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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Les Bangwenautes ont la parole

Le 26/11/2008

Vite fait, après la publication de la lettre ouverte d’Aboubacar Said Salim, les réactions des uns et des autres s’enchainent. Les commentaires se succèdent à chaque seconde. Voici, un commentaire d’un bangwenaute publié dans le blog, Comores4. Avec une langue de bois, le commentateur tacle avec beaucoup d’intellectualisme l’intellectuel, Professeur Aboubacar.

 

Ce n‘est étonnant de voir un intellectuel comme Aboubacar Saïd Salim répondre à l‘ambassadeur de France à l‘union des Comores. Je rends un vibrant hommage à l’écrivain comorien de sortir des sentiers battus et oser enfin donner une réponse valable et respectueuse à cet ambassadeur. Son premier roman intitulé « Et la graine » corrobore son amour envers sa patrie.


En effet, quand un avion faisait un crash près du lycée de Moroni, les jeunes élèves se ruèrent vers les lieux de l’accident et procèdent instinctivement au sauvetage des victimes. Ils ont fait ce qu’ils ont pu étant donné qu’ils n’avaient pas les rudiments de secourisme pour s’occuper des blessés et des agonisants. Ce qui en était ressorti suite à cela, dans le journal radiodiffusé de 13 heures monsieur Sallas, un journaliste français a annoncé à radio Comores que je cite : les Comoriens au lieu de s‘occuper des blessés se sont mis à les dépouiller de leurs objets de valeurs ».


Ce fut la petite goûte d‘eau qui allait faire déborder le vase. Les lycéens se sont mobilisés et ont sillonné la grande comore pour condamner ce qu’ils ont considéré comme une atteinte à la dignité de l’Etat comorien. Une grève qui est gravée dans les annales de la conscience collective des Comoriens a eu lieu et a suscité un élan de revendications de la part des jeunes politiciens en herbe. Ce fut en 1968 quand Aboubacar Saïd Salim fut un des lycéens.


Son roman relate une histoire vraie bien qu‘il soit embelli par l‘imaginaire du l‘écrivain pour exorciser le démon. C‘est un écrivain engagé, à l‘instar de ces collègues écrivains comoriens il n‘a jamais eu peur de stigmatiser et d’exécrer les avilissements des colons dans ces deux romans « Et la graine » et « le Bal des Mercenaires ».

 

Il a dénoncé avec fermeté les meurtres perpétrés par les mercenaires, lesquels se sont installés aux Comores comme en terrain conquis de 1978 à 1989. Je me joins à lui pour dire à son excellence monsieur l‘ambassadeur de France à Moroni, que s‘ils veulent organiser un référendum à Mayotte pourquoi ils ne l‘organisent pas en Corse ou en Nouvelle Calédonie.

C‘est ce qu‘on attend des cadres comoriens, c‘est de défendre leur pays et de cesser d’être les marionnettes de la France car le monde a changé. L‘époque du crime de lèse majesté est révolue. Osons défendre notre pays car « l‘amour de sa patrie est un devoir ».


Un petit rappel, parmi les ennemis des Comores y figurent les malgaches en tout cas " ANDRIANTSOULI " qui ont pillé les Comores avant même l'arrivée des Blancs dans notre pays. Ces histoires n'ont jamais fait l'objet d'une étude, on a même l'impression qu'on considère ça comme une honte. On en parle même pas. Les Femmes d'Iconi ont préféré se suicider en se lançant du sommet des Rochers " du Ngou ya Iconi " plutôt que de tomber dans les mains des bandits malgaches.


Les Razzias malgaches ont fait au même titre que les massacres des colons, beaucoup de dégâts aux Comores. Selon les historiens ces razzias sont les causes principales de la pauvreté et du nombre infime de la population des îles Comores. Ils pillaient les biens et prenaient les jeunes gens et les jeunes filles en esclave et les amener à Madagascar pour les vendre.

 

 

 

Les Bangwenautes ont la parole

 

lettre ouverte d’Aboucabacar Said SALIM à l’ambassadeur de France auprès de l’Union des Comores

Le 26/11/2008

Aboubacar Saïd SALIM
Aboubacar Saïd SALIM 

Ne pas insulter l’avenir après avoir injurié le passé des Comores

 

 

Permettez-moi tout d’abord, excellence, de vous féliciter, pour le tact et la diplomatie langagière dont vous faites preuve à l’opposé de votre prédécesseur. La différence se ressent à travers la lecture de votre libre opinion parue dans La Gazette des Comores du lundi 10 novembre, deux jours avant la Journée nationale Maore. Je vous remercie d’avoir pris la peine de proposer votre point de vue ou plutôt celui de la France sur la question de l’île franco/ comorienne de Maore/Mayotte pour couper la poire en deux (peut être que cela est plus diplomatiquement correcte).

 

J’ai été très attentif à votre argumentaire défensif qui est essentiellement basé sur un point à savoir : la France est à Maore non pas par la force, mais parce que les Mahorais l’ont voulu et l’ont exprimé par référendum. Nous disons que malheureusement ce genre de raisonnement qui fait abstraction du contexte aurait permis et entraîné la légitimation du gouvernement de Vichy et la présence allemande dans les zones occupées, ou encore l’appartenance de l’Alsace et de la lorraine à l’Allemagne ou encore l’indépendance de la Corse, du pays basque ou de la Nouvelle Calédonie, si on leur posait la question. En revanche, je suis tout à fait d’accord avec vous pour dire que la France n’a pas occupé Mayotte par la force en 1975, puisqu’à l’époque elle y était chez elle dans un Territoire d’Outre Mer qui comprenait les quatre îles des Comores. Comme en 1841, elle y est restée par la ruse, ce qui n’est pas en son honneur car la ruse est encore plus vile, lorsqu’elle est utilisée par un pays fort contre un pays faible.

 

Je ne vous ferai pas l’offense d’un cours d’histoire sur les Comores, le Quai d’Orsay s’étant sans doute chargé de cela. Je rappellerai simplement qu’en 1841 la France a manigancé pour détrôner le sultan d’Anjouan dont celui de Mayotte était le vassal, pour mettre sur le trône de Mayotte le Malgache Andrianatsouli, un usurpateur qui n’a pas hésité à céder Mayotte à la France, puisqu’il s’en foutait comme de l’an 40, n’étant à Mayotte que comme réfugié politique chassé de Madagascar, son île natale. La ruse, disais-je, plus payante que la force a ensuite été réutilisée par la France pour préparer l’apparition des forces politiques pro-françaises et contre l’indépendance.

 

Pour bien comprendre la situation et les agissements de la France, il faut se remettre dans le contexte de la guerre froide qui prévalait à l’époque et de l’affrontement par pays du tiers monde interposés entre l’Urss et les Etat Unis d’Amérique ou, plus généralement, entre le monde dit libre et le monde communiste. Mayotte a toujours attiré la France depuis le XIXè siècle grâce à son lagon qui offrait un port naturel et sécurisé contre les pirates et pour le ravitaillement des navires sur la route des épices. Les mêmes raisons ou presque, ont prévalu un siècle plus tard, Mayotte s’avérant une île hautement stratégique dans le canal du Mozambique sur la route des grands tankers qui ravitaillaient l’Occident en pétrole, denrée d’une importance stratégique capitale pour les deux blocs rivaux. La première phase de ce plan machiavélique a commencé par le déplacement de la capitale du territoire, de Dzaoudzi à Moroni, sans compensation économique pourtant promise par la puissance coloniale. Le résultat escompté et par ailleurs obtenu était double : créer une haine contre le Grand-comorien symbolisé par Saïd Mohamed Cheikh alors président du gouvernement du territoire qu’on accusait d’avoir transféré la capitale au profit des Grands comoriens, et créer en même temps un mécontentement de la population de Mayotte qui ne bénéficiait plus des retombées économiques et financières de la capitale.

 

Comme en 1841, la France va jouer sur les éléments exogènes pour transformer ce mécontentement légitime en revendication politique. Les mêmes propos du Grand-comorien dominateur et profitant seul des bienfaits du gouvernement qu’on a entendus récemment dans les rangs des Wakutruzi à Anjouan vers 1997 ont été un remake des propos entendus à Mayotte après le transfert de la capitale en 1962. Le rejet de l’autorité du président élu de l’époque le président Saïd Mohamed Cheikh, par le mouvement séparatiste mahorais ressemble comme deux gouttes d’eau au rejet de l’autorité du président élu de l’Union des Comores par les Séparatistes à Anjouan.

 

La seule différence c’est qu’à l’époque la France n’avait pas levé le petit doit pour réprimer les rebelles qui ont pu prendre en otage le président Saïd Mohamed Cheikh pour lui faire subir la torture préférée des Mahoraises d’alors à savoir chatouiller leur victime. C’est de la que vient le nom de ‘‘chatouilleuses’’ donné aux femmes du Mpm (Mouvement populaire Mahorais) ancêtre du Mpa (Mouvement populaire Anjouanais) La deuxième phase du plan d’occupation de Mayotte s’est concrétisée autour des années 1970 lorsque la France, faisant fi de la définition juridique du mot territoire (c’est-à-dire une terre avec les hommes qui y habitent), sentant le courant indépendantiste comorien monter en puissance a formulé son intention de la décompte île par île des voix du référendum en parlant de ‘‘consultation des populations’’ au lieu de consultation de ‘‘la’’ population.

 

Cas unique dans l’histoire de la décolonisation, ce décompte île par île des voix du referendum, combinée au coup d’État prématuré du 3 août 1975, avec la complicité de la France allait laisser les coudées franches à la France pour agir à sa guise à Mayotte (On se rappellera, à ce propos, du signe ‘‘V’’ de la victoire des gendarmes français à Moroni lors du coup d’État, et la facilité avec laquelle les auteurs du coup se sont emparés des armes qui étaient pourtant sous le contrôle de la gendarmerie française qui encadrait la Garde des Comores.). Pour rappel, Djibouti (appelé à l’époque Territoire des Afars et des Issa), Walis et Futuna, jouissaient du même statut de TOM que les Comores et pourtant on n’a pas tenu compte des voix des Afar, d’un côté et des Issa de l’autre lors du référendum, ni de celles des Wallisiens, d’une part et des habitants de Futuna, de l’autre. Ceci dénote simplement de la politique de deux poids deux mesures que la France applique pour défendre ses intérêts.

 

Rappelons aussi des faits récents (les faits sont effectivement têtus monsieur l’ambassadeur). Il s’agit du refus de la France de reconnaître les indépendances de l’Ossétie du Sud et de l’Abkhazie alors que le fameux ‘‘Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes’’, devrait là aussi comme à Mayotte pouvoir être reconnu par la même France ! A moins, que – et il faut le dire clairement – la France ne conçoive l’existence de peuples plus dignes de ce droit et d’autres moins dignes ! Il y’aurait encore beaucoup à dire, mais je ne voudrais pas importuner les lecteurs par trop de longueur.

 

Je terminerai donc en disant à son excellence monsieur l’ambassadeur qu’il ferait mieux de se taire concernant la question de Mayotte, car la puissance n’a rien à justifier, elle est, elle-même, sa propre justification. En tout cas cela permettrait de ne pas insulter l’avenir après avoir injurié le passé des Comores.

 

 

                                                                                                           Aboubacar Saïd SALIM

 

La réforme constitutionnelle se fera par la voie d’‘‘une consultation populaire’’

Le 26/11/2008

 

Une forte représentativité de la notabilité de Ngazidja s’était donnée rendez-vous avec le président Sambi hier après-midi à la maison de la paix, Beit-Salam, siège du pouvoir fédéral. Le chef de l’Etat était entouré des membres de son gouvernement et de son cabinet. Les orateurs des wangazidja ont tenu à préciser que c’est à leur demande que le président Sambi les reçoit dans son palais pour s’entretenir sur des questions d’actualité qui préoccupent le pays.


Successivement, les notables Athoumani Ali, Issa Ali et Ismaël Abdou ont donné les points de vue de la notabilité de l’île sur les conflits de compétence entre l’Union et les pouvoirs insulaires, sur la citoyenneté économique et la réforme constitutionnelle.


Le président Sambi rappellera sa vision sur l’aménagement de la constitution. Il s’oppose à la cohabitation dans un petit pays de 38 ministres, d’une soixantaine de députés sans compter la confusion et la cacophonie de quatre présidents. Il proposera également de revoir la fréquence d’élections chaque année et de mettre fin à cette situation d’un parlement qui n’a pas un droit de regard sur la gestion du gouvernement et d’un président de la République qui n’a aucune marge de manœuvre pour dissoudre le parlement. Des idées qu’il compte soumettre à l’approbation du peuple courant 2009 par voie référendaire.


La situation institutionnelle des Comores préoccupe même les institutions internationales et le chef de l’Etat s’est montré compréhensif. Il a même annoncé que dans les prochains jours, il procédera à une réduction du nombre des ministres de son gouvernement, à une compression du budget de certaines fonctions politiques et à d’autres mesures allant dans le même sens.


Le chef de l’Etat ne minimisera pas les conflits qui enveniment les relations entre son pouvoir et les exécutifs en particuliers de Ngazidja et de Mwali.


Il saisira l’occasion pour évoquer son projet cher, l’habitat décent pour tout Comorien. Sur ce sujet il a annoncé son intention d’organiser en janvier prochain un colloque international sur l’habitat. Le chef de l’Etat reste convaincu que si le projet n’a pas évolué ce n’est pas seulement à défaut de fonds mais il y a aussi un manque criant d’expertise.

 


                                                                                                                                 M.S.A.

 

Jusqu’à quand ?

Le 26/11/2008

 

Nous publions ici une seconde contribution de M. Mouigni Abdou. Encore une fois, ce blog est un espace d’expression pour ceux qui veulent bien partager leurs points de vue sur la situation sociale, politique ou économique des Comores. A vos claviers !


Antonin Artaud disait à Jacques Prevel, le jeune poète qui l’accompagna durant les derniers mois de sa vie, ‘’ vous n’êtes pas assez révolté, Monsieur Prevel !’’. Chaque jour qui se lève tout seul face au destin de mon pays cette injonction résonne en moi un peu plus fort. Oui, je ne suis pas assez révolté, nous ne sommes pas assez révoltés !


Les raisons de le faire seraient pourtant interminables : non respect des institutions démocratiquement élues ; remise en cause des salaires des agents de l’Etat sans que soient touchés ceux des ministres, des députés, des membres du cabinet du président de la République, des directeurs des sociétés d’Etat, et autres hauts fonctionnaires ; des arriérés de salaires ; les caisses des Sociétés d’Etat en souffrance ; des magistrats accusés de mercenaires ; des aides budgétaires qui échappent volontairement au circuit financier de l’Etat ; un projet d’habitat oublié ; un début de colonisation par le patron de Golf Hulding, Bachar Kiwane avec derrière lui ces milliers de bédouines à la recherche d’une identité ; la volonté délibérée d’introduire le chiisme dans un pays majoritairement sunnite d’où cette obsession de voir de conflits religieux verser de sang dans un pays pacifique ; et en dernière date, cette fameuse loi sur la citoyenneté économique imposée par le président de la République sous l’impulsion de Comoro Gulf Hulding.


Dans le Capital, Marx parle du peuple « abasourdi » par les lois et mesures du gouvernement anglais en faveur des grands propriétaires donnant un statut légal à ce qui n’était autre qu’une forme d’esclavage… Sommes- nous aussi abasourdis par celles prises par l’actuel gouvernement au nom d’une idéologie chiite, basée sur une répression chaque jour plus active contre les citoyens dont les moyens d’expression et les droits sont amputés, atrophiés, arrachés tandis qu’à l’inverse les ‘’ cousins’’, les ‘’ amis’’, les proches collaborateurs’’, des ‘’ investisseurs’’ fantômes, les affairistes puisqu’il faut bien les nommer par leur nom, prospèrent, obtiennent toujours plus et plus d’avantages.


Deux ans de pouvoir ont coulé et au lieu de se pencher sur les vrais problèmes des comoriens auxquels fut élu, Sambi se lance dans une autre aventure, celle de vouloir piétiner les institutions et s’éterniser au pouvoir. Dès lors pour moi, la seule question qui vaille est ‘’ jusqu’à quand ?’’. Jusqu’à quand allons –nous accepter cette morgue, ce cynisme, cette volonté destructrice de tout ce qui appartient au bien commun ? Jusqu’à quand allons-nous nous laisser battre sans autre réaction face à cette hégémonie ? Jusqu’ à quand ? Avec son corollaire : quelle sera l’étincelle ?


Le signal que tout le monde semble attendre et que personne ne paraît donner, ni ces milliers de personnes qui se sont rendus à pieds à l’aéroport de Hahaya pour accueillir Sambi le jour de son premier meeting de campagne dans la capitale ; ni les syndicats des fonctionnaires accusés de oisifs ; ni les partis politiques qui, dés la première heure ont adhéré à la politique générale du président de la République et qui, aujourd’hui se sentent ‘’ trahis’’ et regrettent leur engagement… Peut-être est-il temps de leur remettre en mémoire, et pas seulement à eux, l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et des citoyens de 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».


Le niveau de vie cruellement bas de tout un peuple qui a sanctionné la classe politique pour aspirer au changement, la précarité généralisée, le mensonge érigé en mode de gouvernance, autant de raisons d’exercer ce droit sacré et cet indispensable devoir, de dire non, de dire stop, d’organiser le grand refus sous quelque forme qu’il soit. La loi sur la citoyenneté économique, le jeu de cache -cache entre le président de l’Union et ceux des Îles dans leur perspective de prolonger leurs mandats au détriment de la Constitution ne seront-ils pas la fameuse goutte d’eau qui fera déborder le vase ?
Cette culture de continuer à dire que le président est sous les pas de ceux qui l’ont précédé et il n’y a guère place à la critique, n’est elle pas fatale pour tout un peuple au moment où nous avons tous voté pour le changement ?

 


                                                                                                                                      Mouigni Abdou

 

www.centre-histoire-ocean-indi en.fr

Le 26/11/2008

 

L’Histoire de l’océan Indien a désormais sa place sur internet avec la naissance du site : www.centre-histoire-ocean-indien.fr. Ce site a été créé par le CRESOI - Centre de recherches sur les sociétés de l’océan Indien – Centre d’Histoire de l’université de La Réunion. Le CRESOI conduit des activités scientifiques portant sur l’histoire de l’océan Indien. Le Centre de recherches est en relations avec de nombreux partenaires de la zone et il a pour objet de structurer le réseau des chercheurs en histoire.

 

Ce site est un instrument au service de ces partenariats dans le cadre de la Fédération de recherches de l’université. Les recherches conduites par le CREROI portent sur plusieurs champs (colonisation-décolonisation, histoire de l’esclavage, histoire politique et histoire culturelle, histoire des pratiques corporelles, patrimoines, tourismes, archéologie industrielle…).

 

Ces activités sont menées avec plusieurs universités des pays du sud-ouest de l’océan Indien (Madagascar, Comores, Maurice, Mozambique, …) à travers des séminaires, colloques... A noter que jusqu’au 28 novembre, l’Association historique internationale de l’océan Indien organise trois journées de colloque (à Saint Denis) sur le thème "Dialogues des cultures dans l’océan Indien occidental XVIIe-XXe siècle"

 

 

                                                                                                                                   Clinacoo.

 

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