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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

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Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

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BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Le 05/03/2014

Idriss Mohamed, Membre du Comité Maoré
Idriss Mohamed, Membre du Comité Maoré 

La nation comorienne est un fait historique tangible que chacun peut apprécier à la lumière de la culture, de la langue, etc. Nous avons hérité de nos ancêtres des pratiques festives, religieuses, culinaires qui ont cimenté notre nation. Malheureusement depuis l’indépendance, une entreprise de démolition de la nation comorienne est en œuvre et remporte succès sur succès.

 

Pour fonder l’annexion de l’île comorienne de Mayotte, la France a réécrit L’histoire du pays et les autorités comoriennes restent de marbre. Des cartes d’une Union des Comores de 3 îles circulent dans l’administration comorienne ; des rapports « oublient » que Mayotte est une île comorienne. Au total l’unité territoriale et politique de la nation est entamée sans qu’une riposte à la hauteur du défi français soit engagée par les dirigeants qui se sont succédés à la tête du pays depuis l’indépendance.

 

Le pays en est arrivé à célébrer ceux qui nuisent ou ont nui à l’unité du pays. Ainsi assiste-t-on aujourd’hui à une caricature grotesque : ceux qui s’étaient emparés de l’île d’Anjouan contre l’Etat central ; ceux qui avaient proclamé l’indépendance d’Anjouan à défaut de pouvoir être rattachés à la France ; ceux qui avaient même refusé l’idée saugrenue de l’ancien premier ministre français Rocard, préconisant une Union des Etats Indépendants des Comores ; ceux-là fanfaronnent sur la scène politique nationale.

 

N’est-ce pas une vilénie que de nommer un Chef séparatiste non repenti, au Haut Conseil Paritaire, supposé négocier pour le retour de Mayotte ? Comment ce personnage a-t-il été réintégré au MIREX !?

 

N’est-ce pas une vilénie que de permettre à Mjamawe, Sarkozy et consorts de se poser en victimes ; de se croire en position d’exiger des réparations. Le Gouverneur d’Anjouan Anisi leur a tendu la main tandis que le Président  Ikililou leur ferait la part belle en ayant réintégré certains « bacaristes ». Ces derniers auraient même le droit de fonder leur propre parti pour participer sous leurs drapeaux aux prochaines échéances électorales. Voilà donc nos « héros » faisant le beau avec beaucoup d’arrogance.
 

IL FAUT FAIRE LE PROCES DU SEPARATISME ANJOUANNAIS POUR OUVRIR LA VOIE A UNE VERITABLE RECONCILIATION NATIONALE QUI NOUS RENFORCERA DANS NOTRE COMBAT NATIONAL IMPRESCRIPTIBLE POUR LE RETOUR DE MAYOTTE.
 

Idriss Mohamed 

 

Amir Abdou, nouveau sélectionneur des Cœlacanthes

Le 02/03/2014

Amir Abdou, Sélectionneur des Comores
Amir Abdou, Sélectionneur des Comores 

Il y a quelques semaines, la Fédération comorienne de football (Fcf) a engagé Amir Abdou, ancien joueur de "Avenir Club de Moroni" à la tête des Cœlacanthes. Le nouveau sélectionneur de l’équipe nationale de football des Comores fera le premier test de ses nouveaux joueurs en mars prochain lors d’un match amical contre le Burkina-Faso à Istres en France.

 

Les amis de Mohamed Bacar en ordre de bataille

Le 02/03/2014

Jaffar Salim Allaoui, Proche de Mohamed Bacar
Jaffar Salim Allaoui, Proche de Mohamed Bacar 

Jaffar Salim Allaoui et le bureau du parti Génération Nouvel Ensemble Comorien Rénové (GNECR), récemment créé par les proches de Mohamed Bacar, se mettent en ordre de bataille pour les prochaines échéances électorales. Ils n’excluent pas de se présenter aux législatives, élections communales et des conseillers des îles.

 

Le tout nouveau parti porté par les hommes de Mohamed Bacar, dénommé « Génération Nouvel Ensemble Comorien Rénové », s’est dévoilé à la presse hier, au cours d’une conférence à Moroni. A sa tête, l’ex-ministre de l’Intérieur d’Anjouan sous le régime séparatiste, Jaffar Salim Allaoui, populaire sous le nom de Sarkozy. Selon leur bureau politique, le nouveau parti a comme but avoué de proposer «une culture politique basée sur la promotion de l’éducation à la citoyenneté et l’assainissement de l’environnement politique».
 

« Il faut faire de la politique autrement et arrêter le dénigrement et la calomnie. On se propose de donner une alternative à l’environnement politique comorien et de changer la donne», a soutenu Jaffar Salim au cours de ce que l’on a pu constater comme étant une opération de séduction. « On a fui la tyrannie et pas notre pays ou la justice comorienne. J’avais été torturé et j’ai subi pas mal d’humiliations alors que j’avais été libéré car les charges qui pesaient sur moi étaient infondées», a déclaré devant la presse celui qui fût surnommé «Sarkozy», pour la répression policière de toute tentative de soulèvement contre le régime Bacar.
 

Pour rappel, Mohamed Bacar et la plupart de ses collaborateurs, dont Jaffar Salim, avaient été poursuivis pour «atteinte à l’autorité de l’État, complicité d’homicide volontaire, coups et blessures, viols et détournement de fonds». « Je défie tous ceux qui nous accusent de quoi que ce soit d’apporter des preuves. On a été victime d’une campagne de dénigrement et de diabolisation de la part du régime Sambi (…) Avec le recul, je n’ai aucun regret», a poursuivi Jaffar Salim.
 

Au cours de la conférence, Mr Jaffar a reconnu une certaine sympathie avec le régime d’Ikililou. Pour ce qui est de la réconciliation prônée aujourd’hui par le gouverneur Anissi, l’ex-ministre de l’Intérieur du régime séparatiste estime qu’il s’agit d’une manœuvre politicienne à l’approche des législatives.
 

« Nous, les concernés, nous n’avons pas été informés. Hier pour se faire élire, il a prôné la réconciliation et depuis, plus rien. Aujourd’hui, il va nous amadouer avec une annonce. D’ailleurs, son directeur de cabinet a bel et bien fait comprendre qu’une alliance avec les hommes de Mohamed Bacar était contre-nature. La démarche est viciée », a renchéri Jaffar Salim Allaoui.
 

Interrogé sur les relations avec Mohamed Bacar, il a soutenu qu’il était régulièrement en contact avec lui. « Il approuve notre approche et je l’informe régulièrement de ce que nous entreprenons », a-t-il avancé.
 

Al-hamdi Abdillah Hamdi


 

 

Al-Watwan rend hommage à Amad

Le 02/03/2014

Le Premier Journal des Comores
Le Premier Journal des Comores 

Le personnel d’Al-Watwan a inauguré hier, la salle dédiée à un de leurs collègues, décédé, le journaliste Amad Mdahoma. 
Un geste pour rendre hommage à un homme qui a servi le premier journal des Comores tout au long de sa vie.

Selon Hassani Moindjié, le directeur général d’Al-Watwan, Amad Mdahoma a beaucoup contribué à l’acquisition du local qui abrite les bureaux actuels d’Alwatwan et fut aussi un artisan des relations de coopération entre le journal de l’État et l’ambassade de Chine.
Amad a occupé plusieurs fonctions au sein du premier journal des Comores. Il a exercé à plusieurs postes dont celui de journaliste, chef du personnel, rédacteur en chef et directeur général d’Alwatwan (1999-2006).
 

Selon toujours Hassani Moindjié, Amad a instauré la rigueur dans le travail et a beaucoup soutenu l’amélioration des conditions de travail des journalistes. Le local est capable d’accueillir une conférence et dispose aussi d’une salle de repos et d’un bureau réservé au personnel venant d’Anjouan ou Mohéli. « L’ensemble des invités qui ont répondu présent sont venus pour lui rendre hommage parce qu’il l’a mérité », a insiste Hasssani Moindjie.
 

Au nom du ministre de l’Information, Mohamed Boudouri, directeur de l’Information a salué l’initiative du personnel et de la direction de l’organe de presse étatique.
Mr Boudouri a plaidé pour le respect et la valorisation du métier de journaliste, tout en saluant le travail accompli par Amad Mdahoma, qui fut l’un des premiers journalistes du quotidien d’État où il est entré en 1986. Présent à la cérémonie, le fils de l’ex-directeur de la publication a aussi remercié, au nom des membres de sa famille, cet hommage rendu à son père. Un témoignage d’amitié et de compassion qu’il n’est sûrement pas prêt d’oublier.
 

Al-Hamdi Abdillah Hamdi

 

 

Le malheur d’être du parti Orange

Le 02/03/2014

Mouigni Baraka, Gouverneur de Ngazidja
Mouigni Baraka, Gouverneur de Ngazidja 

Des agents viennent d’être suspendus de leurs fonctions, sans solde, dans le cabinet du gouvernorat de Ngazidja. Ils seraient tous des sympathisants du mouvement Orange, selon certains leaders de ce parti, alors qu’à Ngazi Ngomé, on explique cette décision par «l’abandon de poste».

 

A l’approche des prochaines échéances électorales, les mauvaises pratiques commencent à refaire surface. Le Gouvernorat de Ngazidja vient d’entamer une série de suspensions à l’encontre de plusieurs agents de son cabinet et services rattachés. Le motif évoqué sur la note signée par le DAF (Directeur administratif et financier) du gouvernorat est l’abandon de poste. « Une vielle justification pour légitimer la suspension sans solde de huit agents originaires de Moroni, tous partisans et sympathisants du mouvement Orange », a dénoncé le député Abdoulfatah Said.

Le parti a porté Mouigni Baraka à la tête de l’exécutif de l’île avant que ce dernier ne décide de créer son parti, avec d’autres personnalités politiques qui avaient rompu avec le mouvement Orange de Kiki. Parmi les agents suspendus, on compte un conseiller technique du gouverneur, un chargé des collectivités locales, un chargé de coopération avec les pays d’Europe, des conseillères aux affaires sociales et plusieurs agents du service de communication.
 

Le député Abdoulfatah Saïd a dénoncé des «pratiques autoritaires» et a laissé entendre que l’ordre a été donné de suspendre tout agent qui ne rejoindrait pas le RDC, parti dirigé par Djaé Ahamada Chanfi et proche de Mouigni Baraka. Pour le moment, seuls sont visés les sympathisants et partisans du mouvement Orange, selon le député de Moroni Nord.
 

La guéguerre entre les deux camps s’était jusqu’ici, limitée au clash par média interposé. Mais à l’approche des élections législatives, communales et des conseillers des îles, les postes doivent se dégager pour laisser place à de potentiels électeurs. Une corruption électorale en perspective.
 

Aux Comores, rien de tel que du travail pour amadouer l’électorat car les voix s’achètent, soit en liquide, en avantages ou en nature. Dans les prochains mois, les effectifs pourtant jugés déjà pléthoriques dans les administrations et sociétés publiques, vont doubler. Dans quelle démocratie sommes-nous ? La question mérite d’être posée car il est regrettable qu’en 2014, le système continue de démolir la société et la jeunesse, particulièrement en entretenant ces pratiques indécentes que l’on croyait révolues.
 


Al-hamdi Abdillah Hamdi

 

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