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Bonjour à tous les fidèles de Bangwenet !
Le 11/01/2009
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Le billet de l'Edito !
C'est le début de l'année ! Que nous réserve-t-elle de pire encore ? Sûrement pas des diminutions de prix !
Je ne voudrais pas remuer le couteau dans la plaie, mais lors des dernières apparitions du Chef de l'État, si vous relisez un peu les articles concernant ces sujets, je suis toujours dans le vrai lorsque je vous prédisais que nous avions affaire à des menteurs pognonistes imbus d'eux-mêmes et qui se foutent pas mal si le pays est en faillite !
Ils confondent tous, le monde des paillettes et le monde de la réalité et si vous exercez votre droit à la liberté d'expression en leur sortant leurs quatre vérités vous devenez un paranoïaque, un asocial ou tout autre individu qui tient des propos incohérents ! Mais je voudrais savoir qui tient des propos incohérents de menteurs pathologiques et congénitaux ?
Vous ne trouvez pas que nous commençons à être fatigués de tous ces escrocs de la parole, des prometteurs de beaux jours, les bâtisseurs d'un monde irréel, les innovateurs de la nouvelle génération de conneries, les maîtres incontestés d'une imbécilité déconcertante qui arrivent même à désarmer leurs partisans !
A quand la vérité sera au premier plan ? Un coup d'éponge sur tout ce fatras et on recommence autre chose en n'omettant pas de SUPPRIMER tous les avantages et privilèges de tous ces sangsues, jeteurs de sorts et autres malfaisants qui ne sont présents que lorsque le tiroir-caisse est ouvert et qui se foutent pas mal si il reste de la monnaie !
Dans toutes ces réflexions, je vous rappelle que je suis apolitique et que je ne suis pas prêt à faire de l’ombre à qui que ce soit ! Vous ne voudriez pas me faire mourir de honte tout de même ! Je suis simplement un observateur râleur ! Merci de me suivre.
Mon meilleur ami est mon pire ennemi ; c’est le seul qui ne me laisse pas tomber et qui s'inquiète sur ma santé !
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Idi Nadhoim flingue Abdouloihabi sans grincer les dents !
Le 11/01/2009
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| Idi Nadhoim, Vice-président de l'Union des Comores |
Le cabinet de Son Excellence, Monsieur le Vice Président IDI Nadhoim accuse, par la présente, bonne réception de votre diatribe dont l'enveloppe est estampillée du sceau de la confidentialité.
Le fait de distribuer au public le contenu de vos élucubrations avant de les faire parvenir au destinataire en dit long sur votre état d'esprit et dénote une volonté macabre de nuire, nourrie et exacerbée par l'impuissance et la détresse qui rongent votre for intérieur face à l'échec et l'incurie qui caractérisent votre gestion de l'ile dont les grands comoriens ont eu le malheur de vous confier la destinée. Qu'Allah, dans sa grande miséricorde, les pardonne !!!
Avec l'avènement au pouvoir de Son Excellence le Président AHMED ABDALLAH SAMBI, vous avez hérité du poste stratégique de Directeur de Cabinet chargé de la Défense, avec la bénédiction du Vice Président IDI sur qui vous vous êtes bien appuyé sans réserve à votre retour, après plusieurs années de chômage en France.
Mais par manque de personnalité et votre petitesse d'esprit aidant, vous avez eu peur que Monsieur le Vice Président ne vous fasse ombrage au sein du Gouvernement et vous avez mis en marche votre œuvre de dénigrement systématique et sans vergogne de Monsieur le Vice Président, espérant gagner ainsi les faveurs exclusives du Président A. A. SAMBI.
Vous vous êtes compromis et aplati jusqu'à singer les anjouanais en baragouinant leur langue, mais vous n'avez pu tromper personne, tant votre posture était pathétique.
Et comble de ridicule et d'hypocrisie, vous voulez prendre à votre crédit tous les efforts que le Vice Président a engagés pour vous convaincre, en vain, à défendre en commun les intérêts de NGAZIDJA au sein d'une UNION forte et crédible, ceci en présence des hautes personnalités, témoins dignes et honorables.
Doter les îles d'une réelle autonomie n'est ni une sinécure ni une farce de mauvais goût comme celle que vous avez servie aux Wangazidja réunis au foyer des Femmes à Moroni.
A cet égard, votre faiblesse à bâtir une autonomie effective au profit de NGAZIDJA n'a d'égale que la vacuité de vos discours soporifiques et dénués de toute conviction.
Mais là encore, pour maquiller votre forfaiture patente et votre manque de courage, vous avez besoin de boucs émissaires triés sur le volet pour justifier votre descente inéluctable aux enfers tel Caïn poursuivi par « la Conscience » après avoir commis le premier crime sur terre et sur son propre frère.
Vous avez dit « lucidité et élégance » quand vous avez troqué un gouvernement formé de Magistrats, Administrateurs, Experts et Hauts commis de l'Etat, contre certains énergumènes de triste renommée auxquels vous avez expressément confiée la mission honteuse d'injurier, outrager et jeter Fanathème sur tout ce que le pays a des dignes fils et autorités politiques.
Et quand vous parlez de « Wangazidja » et de « l'île », l'on est en droit de se demander de quels Wangazidja s'agit-il et de quelle île vous vous targuez d'être le défenseur.
Car les vrais Wangazidja, ceux là ne sont pas dupes et savent faire le distinguo entre ses vrais fils et les opportunistes de tout bord.
Ils ont compris qu'un peuple ne se nourrit pas d'insultes, de fatras, des semblants de pouvoir et de titres ronflants, ni de logorrhée.
Notre population a soif de concret. Elle veut des hommes et des femmes de terrain, qui se soucient de sa jeunesse en projetant des actions axées sur l'avenir de ce pays.
Elle n'en a cure des valses hésitations, de réflexions sans fins et de complexes surannées.
Malheureusement le constat est là. Monsieur le Président, vous n'avez jamais été au rendez-vous d'aucune action de développement pour NGAZIDJA et vous avez boudé, faute de pouvoir les geler, tous les projets lancés en faveur de cette île dont vous voulez vous approprier le monopole du cœur.
Vous avez choisi la politique de la chaise vide comme moyen de gouvernement dans vos rapports avec l'Union, étranglant dans l'œuf, les initiatives que certains de vos ministres essayent, à leur corps défendant, de prendre en vue de la construction de leur île.
De grâce, comment osez vous parler de principe et d'éthique, vous qui vous acharnez sans répit à scier la branche sur laquelle vous êtes assis.
Les comoriens savent tous et reconnaissent en vous Témérité destinataire du fameux message du mauvais serviteur et traître à ses heures.
Ce n'est certainement pas le Vice Président ÏÏDI qui a poignardé dans le dos celui que vous vous êtes ingénié à appeler « votre frère » lorsque vous vouliez vous assurer les suffrages des Wangazidja.
Alors, trêve d'hypocrisie, Monsieur le Président de l'Ile.
Ne vous méprenez pas, le Vice Président IDI a la conscience tranquille et fort de la confiance du peuple qui l'a élu , il veillera sans relâche et avec la volonté du Tout Puissant, à la réalisation des chantiers du développement de nos îles en général et de NGAZIDJA en particulier, n'en déplaise aux langues de vipères.
II vous est loisible de vous complaire dans votre profonde hibernation et dans votre incapacité à discerner le bien du mal, à cibler les vrais problèmes de notre île et à vous battre avec amour et honnêteté pour l'intérêt bien compris des Wangazidja.
Le développement de notre pays est une priorité à laquelle nous devons tous nous atteler sans complaisance et l'Histoire jugera chacun de nous selon sa conscience et ses actes.
Mais il est des impondérables et des postulats auxquels nous sommes condamnés à faire face sans délai pour que notre pays survive au marasme économique qui frappe particulièrement les pays en développement dont les Comores font malheureusement partie.
Alors, pour conjurer le mauvais sort, il faut agir et le développement de notre pays ne peut plus attendre les complexés, les indécis, les poids morts et les gouvernants malgré eux.
SUR CE, A BON ENTENDEUR SALUT.
Le Cabinet du Vice-président
Chargé du Ministère des Transports et du Tourisme
M. Mohamed Abdouloihabi,
Président de l'Ile autonome de NGAZIDJA
Source/ianjouanpresid
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Quand Sambi défie toute une nation !
Le 11/01/2009
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| Mouigni Abdou |
Qui l'eût cru, vingt ans après que cette même ''pathologie'' s'emparerait de lui et ses amis avec la même impudeur ?
Devant le palais de Béit Salam, des dizaines de sympathisants au régime qui prétendent représenter toute une Île, tout un village, toute une région, on en aura vu de toutes les couleurs ces derniers jours. Croit-on représenter l'opinion de tout un peuple parce qu'on aura réuni des notables pour parapher l'irréparable ? Croit-on représenter tout un peuple simplement parce qu'on a de hautes responsabilités dans l'administration publique ? I
Il apparaît simplement et sans ambiguïté une seule motivation pour chacun de ces visiteurs : conserver et défendre leurs postes de responsabilité. Cette manière de s'accrocher à ces postes est un danger pour notre démocratie. Il est clair que dans la conscience intime de chaque défenseur de la révision de la Constitution trône majestueusement le désir de conserver ses acquis et ses réseaux, la peur de l'inconnu poussant les uns et les autres à préférer le statu quo.
Que l'on se comprenne bien. Réviser la Constitution est en soi une initiative à caractère démocratique. D'ailleurs certains observateurs reconnaissent même volontiers à la Constitution de décembre 2001, quelques dispositions qui mériteraient ajustements toutefois sans que ceci présente forcément un caractère d'urgence. Faut-il rappeler qu'aux termes de la Constitution de 2001, la création d'une Cour suprême est attendue, la création d'un Conseil supérieur de la Magistrature est attendue, la mise en application effective de l'article 8, source de divisons entre ''Union'' et '' Midjidjengo'' est attendue, etc.
Mais déjà veut-on la réviser. Est-il une seule fois raisonnable voire sérieux de se montrer engagé et déterminé lorsqu'il s'agit seulement de réviser la Constitution dans le but ''d'étouffer'' la Tournante et non quand il s'agit d'en mettre en œuvre la lettre et l'esprit des textes de la dite Constitution ? Comment le président Sambi pourrait se permettre de défier toute une nation en affichant le désir de vouloir rallonger son mandat d'un an parce que Bachar Kiwan et ses amis candidats à la nationalité comorienne auraient demandé des garanties sur les 77 milliards de nos francs promis au chef ?
Réviser la Constitution de Décembre 2001 dans les conditions actuelles c'est manipuler les consciences, c'est manquer de respect à nos Institutions, c'est manquer de respect au peuple, c'est faire preuve d'immaturité politique.
Ma position qui n'est pas forcément celle des '' défenseurs'' de la révision constitutionnelle, est qu'il faut éviter de s'embarquer dans l'aventure d'une réforme constitutionnelle. La Constitution de 2001 a fait ses preuves, elle s'est adaptée à des circonstances différentes avec souplesse. Elle nous a plus réunis que diviser. S'écarter de ses principes et de ses mécanismes risque, à terme, nous ramener dans la situation d'août 1997.
Et surtout lorsqu'on sait tous que c'est dans l'Île de Djoumbé Fatima que ce '' bébé'' est né. Il n'est pas galant de priver les mohéliens d'élever ce bébé avec leur propre expérience comme ce fut le cas de Ngazidja et Ndzuwani, et Mayotte en 2014, pourquoi pas.
Il n'est dans l'intérêt ni d'un pays ni de son dirigeant de souhaiter rempiler indéfiniment des mandats. J'ose dire ici au président Sambi que la marque d'un homme d'Etat est triple : savoir conquérir le pouvoir, savoir l'exercer et savoir le quitter. Il l'a conquis, il l'exerce avec ses qualités et défauts comme tout chef d'Etat et reste maintenant à le quitter avec dignité et respect.
Je sais comme certains parmi nous que le président Sambi s'y connait en matière de scénarios et pour annoncer son intention de rallonger son mandat d'un an, il a fallu réunir à l'hôtel Le Moroni la vice-présidence chargée du Tourisme, les Gouvernements de Ngazidja, Ndzouani et Mwali pour définir des projets de développement à partir de l'enveloppe des Bidounes Koweitiens, une occasion en or pour faire taire le peuple sur sa volonté de passer en force son '' référendum''.
Ces 77 milliards de francs comoriens qui résonnent bien dans nos oreilles à une période charnière de l'histoire de l'humanité secouée par une crise sans précédent, n'est pas forcément synonyme de bafouer les principes démocratiques d'un pays notamment la volonté affichée de changer la constitution pour pouvoir se maintenir au pouvoir.
Ces 77 milliards comme les millions du fameux '' projet Habitat'' devraient en principe rassurer ces centaines de personnes qui ont fait Hahaya-Moroni à pieds, les enfants sur les dos comme ces pauvres femmes éparpillées dans le désert à la recherche d'une source d'eau accompagnant le candidat Sambi pour lui témoigner leur suffrage. Si jamais le ''butin'' des Bidounes n'emprunte pas le même chemin que celui du projet habitat ou de la vente de l'hôtel Galawa, alors cela va rentrer dans l'actif du président le lendemain de son départ de Beit Salam. C'est un exploit, n'est ce pas ?
Qu'on me comprenne : je ne me délecte pas de jugements négatifs qui seraient dictés par des considérations politiques et partisanes. Je décris une situation qui est malheureusement réelle. Je sais que chez nous dés que vous marquiez tant soit peu votre différence, vous êtes noyé sous un tombereau de réactions négatives. Néanmoins, je précise ici que certains commentaires sont flagrants et traduisent des ambitions personnelles qui manquent malheureusement de finesse.
Mouigni Abdou
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Le 11/01/2009
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Sambi, créateur de problèmes !
Le 11/01/2009
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| Ustadh Sambi, président comorien |
En effet, Sambi aussitôt élu, il s'attaque dans un premier temps à tous les Wangazidjas et Mohéliens qui furent au pouvoir avec Azali. Il les humilie en les traînant au tribunal de Moroni, certains pour "avoir détourné des tables basses", d'autres pour "avoir détourné de l'argent dont les montants n'ont jamais été collecté par les sociétés d'Etat qu'ils dirigeaient" !
Après avoir tout fait pour que son procureur, le petit juge AZAD qui ressemble bien à son père qui a humilié beaucoup de gens lorsqu'il faisait la pluie et le beau temps chez Ali Soilihi Mtsachioi, mette en prison ce petit monde, la justice finit par prononcer des non-lieux! C'est-à-dire que notre justice a mis en prison des anciens Ministres pour dire après qu'elle s'est trompée! Ici Ustadh, avouons-le, a creusé lui-même sa propre tombe avec sa famille sans compter ceux qui voudront en tout ami, cousin, frère et sœur de Sambi un complice possible !
Ensuite, Sambi docteur es-création de problèmes, part chez lui à Anjouan et organise la guerre ! Il signe d'abord un décret qui fixe les dates des élections présidentielles des îles; et puis il décide seul d'organiser seulement cette élection à Ngazidja et à Mohéli sans Anjouan pour venir enfin faire appel aux Djandjaouids et Djambo bwana pour tuer et voler aux anjouanais ! Ici également Sambi s'est créé autant de problèmes: demain quand il quittera le pouvoir, on verra s'il osera se rendre à Nioumakélé, à Sima ou même à Mirontsi !
D'aucuns se disaient que maintenant c'est fini, mais c'était sans compter avec ce fou de Sambi !
Il s'attaque à Mouzaoir et à la Cour Constitutionnelle. Il décide comme un Empereur dedétronner le Président de cette prestigieuse institution à quelques jours d’une élection qu’il avait décidée de voler aux anjouanais !
Les comoriens étant des hommes et des femmes de paix, ils ont cru naïvement que maintenant Sambi va se contenter de voyager avec ses "copains- copines" et les laisser en paix en attendant la fin de son mandat !
Non, ici aussi il fallait être naïf : dans un premier temps il donne l'impression de faire la guerre à la France à cause de Mayotte avant de partir à l'ONU retirer la question de l'ordre du jour; et pour montrer son visage d'ignare en diplomatie, il fait un discours insultant à l'égard de cette même France face au monde entier, mais pour "éviter étrangement" le soutien de Hugo Chavez, il fait, vers la fin de son discours, un éloge envers Sarkozy que même Rachida Dati aurait du mal à faire !
D'ailleurs, les français furent contrariés et se sont dit au couloir des Nations Unies que les comoriens élisent des fous ou quoi ? On ne comprend rien ! " Ce mec n'est pas normal ", a constaté un diplomate qui s'adressait à Toihir l'ambassadeur de Sambi qui avait écrit un article insultant vis-à-vis des Comores qui est un chef d'œuvre dans les annales diplomatiques mondiales !
Après, et à quelques mois de la fin de son mandat, tout le monde sans exception avait conclu que cette fois-ci c'est fini Sambi va s'assagir et rester tranquille bouffer tout l'argent qu'il a détourné avec sa famille ! Et même les Mohéliens ont cru et ont déjà commencé leur campagne pour 2010 !
Non, Sambi revient et fait comme s'il venait juste d'être élu à la magistrature suprême du pays : Il ouvre la boîte à pandores: Il veut réviser la constitution ! Et il dit sans honte qu’il n'a nommé aucun membre de sa famille dans les fonctions étatiques !
Provocateur, vous ne trouvez pas ? Mais qui est cet anjouanais qui occupe un poste aux Comores, à Anjouan, à l'extérieur s'il n'est pas lié à Sambi ? Frère, cousin, amie, copine, gendre, beauf e tout....
La révision constitutionnelle est devenue aujourd'hui le repas qu'il mange ! Et même il menace les comoriens: Si les partis refusent, alors je ferai un référendum ! Sambi a perdu la conscience ! Il est fou ! Il doit être placé dans un asile psychiatrique ! Cet homme va ruiner notre pays et il va pousser le pays vers une guerre civile qui ternira à jamais les Comores pour donner raison aux Mahorais qui vont nous regarder et rire !
Sambi doit partir car il est malade! Regardez-le !
Karidjini Kamriysera
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