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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Avec Fouad Mohadji, le navire Iki ne cessera pas de tanguer

Le 30/07/2013

Le Vice-Pdt Fouad Mohadji
Le Vice-Pdt Fouad Mohadji 

Comme Sarkozy a dit : «  La France tu l’aimes ou tu la quittes », Iki fait que dans son régime, tu te tais ou on te vire. Si on n’arrive pas à te virer, on te discrédite. Voilà ce qui est arrivé au vice-président Foud Mohadji. Et lui, il est victime de quoi si d’autres sont victimes de leurs propres succès ? Ne creusons pas si profond ; c’est sa constance qui fait défaut. Une opiniâtreté prise pour une insolence par les siens. Le VP Fouad Mohadji devient un élément à abattre à tout prix par ses collègues et par le chef de l’Etat.
 

Alors ceux qui ont cru que le directeur du cabinet du chef de l’Etat, chargé de la défense sifflant la fin de la recréation dans la cour d’Iki, a pu mettre fin au sambisme au sein du régime en place, se trompent. En réalité le régime IKI c’est un Manoir qui ne cessera pas de tanguer tant que Mohadji y prend toujours siège. Sachons très bien que les coups bas contre Fouad Mohadji ne datent pas de ces heures. Rappelons-nous de la grande opposition qui se calquait entre lui et son collègue Mohamed Ali Soilihi alias Mamadou, lorsque le premier avait accusé le second d’avoir usé de ses propres privilèges pour signer, à son insu, une convention d’une grande importance sur le pétrole engageant, unilatéralement le pays sur une longue période. « Le vice-président en charge de finances a usurpé mes prérogatives, alors qu’il assurait mon intérim au mois de novembre 2011 » pour signer la dite convention « qui engage les ressources du pays pendant au moins quarante cinq ans, avec Boule Mining Group, au nom de mon ministère, sans même m’en informer, ni informer le gouvernement ».Disait F.Mhadji, il y a neuf mois de cela. Un bras de fer qui lui a couté la chute… car lâché par les siens. 
 

L’œuvre d’un enfant obstiné


Sa plume marque le début de la coupure du corridor entre lui et le duel Iki-Mamadou. Dans sa lettre Fouad a écrit : « Le gouvernement de l’Union des Comores réfute toute réclamation présentée par Boulle Mining Group ou ses filiales de détenir un accord avec le gouvernement au sujet de l’exploration du pétrole et du gaz et de l’assistance technique, un fait qu’il a communiqué au Groupe minier Boulle dans une lettre officielle datée du 14 mai 2012 ». Ce rebelle légal, qui ne cède pas aux caprices de ses amis d’hier qui ne lui sont qu’ennemis d’aujourd’hui, continue ses combats en cavalier seul, bien qu’il soit trahi par les siens au sein du régime, comme le président de l’assemblée nationale et les différents conseillers entassés à Beit-Salam... Ce Fouad qui a reçu plusieurs coups, comme l’interdiction de participer au congrès du parti de la mouvance présidentielle, le RADECO, les limogeages de son chauffeur d’Anjouan et de Mwali par le régime, le vandalisme de sa voiture de fonction, le retour exigé à la caserne des militaires gardant sa maison… et même privé de voiture officielle à Moheli... Fouad Mohadji ne compte pas renoncer à son combat même s’il lui apportera la traversée du désert.


Une légalisation de la corruption


Si le chef de l’Etat Ikililou Dhoinine a choisi enfreindre la loi pour morigéner Fouad Mhadji, ce n’est pas  anodin. Oui, composer un gouvernement sans la présence d’un des vice-présidents, va à l’encontre de l'article 16 de la constitution, selon lequel, ­le Président de l’Union, assisté des deux Vice-présidents, nomme les Ministres de l’Union et met fin à leurs fonctions.En outre, l’ajustement du navire Mamadou et l’oscillation de celui de Fouad par ce même Iki dans le gouvernement Iki 2, traduit combien la corruption est bien légalisée chez les autorités en place. Affaire Bolloré et le port de Moroni, l’attribution de l’exploitation du pétrole à Boulle Mining Group, l’attribution de la licence unique pour la vente de l’Alcool à Shemir Kamula… Gestion opaque, attributions illégales des marchés, la construction des châteaux en Espagne pour les comoriens, attribution de juteux contrat à COLAS sans appel d'offres public mais avec un choix entre trois sociétés étrangères dont une malgache qui a passé moins de 6 mois aux Comores avant de partir et une turque… tout cela à l’œuvre du VP en charge de finance.


Sinon le vice-président F.Mohadji n’est pas pris au dépourvu. Un jour il disait : « J'ai appris que dans le prochain gouvernement il y a ceux qui veulent qu'on me confie le ministère des WC, ainsi je mettrai en place les WC publiques qui manquent dans le pays. », Fouad qui ne prétend pas se soumettre… promet de se défendre même si ce comportement d’un enfant obstiné, lui coûte cher. Sacré Fouad a déjà commencé par s’habiller en noir, signe de déclaration de guerre. Boubou noir, bonnet noir, pagne noir, veste noir… Monsieur Iki, un chef d’Etat averti en vaut dix. Mais comment ce Sambiste convaincu de Fouad Mhadji, oublie combien de fois son mentor, l’homme au turban a violé la loi pour ses fins personnels ? 

 SAID YASSINE Said Ahmed

COMORESplus

 

Ikililou accueilli en grand pompe à Ndzuwani

Le 30/07/2013

Ikililou accompagné par Anissi, Gouverneur d'Anjouan
Ikililou accompagné par Anissi, Gouverneur d'Anjouan 
Près de trois semaines après avoir procédé à la nomination de son deuxième gouvernement, le chef de l’Etat effectue son premier déplacement dans l’ile d’Anjouan. Dès sa décente sur le tarmac de l’aéroport de Ouani, Dr Ikililou accompagné de son vice-président Nourdine Bourahan et des deux ministres originaires de l’ile, a été accueilli par des milliers de personnes, à leur tête le gouverneur de l’ile. Au menu de l’agenda du chef de l’Etat et sa suite un iftar et deux inauguration. Par ailleurs, le président a reçu en audience 1h après son arrivée, des notables et des jeunes.

Premier déplacement du chef de l’Etat dans l’ile d’Anjouan après l’avènement de son deuxième gouvernement. Ikililou Dhoinine qui est accompagné par son vice-président en charge de l’aménagement du territoire, du ministre des transports et télécommunications ainsi que celui de la justice tous deux originaires de cette ile. Une foule composée de milliers de personnes s’est rendue à l’aéroport d’Ouani pour l’accueillir.

Une démonstration de force savamment préparée. 1h30 avant l’atterrissage de l’appareil qu’il a amené, le tarmac de cet aéroport a été envahi par des centaines de femmes et hommes, venus l’acclamer. Un observateur témoigne qu’il n’a jamais vu un tel engouement depuis l’arrivée d’Ikililou à la tête de l’Etat. « Personnellement je crois que cette fois tout a été bien organisé. Espérons que cette foule saura accompagner les actions de ce gouvernement », avance Sakina Zaidane, une instructrice originaire Ongoni.

C’est la toute nouvelle ministre des transports Mme Bahiat Massoundi qui est chargée de livrer aux journalistes le planning du chef de l’Etat. Dans l’agenda présidentiel des inaugurations à Domoni et à Nyouamakele. Dans l’après midi, sa délégation a procédé à une distribution de kits alimentaires dans les quartiers Chiwé et Sangani à Mutsamudu. A noter que le chef de l’Etat et sa délégation ont fait la rupture du jeune dans le palais résidentiel de Dar Nour. Selon le service de protocole, il sera de retour à Moroni demain mercredi.

 
Nabil Jaffar

 

Vers un éclatement de la majorité présidentielle

Le 30/07/2013

Les Membres du Bureau MMP
Les Membres du Bureau MMP 
Entre le chef de l’Etat et les partis politiques derrière lui, le divorce semble inévitable. Certaines formations politiques ne digèrent toujours pas d’avoir été mises sur le banc de touche lors de la nomination du nouveau gouvernement, et pourraient même adopter une résolution commune pour dénoncer la démarche solitaire du président de la république.

Les partis politiques de la mouvance présidentielle devraient se réunir ce mardi au Palais du peuple. Cette réunion était initialement fixée samedi mais a été reportée à la dernière minute, afin de garantir la présence de toutes les formations politique qui ont soutenu jusqu’ici le régime Ikililou Dhoinine. Joint par La Gazette des Comores / Hzk-Presse, le chargé de programme politique du FNJ, Miftahou Ali Bamba, a confirmé que c’est la faible mobilisation qui aurait conduit à l’ajournement de la rencontre jusqu’à ce mardi. Selon toujours Miftahou Ali Bamaba, cette rencontre va essentiellement porter sur la «marginalisation» dont sont victimes les partis de la mouvance.

Une première rencontre aurait déjà eu lieu dans le bureau de Ben Massound à la Présidence, a appris La Gazette des Comores/ Hzk-Presse. Les partis présents ont presque établi le même constat, selon Mme Sittou Raghadat, la secrétaire national du RDR. Ils ne se reconnaissent pas dans cette équipe. Une équipe qui pourrait bien être le second et dernier gouvernement Ikililou, si on devait retenir la leçon du précédent.

Selon Sittou Raghadat, les leaders présents à cette première rencontre restreinte, auraient exprimé la nécessité de : «mobiliser l’ensemble de partis proches du pouvoir pour sortir une résolution commune». C’est aussi ce qu’a avancé le leader du FNJ, l’ancien ministre de la justice démissionnaire du régime Sambi, Miftahou Ali Bamba.

La coalition politique soutenant le régime du président Ikililou Dhoinine, semble avoir perdu ses repères. Certains leaders de l’UPDC ne cachent pas leur déception et pourtant trois des leurs ont été promus ministres. C’est sous une autre étiquette qu’ils ont été nommés, dénonce-t-on ici et là. Comme le FNJ, nombreux sont ceux qui regrettent le fait qu’aucun parti n’ait été consulté par Beit-Salam. Ils estiment que le chef de l’Etat s’est contenté de nommer ses «amis promotionnels».

A Mohéli, les politiciens de l’île qui ont porté jusqu’ici main-forte au chef de l’Etat, semblent eux aussi, mécontents. L’île n’a pas pu hériter du ministère des Finance et le département des affaires étrangères leur a même échappé. Les plus sages, s’écœurent même de la discorde opposant le chef de l’Etat et son vice-président Fouad Mohadji, les deux enfants de l’île au sommet de l’Etat.

Des rumeurs de remodelage circulaient même à Moroni les jours qui ont suivi le remaniement. Les retards pris dans la nomination des cabinets ministériels viendraient aussi renforcer l’hypothèse d’une cascade de nominations susceptibles de satisfaire à la fois les hommes de la mouvance et la communauté mohélienne.

 
Al-hamdi Abdillah

 

Madame Soilha interpelle le nouveau gouvernement

Le 30/07/2013

Mme Soilha Mdahoma, SG Adjointe UPDC
Mme Soilha Mdahoma, SG Adjointe UPDC 
Dans un point de presse, Madame Soilha Mdahoma interpelle les membres du nouveau gouvernement pour de nouvelles réformes. Elle souhaite qu’il y ait des actions concrètes sur l’éducation, la santé et les infrastructures. La secrétaire générale adjointe du parti UPDC se dit prête à apporter sa contribution là où le besoin se ferait sentir.

Moins de 72 heures après les passations de service du 2ème gouvernement d’Ikililou, Madame Soilha interpelle les nouveaux ministres pour qu’ils concrétisent les engagements pris et pérennisent les réalisations des deux premières années de règne du président Ikililou Dhoinine. Elle met l’accent sur les questions du chômage des jeunes, de la santé et de l’éducation. Selon elle, les Comores, « sont le seul pays au monde où l’on fait payer le patient aux urgences », se désole-t-elle. Elle trouve cette situation anormale.

Concernant l’éducation, Madame Soilha dit ne pas comprendre que les résultats du Baccalauréat de cette année soient aussi médiocres. « Pourquoi cet échec ? », se demande cette femme d’affaires convertie dans la politique, estimant que les nouveaux membres du gouvernement doivent déployer beaucoup d’efforts pour aider le chef de l’Etat afin de rehausser le niveau scolaire de nos enfants. Ces derniers, « sont l’espoir du pays de demain », indique-t-elle.

« Depuis 4 mois, je suis secrétaire générale adjointe du parti Union pour le Développement des Comores. J’ai essayé de faire des visites dans chaque île pour voir la réalité du pays », affirme-t-elle en ajoutant que les responsables d’aujourd’hui doivent écouter la population. Madame Soilha se montre par ailleurs prête à service le pays à tout moment et partout où elle serait sollicitée. À condition d’opérer « un véritable redressement du pays ».

Toutefois, des rumeurs circulaient par-ci par-là, qu’elle aurait été sollicitée pour occuper un poste ministériel. « Lorsque l’UPDC a été consulté pour le remaniement ministériel, le parti m’avait conseillé de me préparer en conséquence », avoue Madame Soilha qui nie avoir été désignée pour être ministre. « Dans ce pays, chacun a sa manière de contribuer. On ne droit pas attendre d’être au pouvoir pour réaliser apporter sa pierre à l’édifice », conclue-t-elle.

 
Ibnou Mohamed Abdou

 

Paris condamne le coup d'Etat

Le 30/04/2013

Le ministère des Affaires étrangères a indiqué aujourd'hui que la France condamnait la tentative de coup d'Etat déjouée samedi aux Comores et a assuré les autorités comoriennes de "son soutien et de sa coopération".

"La France condamne fermement la tentative de déstabilisation rapidement déjouée aux Comores dans la nuit du 20 avril. Elle se félicite de la stabilité retrouvée de l'Union des Comores depuis 2001 ainsi que de la consolidation de la démocratie et de l'Etat de droit dans l'archipel", a déclaré Philippe Lalliot, porte-parole du ministère.

"La France travaille avec ses partenaires de la Commission de l'océan Indien, dont la présidence est assurée cette année par l'Union des Comores, à la construction d'un espace régional de paix, de sécurité, de développement et de prospérité", a-t-il ajouté.

Le président comorien Ikililou Dhoine a ordonné l'ouverture d'une enquête après la tentative de coup d'Etat. Quinze personnes dont sept étrangers, ont été interpellées en liaison avec cette affaire, dont Mahamoud Ahmed Abdallah, fils de l'ancien président Ahmed Abdallah Abdérémane assassiné en 1989, et dirigeant du Mouvement pour le développement des Comores, créé il y a environ un an.

Parmi les étrangers arrêtés, la présence de mercenaires africains est confirmée. Selon une source proche de la présidence comorienne, un ressortissant français, Patrick Klein serait le financier de l'opération.

Patrick Klein qui ne figure pas parmi les personnes interpellées, a séjourné aux Comores entre 1985 et 1987, au sein de la Garde présidentielle du président Abdérémane, alors dirigée par le mercenaire français Bob Denard.      Le ministère des Affaires étrangères a indiqué aujourd'hui que la France condamnait la tentative de coup d'Etat déjouée samedi aux Comores et a assuré les autorités comoriennes de "son soutien et de sa coopération".

"La France condamne fermement la tentative de déstabilisation rapidement déjouée aux Comores dans la nuit du 20 avril. Elle se félicite de la stabilité retrouvée de l'Union des Comores depuis 2001 ainsi que de la consolidation de la démocratie et de l'Etat de droit dans l'archipel", a déclaré Philippe Lalliot, porte-parole du ministère.

"La France travaille avec ses partenaires de la Commission de l'océan Indien, dont la présidence est assurée cette année par l'Union des Comores, à la construction d'un espace régional de paix, de sécurité, de développement et de prospérité", a-t-il ajouté.

Le président comorien Ikililou Dhoine a ordonné l'ouverture d'une enquête après la tentative de coup d'Etat. Quinze personnes dont sept étrangers, ont été interpellées en liaison avec cette affaire, dont Mahamoud Ahmed Abdallah, fils de l'ancien président Ahmed Abdallah Abdérémane assassiné en 1989, et dirigeant du Mouvement pour le développement des Comores, créé il y a environ un an.

Parmi les étrangers arrêtés, la présence de mercenaires africains est confirmée. Selon une source proche de la présidence comorienne, un ressortissant français, Patrick Klein serait le financier de l'opération.

Patrick Klein qui ne figure pas parmi les personnes interpellées, a séjourné aux Comores entre 1985 et 1987, au sein de la Garde présidentielle du président Abdérémane, alors dirigée par le mercenaire français Bob Denard.

 

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