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Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Mayotte : Un trafic de faux papiers démantelé

Le 01/11/2008

Pascal Simbikangwa a été arrêté par les autorités mahoraises
Pascal Simbikangwa a été arrêté par les autorités mahoraises 

C’est hier qu’un Rwandais du nom de Pascal Simbikangwa a été arrêté par les autorités mahoraises pour trafic de faux papiers. Suite à cette arrestation, Interpol a identifié également Pascal Simbikangwa comme un des participants présumés au génocide rwandais de 1994.

 

Depuis 2000, Pascal Simbikangwa est arrivé clandestinement dans les Comores. Depuis 2005 c’est à Mayotte qu'il avait élu domicile, et où il exerçait, en collaboration avec d’autres mahorais, un commerce florissant de trafic de faux papiers. En tout, ce sont deux ateliers de faux papiers qui ont été démantelés : on y fabriquait des faux passeports, des fausses cartes d’identité françaises, ainsi que des fausses cartes professionnelles de gendarmes. Plus de 3 000 personnes auraient eu recourt aux services de Pascal Simbikangwa qui revendait en moyenne les faux papiers 100 euros. Le calcul est vite fait : Pascal Simbikangwa aurait donc empoché près de 300 000 euros !

 

Une fois arrêté par les policiers, ces derniers ont fait une requête de routine auprès d’Interpol au cas ou. Bingo ! Pascal Simbikangwa est également recherché depuis 1994 pour génocide et complicité et conspiration de génocide au Rwanda. À l’époque, il était le responsable des renseignements généraux du gouvernement Hutu. Rappelons que cet ignoble génocide a coûté la vie à près de 800 000 rwandais principalement d’ethnie Tutsie.

 

Pascal Simbikangwa encourt à Mayotte 10 ans de prison pour fabrication de faux papiers. En outre, le gouvernement rwandais demande son extradition pour qu’il puisse être jugé pour sa complicité au génocide de 1994.

 

C’est ce qu’on peut appeler « un gros poisson » que les policiers mahorais ont démasqué. Son procès devrait avoir lieu à Mayotte le 10 novembre prochain. Si la demande d’extradition au Rwanda aboutit, il sera alors ensuite remis aux autorités rwandaises où il sera alors jugé pour ses actes de 1994.

 

 

                                                                                          Nadjim/Exprimanoo

 

1 Homme A la parole

Le 01/11/2008

 

Chaque jour Bangwenet vous délivre un anecdote, citation ou juste un mot de nos hommes politiques : « 1 Homme A la parole »

 

"Que Dieu me pardonne d’avoir soutenu Sambi "

 

« Que Dieu me pardonne d’avoir soutenu Sambi en 2006, c’est un homme qui ne respecte rien, qui se dit opposé à l’emploi des moyens de l’État à des fins personnelles alors que il n’a pipé aucun mot quand Abdouloihabi utilisait l’argent et les véhicules publics lors de sa campagne», aurait regretté Me Said Larifou (Président du parti Ridja). Candidat malheureux à la présidentielle de l’île de Ngazidja

 

Comores/Iran

Le 01/11/2008

A. A. M. Sambi réçu à Teheran par Ahmedinejad
A. A. M. Sambi réçu à Teheran par Ahmedinejad 

Et si, derrière le rapprochement entre Moroni et Téhéran, se cachaient des intentions iraniennes moins honorables que la volonté d’une véritable aide au développement ?

 

Le 15 juin dernier, celui que l’on surnomme « l’Ayatollah » dans l’archipel s’envolait dans un avion spécial de la présidence iranienne pour une visite officielle à Téhéran. Depuis son élection en mai 2006, le chef de l’État comorien, Abdullah Sambi, industriel et important exportateur formé aux études islamiques à l’école iranienne Hawzat al -Qaaim, a opéré un rapprochement très net avec l’Iran. Non sans en inquiéter certains.

 

Dès le mois d’août 2006, soit quatre mois après son arrivée au pouvoir, Abdullah Sambi signifiait haut et fort sa volonté de faire de l’Iran un partenaire privilégié. Première parmi la communauté internationale, une délégation iranienne dirigée par le ministre de l’Agriculture Mohammad Reza Eskandari se rendait alors à Moroni. Une série d’accords dans l’agriculture, l’éducation et la défense était signée. Il était également convenu d’une participation financière et technique iranienne dans d’autres projets de développement, dont l’énergie et les infrastructures routières.

 

Relations trilatérales

 

Une clinique médicale du Croissant -Rouge a été inaugurée par le président Sambi en mai 2008, dirigée par deux médecins iraniens. À cette occasion, le ministre chargé des Investissements aux Comores, Said Attoumane, a annoncé l’ouverture prochaine des deux structures universitaires. Les bateaux ont bien été livrés, les bourses distribuées (Faux bourses), des logements destinés aux étudiants comoriens à Madagascar construits, et l’Iran s’apprête à ouvrir un institut agricole.

 

En matière d’hydrocarbures, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, proposait, l’année dernière, de mettre en place une coopération trilatérale entre l’Iran, les Comores et le Venezuela, dans le but de construire des citernes de stockage d’hydrocarbures sur les côtes comoriennes. Situées sur la route des pétroliers, les Comores occupent, en effet, une position intéressante pour les tankers iraniens et vénézuéliens par rapport aux côtes est -africaine et asiatique, notamment de Chine, et favoriseraient une augmentation des exportations de ces deux grands pays producteurs. Cependant, derrière cette nouvelle « amitié » irano comorienne, certains voient une manœuvre de Téhéran pour contourner les sanctions bancaires imposées par le Conseil de sécurité de l’Onu, en relation avec son programme d’enrichissement de l’uranium.

 

Téhéran aurait décidé de transférer les activités des banques visées par les sanctions vers des entreprises locales ou des comptes créés dans de nouvelles banques, en partenariat avec des pays membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) endettés. Investis dans la zone franc, les dollars en provenance d’Iran peuvent automatiquement être transformés en euros ou bons du Trésor, ni vu ni connu. Une bonne opération pour l’Iran et pour des pays pauvres comme les Comores ou le Niger, sur lesquels l’Iran semble avoir pour l’instant, en Afrique, jeté son dévolu. L’intérêt accru de l’Iran pour l’Union des Comores inquiète également ceux qui y voient une manœuvre stratégique à visée religieuse.

 

Elle tendrait à faire basculer la population musulmane sunnite vers le chiisme d’obédience iranienne. En mai 2008, le journal égyptien Al -Ahram notait : « La présence iranienne aux Comores se concentre sur quatre secteurs majeurs, dont le plus important est la présidence », faisant référence aux services de sécurité du président assurés par des Iraniens à l’intérieur et à l’extérieur du pays.

 

Certains soulignent également que ce n’est sans doute pas par hasard que le président Sambi a placé son gendre, le chiite Ahmed Janid, au poste d’ambassadeur à Téhéran. Également pointé du doigt, le centre culturel islamique à Moroni est accusé par le clergé sunnite de faire du prosélytisme à travers l’ensemble des institutions et des projets financés par l’Iran.

 

 

                                                               Par Christine Abdelkrim-Delanne

 

Alpha Blondy en concert à Madagascar

Le 01/11/2008

 

Le chanteur ivoirien Alpha Bondy se produira en concert le dimanche 2 novembre à Antananarivo.

 

Des dizaines de milliers de fans malgaches de cette star africaine du reggae sont attendues, dans le plus grand lieu de loisirs de la capitale malgache, Antsonjombe.

En prélude à ce rendez-vous musical, des représentants de la musique malgache, Lianah, Lola ainsi que Dondolah & Tahiry animeront également la scène dans la capitale malgache

 

                                                      La Lettre de Malango

 

Les Comoriens devront débourser plus pour se rendre à la Mecque

Le 01/11/2008

 

Les Comoriens candidats au pèlerinage à la Mecque devront débourser 2400 euros, soit une augmentation de 20 pour cent par rapport à la précédente édition, a appris APA, mercredi auprès de la commission nationale chargée du pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam.

 

Cette somme couvrant notamment les frais de voyage et d’hébergement.

Le ministère de la justice et des affaires islamiques a mis en place une commission nationale de neuf personnes chargée de superviser les opérations du pèlerinage (départ, séjour des candidats comoriens en Arabie Saoudite et leur rapatriement).

Cette année, la commission table sur un nombre de 650 candidats au pèlerinage à la Mecque, soit un peu moins que l’année dernière.

 

A défaut d’une compagnie aérienne nationale, quatre agences de voyages, choisies selon des critères d’expérience et de crédibilité, doivent assurer le transport des pèlerins comoriens.

 

« Si tout se déroule comme prévu, le départ du premier contingent devra intervenir le 14 novembre par Yémenia Airways et le dernier vol est prévu quatre jours plus tard » a confié à APA un membre de la commission nationale.

 

 

                                                                          APA

 

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