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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Rendez-vous d’opérateurs économiques de l’océan Indien à Moroni

Le 17/10/2008

La quatrième édition du Forum économique des îles de l’océan Indien (FEIOI) se tiendra, cette année, du 21 au 23 octobre, aux Comores, avec près d’une centaine d’opérateurs économiques de la région qui ont confirmé leur participation, selon le secrétaire général de l’Union des Chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture (UCCIA) des Comores, M. Said Athouman Said Ali.

 

Ce Forum constitue, selon lui, « un espace de rencontre B to B (Business to Business) entre entreprises privées de la zone de l’océan Indien ».

 

Le FEIOI est une manifestation économique qui se tient tous les ans et dont l’objectif est de regrouper le maximum d’opérateurs publics et privés de la région.

Les trois précédentes éditions ont eu lieu successivement à Madagascar, La Réunion et en Ile Maurice.

 

 

                                                                                                                         LesAfriques

 

Les Coelecanthes des Comores retrouvent les Malgaches encore !

Le 17/10/2008

Les Coelecanthes des Comores
Les Coelecanthes des Comores 

La vie continue pour les Coelecanthes des Comores après l’échec aux éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010 face aux géants Barea de Madagascar . Les juniors enchaînent avec la Cosafa Cup.

 

Les Coelecanthes des Comores moins de 20 ans retrouveront les Blacks Mambas mozambicains et les ennemis de toujours, les Malgaches. Le tirage au sort a été fait mercredi à Johannesburg, Afrique du Sud. Les jeunes comoriens, dans le cadre du «2008 Cosafa U 20 competition», seront donc dans le même groupe que le Mozambique et les jeunes de la grande Île, Madagascar.


Ce tournoi est organisé par le Council of Southern Africa Football Association ou Cosafa. Ce sera une belle occasion pour les verts et blancs de Maître Mohamed Shamité et Foundi Zola. Ils pourront se mesurer pour la première fois, aux jeunes Blacks Mambas. Seul le champion des Comores (2005) Elan Club de Mitsoudjé, qui a foulé la pelouse de Maputo, fin 2005 aux matchs préliminaires de la ligue des champions d’Afrique.


Rappelons que l'équipe nationale mozambicaine senior figure parmi les 20 équipes qualifiées pour la troisième phase de la CAN 2010. Cette équipe a pourtant occupé la queue du peloton du classement du groupe 7 où se trouvaient les Barea.


Concernant ce tournoi pour les moins des 20 ans, les 14 pays participants sont divisés en deux groupes de quatre équipes et deux autres groupes composés chacun de trois équipes. Les premières équipes de chaque poule disputeront, le 5 décembre 2008, les demi-finales.


Le leader du groupe D, dans lequel Comores se trouvent, s'opposera au leader du groupe B. Ce dernier compte la Namibie, le Swaziland, et l'Angola.
Quant aux Barea de Madagascar, ils affronteront les Coelecanthes des Comores le 29 novembre avant d'affronter les Blacks Mambas le 1er décembre 2008.


Encadré


Groupe A

Afrique du Sud
Lesotho
Zambie
Seychelles


Groupe B
Namibie
Swaziland
Angola


Groupe C
Zimbabwe
Botswana
Malawi
Maurice


Groupe D
Madagascar
Comores
Mozambique

                                                                                         S’Soweto Essowess

 

le président du Parlement contre une révision constitutionnelle

Le 15/10/2008

Dhoiffir Bounou
Dhoiffir Bounou 

Le projet de révision de la Constitution comorienne cher au président Sambi a essuyé lundi 13 octobre les vives critiques du président du Parlement, Dhoiffir Bounou, qui s’est demandé si le moment était opportun pour une telle décision.

 

Dans un discours prononcé à l’ouverture de la seconde session parlementaire de l’année 2008, Dhoiffir Bounou reproche au Chef de l’Etat de n’avoir pas respecté les procédures légales de révision constitutionnelle. Le président Ahmed Abdallah Sambi avait fait part, dans un message à l’occasion de la fin du Ramadan, le 1er octobre dernier, de son désir d’alléger l’architecture institutionnelle de l’Etat, invoquant pour cela des raisons budgétaires

 

Le projet de Sambi prévoit de réduire l’attelage institutionnel, qui comporte actuellement quatre présidents (un pour l’Union, et trois pour les Iles), quatre parlements et quatre gouvernements. "Un petit pays comme le nôtre ne peut pas se payer le luxe d’avoir toutes ces institutions", avait-il affirmé. Le président comorien voudrait en outre regrouper les élections législatives et présidentielle, estimant que l’économie comorienne ne peu supporter le rythme actuel des consultations.

 

Selon le Président du Parlement, tout cela semble avoir été décidé "à la grande surprise des Comoriens", Sambi n’ayant "pas consulté les institutions" de l'Etat. Est-ce bien "le moment de changer [la constitution] sans provoquer d’autres problèmes insoupçonnés jusqu’ici ?", s'est interrogé M. Bounou, balayant d’un revers de main l’argument selon lequel la constitution actuelle serait budgétivore.

 

"La comparaison des chiffres révèle que la seule présidence de l’Union, sans les départements ministériels, équivaut à presque 9 assemblées nationales de 33 députés chacune. On se rend compte que le budget de la présidence représente trois fois le budget de l’île de Moili, équivaut presque à celui de l’île de Ndzuwani, et représente 94% de celui de l’Ile de Ngazidja", affirme-t-il.

 

Pour lui, il y a une seule "leçon à retenir" : de toutes les institutions de l’Etat, "la plus largement budgétivore c’est l’Exécutif de l’Union, qui dispose de l’essentiel des recettes du pays et qui les dépense sans modération et à sa guise (…)".

 

Ce discours au vitriol du président du Parlement contre l’Exécutif rejoint le point de vue d’une vingtaine de partis politiques, qui s’opposent au projet de réforme constitutionnelle, dont un des aspects est que le Chef de l’Etat comorien veut accorder au président de la République de l’Union la possibilité de dissoudre l’Assemblée nationale.

 

APA

 

 

Le ministre comorien de la fonction publique veut réduire la masse salariale

Le 15/10/2008

Le ministre de la Fonction Publique (FOP), Ahmed Abdou, affiche de plus en plus son intention de réduire sensiblement la masse salariale des agents de l’Etat pour l’adapter aux possibilités budgétaires de l’Union des Comores.

 

A ce jour, la masse salariale s’élève à 2,4 millions d’Euros par mois alors que les recettes mensuelles ne sont que de 1,6 millions d’Euros, soit un gap de 800 000 Euros.

 

« A ce rythme, les Comores courent vers la catastrophe », a déclaré le ministre de la FOP au cours d’une conférence qui a réuni mardi les chefs des départements chargés de la gestion du fichier des fonctionnaires comoriens.

 

A cette occasion, un train de mesures destinées à limiter cette augmentation exponentielle des salaires de l’Etat ont été prises, notamment l’arrêt temporaire des recrutements, le renforcement des contrôles physiques dans les divers services publics pour débusquer les fonctionnaires fantômes, un contrôle rigoureux des diplômes ou encore la mise en place de cadres organiques.

 

Il faut dire qu’aux Comores, l’approche d’une échéance électorale offre l’occasion aux politiques de recruter à tour de bras pour des calculs purement électoralistes.

Selon un agent de la FOP, le nombre de recrutements opérés sur l’île d’Anjouan entre 2007 et 2008 a atteint un pic inimaginable.

 

IM/aft/APA

 

" On n'a rien à se reprocher " : Abdourahman Mohamed alias As-Eyla

Le 15/10/2008

" On n'a rien à se reprocher "
Abdourahman Mohamed alias As-Eyla

Avec la Sid , il a connu la consécration, le top niveau. Ex numéro 10, reconverti dans le rôle du dirigeant, à cause d'une mauvaise blessure aux ligaments, As Eyla tire déjà toutes les conclusions d'un flirt poussé avec la ligue Arabe des clubs champions. 

La Nation : As Eyla, compte tenu du jeu produit par la Sid, le score ne vous paraît-il pas un peu sévère ?


As Eyla : Evidemment, que le score est sévère, mais il faut accepter le fait que nous avons gâché beaucoup trop d'occasions en première mi-temps, alors que les Palestiniens ont su concrétiser les leurs. Si nous avions marqué en début de rencontre, cela aurait probablement changé beaucoup de choses.

 

Pourquoi attendre d'être menés pour oser ?


Je n'en sais rien. Mais les joueurs sont piqués au vif quand ils encaissent. Pourtant, le coach ne cesse le demander aux joueurs de se libérer, mais ils ont toujours du mal. C'est un peu la même chose en championnat. Ils réagissent au lieu d'agir. Mais une fâcheuse tendance comme celle-là, ça ne se pardonne pas à de pareilles compétitions… C'est vrai que c'est une mauvaise habitude et le groupe aujourd'hui en a pris conscience.

 

Estimez-vous que la Sid a vraiment le niveau de la Ligue Arabe des Champions ?


Si je me basais seulement sur le niveau et la qualité du jeu des trois clubs champions que nous avons accueillis ici, c'est affirmatif. Si l'on nous comparait aux clubs champions des Comores (JACM), de la Palestine et de la Somalie il n'y a pas l'ombre d'un doute : " On n'a rien à se reprocher ".

 

Cette découverte de la ligue des clubs champions Arabe a-t-elle correspondu à l'idée que vous vous en faisiez ?


Franchement, non. En plus, le stade n'était même pas plein. C'est quand même triste ça aussi. A mon avis, ce n'est pas la qualité de nos performances qui en est la cause, c'est autre chose..

 

Pour finir, revenons au dirigeant : quelles images et quels sentiments garde-t-il de ce préliminaire ?

 

Le but de délivrance face à la Somalie qui était synonyme de qualification. Le rêve prenait forme. Et puis, enfin, sur le plan général, l'ambiance du groupe. Nous avons un groupe fabuleux qui alterne joie de vivre et conscience professionnelle. Ainsi qu'un formidable sponsor qui n'a pas omis de nous soutenir durant cette compétition.

 

                                                        Propos recueillis par ZAKARIA

 

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