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1 Homme A la parole
Le 04/11/2008
le président de l’assemblée de l’Union Dhoiffir Bounou. |
Chaque jour Bangwenet vous délivre un anecdote, citation ou juste un mot de nos hommes politiques :
« 1 Homme A la parole »
« Chaque jour qui passe rapproche notre pays du chaos »,
«Chaque jour qui passe rapproche notre pays du chaos », a-t-il martelé le président de l’assemblée de l’Union Dhoiffir Bounou.
Le pays est confronté à un blocage des avancées économiques annoncées, à la suspension du processus d’admission des Comores à l’initiative PPTE, à une pénurie du riz ordinaire et du ciment, à une hausse des prix des denrées de première nécessité, à une épidémie de cholera qui tue, à une rupture du ravitaillement en eau et électricité notamment dans la capitale.
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Princesse de l'arnaque !
Le 04/11/2008
Siti Soumaïla |
D’origine Mahoraise, Siti Soumaïla, 37 ans, est un escroc de haut vol. Séduisante, charmante et même irrésistible selon certains, elle est insaisissable. Depuis plusieurs années, elle multiplie les escroqueries et écume l'île de la Réunion dans l'Océan Indien.
Se présentant selon les cas comme :
- Princesse de Mayotte,
- Ancienne compagne du plus grand mercenaire français, Gilbert Bourgeaud dit Bob Denard,
- Magnat de l'immobilier,
- Ex-star de la mannequinat
- Femme d’affaires et d’autres images…
Elle voyage en voiture de luxe ( elle en possède des vingtaines ) avec gardes du corps et attire ses proies dans ses filets en montant le plus souvent des scénarios rocambolesques. A ce jour, les victimes de cet Arsène Lupin au féminin se comptent par dizaines, certains y ont laissé des centaines de milliers d'euros.
Un homme a raconté à l'équipe de Sept à Huit ( émission de TF1 du dimanche 12 octobre 2008) comment il se fait berner, accordant sa confiance à une femme d'affaires dynamique, à la tête d'un cabinet d'études constitué de figurants complices de Siti Soumaïla. Pour lui, à l'arrivée, 300 000 euros de perte sèche. Récit d'une incroyable histoire : celle de la Princesse de l'arnaque. Incroyable mais vrai !
Bangwenet
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Soulaimana sème le désordre à l’Ambassade des Comores à Paris
Le 03/11/2008
l’Ambassadeur, Soulaimana Mohamed Ahmed |
A l’Ambassade des Comores à paris c’est la pagaille. Les discordes s’enchainent chaque jour, entre l’Ambassadeur, Soulaimana Mohamed Ahmed et les conseillers.
Monsieur l’Ambassadeur veut monopolisé tout et dirigé tout. Il ignore les services de ces Conseillers. Une chose qui dérange l’honnêteté de certains, dont le Premier Conseiller en matière de sécurité. Qui a le plein droit de surveiller la maison, Monsieur Cheikh Ahmed Abdallah Abdérémane. Rappelez-vous qu’au mois de Septembre 2007, le journal des Comores, La Tribune, avait publié un article montrant aux lecteurs que le courant ne passerait pas entre les deux hommes.
Au point que le premier aurait demandé que le second soit relevé de ses fonctions. Si le journal n’a pas évoqué la raison de ces bisbilles, il a cependant rappelé que M. Soulaimana Mohamed Ahmed était le chef de cabinet de l’ancien président Ahmed Abdallah, le père de l’autre.
Soulaimana, un homme sans contrôle
Selon le site d’information Ocomores, il avait publié lors de la visite de la délégation comorienne a Paris, que : « Les nerfs de l’Ambassadeur Soulaimana Mohamed Ahmed on lâché. Il s’est battu même avec un jeune de l’association nommée « Les Jeunes Watwaniya ». En fait, il a frappé (Coup de poing au visage) un des jeunes qui, lui, s’est maitrisé, estimant que l’image des Comores est déjà terni pour ne pas en rajouter par un spectacle lamentable, devant les agents du Quai d’Orsay, du combat du « HAUT NIVEAU » Comorien avec le « bas niveau de la diaspora ». Heureusement que les Comores n’ont pas l’arme atomique qui pourrait tomber un jour dans les mains de notre ambassadeur. C’est le jeune qui s’est retenu, mais pas l’ambassadeur, pour préserver le peu de crédit qui reste (s’il en reste) des officiels comoriens ».
L’Ambassade des Comores à Paris est transformé, un champ d’une seule famille.
Et M. Soulaimana détient les clefs d’entrée, si tu ne figures plus dans le livre de famille. Bah, là Out !
ben Kassim Youssouf
Bourses pour des études à l’étranger : une hausse record
Le 01/11/2008
L’Etat comorien comptabilise en 2008 près de 117 bourses d’études supérieures, sans compter les vingt bourses d’enseignement secondaire qu’Al Azhar offre tous les ans au gouvernement comorien.
Pour l’année 2008, l’Etat comorien a obtenu auprès de certains pays amis et frères, 117 bourses d’études supérieures, sans compter les vingt bourses d’enseignement secondaire qu’Al Azhar offre tous les ans au gouvernement comorien. Un chiffre record comparé à ceux de ces dernières années, la totalité des bourses (supérieures et secondaires) atteignant rarement la centaine. Il faut noter que le quota des bourses de la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne est essentiellement consacré à la formation des officiers de police comoriens.
Sur ce tableau, les bourses de la Russie ne sont pas mentionnées, d’autant plus que des fois les jeunes comoriens rechignent à se porter candidat. L’Arabie Saoudite est entrée dans la danse depuis l’année dernière.
Pour ce qui est de gestion de ces bourses, depuis l’arrivée du président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi aux commandes de l’Etat, il est institué une commission de bourses logée à la présidence de l’Union. Toutefois, c’est le ministère des Relations extérieures, par le biais de la direction des Affaires culturelles, qui les gère ‘‘techniquement’’ selon Abdérémane Mohamed Maamoune, directeur des affaires culturelles au dit ministère.
A l’heure actuelle, il est difficile de donner une appréciation sur la manière dont sont gérées ces bourses, du fait que personne ne sait encore les critères retenus pour leur attribution. Le ministère des Relations extérieures avait demandé que 50% de ces bourses soient octroyés aux candidats les plus méritants sur la base de concours étant entendu que le gouvernement pourrait gérer à sa guise les cinquante autres pour cent. Jusqu’alors il n’a pas reçu de réponse.
S’agissant des pré-inscriptions dans les instituts et universités étrangers, le directeur des Affaires culturelles a laissé entendre que cette année, sur dix dossiers envoyés à l’Agence marocaine d’enseignement supérieur, sept sont retenus.
En Tunisie, deux dossiers sur les trois envoyés ont trouvé de réponse positive. Selon Abdérémane Mohamed Maamoune, des pays amis tels que le Sénégal et le Gabon sont sollicités à cet effet : ‘‘Nous avons envoyé près de soixante dossiers dont trente au Gabon et dix sept au Sénégal, nous attendons encore de réponses’’, a-t-il souligné. Pour ce qui est de Madagascar, cette année, la direction des Affaires culturelles au Mirex a enregistré vingt six étudiants en partance pour la Grande Ile : ‘‘Ce qui donne un total de plus de 600 étudiants comoriens à Madagascar contre 439 l’année dernière dans ce pays voisin’’, peut-on lire dans les statistiques du ministère. Cependant, des efforts doivent êtremenés au niveau national afin de limiter les conséquences néfastes qu’engendrent tous les ans les départs massifs de très jeunes comoriens (entre 7 à 10 ans) qui se rendent en République arabe d’Egypte et au Soudan.
Le ministère aurait proposé à la direction nationale de la Sûreté du territoire, depuis janvier de cette année, la tenue d’un fichier et l’ouverture d’un guichet étudiant pour les formalités de départ et d’arrivée.
Cela permettrait, selon la direction des Affaires culturelles de connaître et de recenser les mouvements de ces étudiants dont certains doivent répondre à des critères spécifiques avant d’être admis à quitter le pays. Cela pourrait se faire lors de la demande de visa de sortie, pense A. Mohamed Maamoune.
M.Y. Kaiva
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Championnat de football de première division : Apaches lamine Ngaya
Le 01/11/2008
Stade International Saïd Mohamed CHEIKH de Mitsamiouli |
Le Stade International Saïd Mohamed CHEIKH de Mitsamihouli a abrité le samedi 25 octobre, une rencontre mettant aux prises Apaches Club de Mitsamiouli à Ngaya Club de Mdé, dans le Bambao. Il s’agissait d’une compétition entrant dans le cadre de la phase retour du championnat des Comores de Football, des équipes de première division au niveau de Ngazidja.
Il était 15 heures 15, lorsque l’arbitre central, Hadji Ali, a donné le coup d’envoi de cette rencontre âprement disputée entre les Rouges de Ngaya club et les porteurs des maillots jaunes, Apaches Club. Devant son public, la formation de Mitsamiouli avait mis le paquet en inscrivant deux buts dès la première partie grâce à Idi Ahamada et Ahmed Coin Nord.
A la reprise du jeu, la formation de Mitsamiouli mieux préparée qui avait une parfaite maîtrise du terrain et poussée par son public a réussi à dominer ses adversaires en aggravant le score. Une réalisation de Gabar Ahamada, un défenseur, porteur du maillot numéro 2.
A vingt minutes de la fin du temps réglementaire, Apaches Club, par les services d’Adinasse Moumine, marquera le dernier but de la rencontre. Le score au dernier coup de sifflet sera de 4 buts à rien, en faveur d’Apaches club.
Avec une inorganisation du jeu ponctuée par beaucoup de maladresses la formation de Mdé n’était visiblement pas à son beau jour. A dix minutes de la fin de la rencontre, l’arbitre siffla un penalty en sa faveur. Le portier des Jaunes a arrêté le tir de l’attaquant.
De l’avis de certains spectateurs, le match avait bien démarré. Cependant, pendant la deuxième partie il a été constaté des erreurs d’arbitrage qui, ‘‘heureusement n’ont pas été d’une grande influence sur la rencontre’’.
M. Y. Kaiva
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Carton rouge pour l'ambassadeur,
qu'il dégage cet amateur, nous avons besoin des personnes dignes pour nous présenter dans nos ambassades. C'est quand même la vitrine de notre pays. L'ambassadeur des Comores à Paris a eu une attitude inexcusable et je ne peux souhaiter que son renvoi aux Comores. M L'ambassadeur svp rentrez au pays participer comme vos collègues à la décadence de notre chèr pays.