter le pouvoir" et libérer "très rapidement" le président renversé.

"Il faut que la junte au pouvoir parte, quitte le pouvoir et libère rapidement, très rapidement, le président démocratiquement élu", a-t-il déclaré à quelques journalistes, dont l'AFP.

"Il y a un président démocratiquement élu, il faut qu'il revienne.

Les coups d'Etats mettent en retard le continent africain", a ajouté le chanteur engagé, un des artistes les plus populaires sur le continent africain, notamment auprès de la jeunesse.
"Je m'adresse directement au chef de la junte (le général Mohamed Ould Abdel Aziz). Il faut qu'il parte, je ne vois pas comment il peut tenir.

Il faut multiplier les pressions sur lui pour qu'il quitte le pouvoir ", a ajouté la star ivoirienne.
"Les sanctions doivent être imposées rapidement aux membres de la junte en vue du rétablissement de l'ordre constitutionnel", a-t-il conclu. Le coup de force a été condamné par la communauté internationale, notamment par l'Union africaine qui menace la junte de sanctions.

Très engagé depuis le début de sa carrière en 1991, Tiken Jah Fakoly se veut "la voix des sans-voix" grâce au reggae qui permet "l'éveil des consciences".

Dans son célèbre succès "Quitte le pouvoir", il poussait vers la porte de sortie les chefs d'Etat africains au pouvoir depuis des années, voire des décennies.

                                                                      AFP

Salle d'enregistrement de la Radio Océan Indien

La station Radio Océan Indien , qui appartient au groupe MRV, présidé et dirigé par Mr Mroivili Saïd Youssouf Ali Ibouroi, est la radio d’information préférée des Comoriens partout dans le monde et se classe dans les meilleures audiences. L’ORTC, l’office de la radio nationale occupe la 3^ème place, derrière MRV et MORONI FM basée au sud de la capitale, Zilimadju, d'après un sondage éffectué par Bangwenet.

De Mkazi où elle siège , Moroni, Tana, Rabat, Kuala Lumpur, Londres, Marseille, paris et d’autres villes du monde entier, elle est la radio d’information la plus écoutée des Comoriens, grâce à une programmation permettant de suivre l’actualité tout au long de la journée.
Toutes les demies heures, un journal en 15 minutes résume l'actualité du moment et présente les principaux titres sous forme de reportages ou d'interviews.
Il est complété par un rappel régulier des titres de l'actualité.

D’après un sondage réalisé par Bangwenet en fin du mois d’Août 2008 , elle est aussi considérée comme "la radio la plus crédible" dans l’ensemble de l’Archipel.

Pour assurer l’information en continu sur ses ondes, cette station possède un peu partout dans le monde un réseau d'envoyés spéciaux permanents et de correspondants qu'elle partage avec d’autres site d’informations.
Elle dispose de trois bureaux : Mkazi (Comores), Marseille, Montréal et utilise le réseau d’internet Comores Télécom dans les autres régions.

Adresse 1 : Mkazi B.P 2398 Ngazidja
Tel : +269 7731291 ou +269 7750102
Fax:+269 7750101
Adresse 2 : 34, rue Marathon 13013 Marseille Tel: +33660458946 ou +33630606220
radio.oceanindien@hotmail.fr
radio.mrv@comorestelecom.km

www.radioceanindien.km

                                                                                           G. H. Youssouf/Bangwenet

Youssouf Saïd

Youssouf Said Soilih, ministre de l’économie, des finances et porte-parole du gouvernement de Ngazidja, qui ne digère pas les critiques constantes du président de l’Union envers l’exécutif de l’île autonome de Ngazidja, accuse M. Sambi de « mentir au peuple comorien. » « L’Union (par la voix du chef de l’Etat) déforme la réalité et diffuse des informations complètement fausses. »

« Le président dit sans cesse que tout ce qui ne va pas, c’est à cause des institutions insulaires, c’est complètement faux », ajoute Youssouf Said qui reconnaît que les marges de manouvre des îles pour permettre à la population de faire face à la crise économique actuelle sont quasiment nulles. Il demande ainsi au gouvernement de l’Union de libérer les moyens nécessaires pour permettre aux exécutifs insulaires de promouvoir le développement des îles « au lieu de les dilapider » par des mesures hasardeuses dont l’incidence budgétaire est considérable.

Le débat a été houleux hier entre le gouvernement de l’Union et celui d’Anjouan. Des ministres anjouanais regrettent, en effet, que Moroni procède à des nominations sur l’île à l’insu de l’exécutif d’Anjouan. C’est le cas du tout nouveau directeur général des hydrocarbures à Anjouan. Les discussions ont tellement été animées qu’un ministre anjouanais aurait lâché : « Si vous voulez le retour au séparatisme, vous l’aurez». Cette rumeur qui fait le tour de Mutsamudu ne nous a pas encore été confirmée par une autorité officielle.

Au Stadium Djibouti, Les Reds de Mitsoudjé ont subi la loi de Wadi Ness lors de la première journée de la Ligue des Champions Arabes. JACM a été surclassé 4-1 par le champion de la Coupe de Palestine et ne s'est quasiment pas créé d'occasions. L'affaire est mal engagée pour les petits-fils de Jacques.

Défait lourdement le dimanche, 05 octobre 2008, la Jeunesse Athlétique a mal débuté sa campagne régionale. Les Reds de Mitsoudjé , a surtout retenu le manque d'expérience de ses joueurs. Et à ce niveau-là de la compétition, cela ne pardonne généralement pas.

Etrillés 4 buts à 1 par les hommes de Bakri syel Sayid lors de cette première journée de Ligue des Champions arabes, les Rouges et blancs n'ont pas tous été à la hauteur de l'évènement. Ceux-là ont surtout pu mesurer le chemin qui leur reste à parcourir pour pouvoir se mesurer aux grands du monde Arabe et surtout rivaliser avec eux. Pourtant, ils avaient été prévenus : à ce niveau-là de la compétition, l'addition est souvent salée quand la réussite et surtout l'envie ne sont pas au rendez-vous.

                                                             Fatah B, le kazar, Djibouti