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Tripoli, capitale de l'Afrique

Le 01/09/2009

Sambi, Mahmud Abbas, Abdelaziz Bouteflika, Omar al-Beshir, Kadhafi
Sambi, Mahmud Abbas, Abdelaziz Bouteflika, Omar al-Beshir, Kadhafi 
La capitale libyenne, Tripoli, s'est muée en capitale de l'Afrique et lieu de rencontre des présidents et chefs de gouvernement africains, à la veille d'un sommet spécial consacré à l'examen et à la résolution des conflits en Afrique et des grandes festivités marquant le 40ème anniversaire de la Révolution du premier Septembre en Libye mardi prochain.


Les présidents mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, comorien Ahmed Abdallah Sambi, burkinabé Blaise Comparé, congolais Denis Sassou Nguesso, algérien Abdelaziz Bouteflika, malien Amadou Toumani Touré, nigérien Mamadou Tandja, soudanais Omar Hassen el-Béchir, béninois Yayi Bony et bissau-guinéen par intérim, président de l'Assemblée nationale, Raymondo Pierra, sont arrivés à Tripoli.


Sont également arrivés dans la capitale libyenne, les présidents cap- verdien Pédreo Pires, Saotoméen Fradique de Menzez, zimbabwéen Robert Mugabe, tanzanien Jakaya Kikwete, dominicain Lionel Bandera, centrafricain François Bozizé, gambien Yahya Jameh, sahraoui Mohamed Abdelaziz et le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi.



On a noté aussi l'arrivée du vice-président ghanéen John Dramani Mohamed, le Premier ministre équato guinéen Ignacio Milam Tang, le vice-président nigérian Goodluck Ebele Jonathan, le Premier ministre gabolais Paul Biyoghé Mba, le Premier ministre somalien Omar Abdel Rachid Charmarky et le Premier ministre du Lesotho Pakilita Mosesili.



Le guide Mouamamr Kadhafi, président en exercice de l'UA, a offert dimanche soir un dîner de gala en l'honneur du Premier ministre italien Silvio Berlusconi et des présidents, chefs de gouvernement et de délégation arrivés en Libye pour participer, avec le peuple libyen, aux grandes festivités du 40ème anniversaire de la Révolution du premier Septembre et au sommet spécial africain consacré au règlement des conflits en Afrique.


Tripoli/Pana

 

2 mois après le crash, les Comoriens veulent savoir

Le 30/08/2009

Les membres des familles à Marseille
Les membres des familles à Marseille 

Deux mois après la catastrophe aérienne, la communauté comorienne reste sous le choc et attend des réponses.


Déjà deux mois. Fin juin, un Airbus A310 affrété par la compagnie Yemenia Airways s'écrasait au large des côtes comoriennes en faisant 152 victimes, dont 61 ayant embarqué à Marseille. Un drame qui pose toujours des questions…


Connait-on les causes du crash ?


Pas encore. Mais les investigations semblent, enfin, prendre une tournure décisive. Dimanche dernier, la commission d'enquête annonçait l'identification d'éléments de l'épave de l'Airbus A310 et le repêchage des corps de six victimes. Dans la foulée, après la localisation des boîtes noires à 1 200 mètres de profondeur, des tentatives pour récupérer ces enregistreurs de données - dont seul le décryptage permettra de savoir ce qui s'est réellement passé - ont commencé sur la zone du crash.


Menée par un bateau français équipé d'un robot télécommandé, l'opération pourrait aboutir rapidement. À ce jour, une seule certitude : l'état de l'avion affrété par la Yemenia, cette compagnie qui allait, selon plusieurs témoignages, jusqu'à vendre deux places pour un même siège, ne répondait pas aux normes européennes. Une suite de manquements graves aux règles de sécurité reste l'hypothèse privilégiée pour expliquer la catastrophe.


La colère est-elle retombée ?


Non. Si pour la communauté comorienne de Marseille, l'heure est encore au deuil, la colère reste vive. Principale cible : Yemenia Airways. Une compagnie à la fois accusée d'avoir fait voler des avions poubelles, et dénoncée pour sa gestion "inhumaine", dixit Youssef, petit-fils d'une victime, de l'après catastrophe. "Yemenia n'a absolument pas été coopérative", enfonce Stéphane Salord, le Consul honoraire des Comores à Marseille. "Ils ont été jusqu'à refuser de verser une pré-indemnisation, comme promis, à ceux qui la demandaient..


Du coup, plusieurs familles ont d'ores et déjà assigné en référé la compagnie afin d'obtenir une avance sur indemnités. "Certains ont perdu un père ou un mari qui étaient les seules sources de revenus de la famille. Ils se retrouvent sans rien. C'est une douleur ajoutée à la douleur…", s'émeut Mohamed M'Sadie, responsable d'une association comorienne de Marseille. En tout cas, l'offensive judiciaire en cours aura poussé Yemenia à tenter une négociation directe. "Nous avons évidemment refusé, s'irrite l'avocat Yann Prevost, nous n'allons pas discuter le bout de gras avec eux. L'indemnisation se fera par la décision d'un juge. C'est une question de principe".


Autres cibles désignées, les autorités françaises et comoriennes soupçonnées d'avoir freiné l'enquête pour "préserver leurs relations" avec Yemenia. Une entreprise dont le président a été jusqu'à menacer d'annuler la commande, pour 2 milliards de dollars, de dix Airbus, s'il ne recevait pas du constructeur européen un soutien médiatique et moral. Dans une tribune publiée dans Le Monde, Michel Pezet, un des avocats de l'Association des victimes, s'interrogeait sur les conséquences de "ces menaces commerciales brandies par la compagnie" tout en déplorant qu'à l'inverse "du silence des pouvoirs publics" dans cette affaire, Air France se soit montrée "extrêmement diligente dans la prise en charge des victimes du vol Rio-Paris" survenu quelques jours plus tôt.


Une version démentie par Christine Robichon, l'ambassadrice française chargée des relations avec les familles des victimes, qui évoque "une bonne coopération" entre les pays concernés. Reste qu'à ce jour, aucun corps n'a encore été identifié. Ce qui rend le travail de deuil "impossible" selon Mohamed M'Sadie. D'autant plus que les certificats de décès, pièces administratives essentielles, ont tardé à être délivrés aux familles. Dont certaines, même, n'ont toujours rien reçu. Une lenteur qui a amplifié le sentiment d'abandon ressenti par la communauté.


Yemenia reviendra-t-elle ?


Non… La mobilisation massive de la communauté comorienne, qui avait empêché un vol de Yemenia de décoller de Marignane quelques jours après le drame, semble avoir porté ses fruits. "Nous préférons ne pas avoir Yemenia ici plutôt que de susciter la colère d'une population qui compte et dont nous respectons l'indignation", a tranché la direction de l'aéroport.


Une autre compagnie va-t-elle arriver ?


De bonne source, on avance que des négociations sont "avancées avec une société très sérieuse". Le contrat devrait être signé début septembre. Et les premiers vols directs pour Moroni, débuté vers fin octobre. Une bonne nouvelle relative pour la communauté comorienne de Marseille. Elle qui, à l'image de Stéphane Salord, continue d'en appeler à un "traité de coopération aérienne entre la France et les Comores" afin de garantir des liaisons sécurisées. Et qu'enfin, dixit Mohamed M'Saidie, "on puisse dire toute cette souffrance n'a pas été inutile"…


Laurent d'Ancona

 

Comme un avion dans la mer

Le 30/08/2009

 

Cela n’aura échappé à personne, un avion A310 de la compagnie Yemenia (Yémen Airways) s’est crashé en mer au large des Comores dans la nuit du lundi 30 Juin. Avec 145 passagers à bord et 11 membres d’équipage. L’on parle alors beaucoup de la compagnie aérienne et du mauvais état d’entretien de ses avions affectés au trajet Sanaa/Moroni qui serait à l’origine du crash.


A noter que le manque de sécurité de cet avion avait déjà été souligné en 2007 par les autorités aériennes françaises et l’avion n’avait alors pas été autorisé à décoller de Marseille avec ses passagers à bord. Cependant cette fois ci, l’avion a bien décollé : c’est que le marché juteux qui se développe en périphérie de l’immigration légale comme illégale ne connaît pas de trêve.


Cette collaboration de l’Etat au business de l’immigration ne fait finalement que montrer un peu plus que son objectif n’est en rien d’expulser l’intégralité de cette main-d’œuvre clandestine dont l’exploitation représente une manne financière que l’Etat ne voudrait voir se tarir.


En effet, aux cotés du racket économique imposé aux immigrés d’entreprises comme Western Union, des taxiphones, agences d’intérim et autres mafieux légaux et illégaux, ces avions poubelles ne sont que l’éphémère face rendue « publique » de ce racket constant. Si des centaines de Comoriens de Marseille ont déboulé les jours suivant le crash à l’aéroport de Marignane (Bouches-du-Rhône) pour bloquer manu militari les vols vers Moroni, si d’autres ont choisis de défoncer deux agences de voyages Tourcom à Marseille, c’est qu’il s’agissait là de la goutte d’eau qui ne pouvait plus passer.


Plus l’on est exploité, plus il est facile d’être exploité. La spirale de la misère occasionnée par une importation massive de main-d’œuvre bon marché et peu qualifiée reproduira toujours plus de misère, encore et encore. Un vieil auteur disait que nous avions demandé de la main-d’œuvre, mais qu’à la place, nous n’avions eu que des humains.


Saboter la machine à expulser, c’est aussi rappeler aux buisiness-men et buisiness-women de l’immigration que leur fric n’achètera pas la colère de ceux sur qui le chantage est une évidence sociale. Leurs adresses et leurs noms nous agressent au coin de toutes les rues.


Alors, que le dégoût se matérialise et s’abatte sur eux, Comme un avion dans la mer.

 

Les boîtes noires de l'Airbus A310 ont été repérées

Le 30/08/2009

Les boîtes noires de l'Airbus A310 de la Yemenia
Les boîtes noires de l'Airbus A310 de la Yemenia 

Les boîtes noires de l'Airbus A310 de la Yemenia qui s'était abîmé le 30 juin près des Comores, faisant 152 morts, ont été repérées, a annoncé la commission d'enquête comorienne vendredi. Le navire français "EDT ARES", équipé d'un robot télécommandé, a commencé ses travaux dans la zone où l'appareil a coulé.


 

Les boîtes noires se trouvent à près de 1200 mètres de fond. L'avion transportait 153 personnes, dont 66 Français. Seule une jeune fille de 12 ans a survécu. Le vol reliait Sanaa, au Yemen, à Moroni, aux Comores, mais nombre de passagers avaient précédemment embarqué à Paris et Marseille.


 

                                                                                (SWISS TXT)

 

Mayotte une Ile comoro-africaine.

Le 30/08/2009

 

Malgré l’obstination de Sambi et son ministre des relations extérieures, de retirer le différend franco-comorien sur l’île de Mayotte à l’ordre de l’assemblée générale de l’ONU. Nous citoyens comoriens et organisations patriotiques qui luttent pour l’intégrité territoriale et notre dignité en tant que peuple d’une nation souveraine devons persévérer.


En effet le président dit prôner une concertation avec la France en vue d’une « Location de l’ile de Mayotte ». Seulement en préambule à tout accord de bail il faut définir le PROPRIETAIRE de ce qui est proposé en location.


Apparemment notre président comme d’habitude surestime ses talents de démagogue ou il mésestime en tout point ses concitoyens.


Tous le monde sait que ça fait 34 ans que la France fait la sourde oreille aux injonctions des organisations internationaux de déguerpir de l’ile comorienne de Mayotte et qu’envers les comoriens des autres îles il affiche un mépris voire volonté d’extermination ne serait ce que pas les noyades des passagers des kwassa kwassa a destination de Mayotte.


Pourtant en Mai 2008 quand notre pays avait pris ses responsabilités, en refusant d’accueillir les “déplacés” de Mayotte par une simple note au transporteur aérien et maritime. Le gouvernement français s’est trouvé le dos au mur, sans aucune parade. Ce qui prouve qu’une solution satisfaisante à la partie comorienne de Mayotte et ceux des autres îles est envisageable.


La France sait qu’il se trouve dans l’illégalité en y restant dans l’ile comorienne et africaine de Mayotte. Mais elle continue son occupation car elle croit toujours briser toute résistance par la corruption des dirigeants et le spectre de « l’ethnicisme » entre les iles. Comme au bon vieux temps des conquêtes coloniales.


Egalement lors du débarquement a Anjouan dernièrement au vu du bloc formé par la Tanzanie, le soudan, la Libye par Union Africaine. Les faux vrais mercenaires français en réserve à Mayotte n’ont pas osé intervenir directement pour aider les séparatistes contrairement au premier débarquement en 1987 sous le régime de Feu Mohamed Taki paix sur son âme. Ils se sont contentés d’une mascarade d’appui logistique pour être en mesure d’évacuer l’agent Mohamed Bacar traitre à la nation Comorienne.


Aujourd’hui Les raisons du président Sambi et son ministre des affaires étrangères d’imposer le black out à propos de la question de Mayotte au prochain sommet de L’ONU sont occultes, peut être inavouables.


Et à Anjouan en ce moment un retraité de l’armée française, qui est aujourd’hui employé par la France encore entre en action pour réveiller les vieux démons de la séparation.


Les méthodes qu’utilisent Le colon au Comores sont les mêmes que ceux utilisé, au Rwanda, au Kivou et ailleurs en Afrique. Mais à l’heure du village planétaire les choses doivent changer, certes le combat ne sera pas aisé car les fondements même de nos économies comme la monnaie et les frontières artificielles sont minés à la base. Mais quelque soit le prix à payer nous devons arrêter de nous laisser manipuler car c’est notre identité en tant que homme et notre place dans l’humanité tout en entière qui est en jeu.


 

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