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Comores Telecom et ses obsèques

Le 18/09/2009

Le vice-président Idi Nadhoim
Le vice-président Idi Nadhoim 

Comores Telecom est assassinée. Les coupables sont identifiés et il s’agit de Idi Nadhoim et Bachar Kiwan. L’arme du crime est cachée sous les robes noires des trois magistrats corrompus, notamment le procureur de la République, le petit Azad, le procureur général, Nidhoim Attoumane et la présidente du tribunal, Mme Tasmine. Et cette arme s’appelle « de l’argent sal » à blanchir entre bandes de petits copains. Deux complices de taille sont aussi vite canalisés, et sont le président Sambi et le patron de ladite société, le puissant Charkane Bourhane.


Les funérailles se tiendront jeudi 17 septembre dans la ville de Chindini au sud de la Grande Comore. Une ville qui a toujours marqué son désamour avec le vice-président Idi mais pour se faire une peeau neuve, Idi et Bachar l’ont choisie pour la première pause d’un port secondaire fantôme qui dissimule la mort de France Telecom.


Tout le monde est y convié à ces obsèques y compris la Communauté Internationale. Pendant que les cadres de Comores Telecom sont montés au créneau pour dénoncer cet assassinat et leurs auteurs, Bachar et Idi ont profité de la fragilité des comoriens en ce mois de ramadan pour distribuer les dollars de la citoyenneté économique aux notables comoriens pour qu’ils honorent de leur présence ces funérailles. C’est le notable Ismail Abdou alias Fabien accompagné d’un ami proche du président de la Cour constitutionnelle qui effectuent cette tournée dans les villages.

 

L’opération est simple, tenter une autre stratégie pour prolonger le mandat de Sambi pendant que toutes les portes sont fermées et que l’espoir de s’éterniser au pouvoir est maigre.

 

En attendant un autre assassinat la messe continue chez les Bacharinistes mais le soleil finira par se coucher un jour.

 

http://www.maloudja.over-blog.net

 

La saison des amours est difficile chez les Sambillah

Le 10/09/2009

Miftah Ali Bamba, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Idi Nadhoim
Miftah Ali Bamba, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Idi Nadhoim 

Les histoires amoureuses sont décidément très compliquées dans la famille Sambillah (les résistants du Mollah Sambi). Entre ruptures et réconciliations, on ne sait plus vraiment où donner de la tête.

 

Commençons d'abord par Idi Nadhoim, le plus connu de tous. Rappelez-vous il y a quelques mois, le gaillard entrepreneur se disputait avec son supérieur, l’Ayatollah non-Khomeiny des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, après un long périple d'un amour sans nuage. Au mois d’Août dernier, Le vice-président Idi, lui, se voit déchargé du département des Transports ; une rétrogradation qui a le goût d’une pénalisation. Le président Sambi accède là, parait-il, à une des principales revendications du Collectif des familles des victimes du crash de l’A-310 qui, lors d’une manifestation à Moroni, avaient demandé la tête du ministre des Transports. Un homme sans loyauté ni véracité. Eh bien aux dernières nouvelles, il y aurait de la réconciliation dans l'air. Le couple, aurait passé le week-end ensemble à la toute nouvelle maison présidentielle au sud de Moroni.

 

D'après des proches : « Idi est un têtu, il doit rester le plus longtemps possible aux côtés de Sambi pour pouvoir terminer ce qu’il a commencé. Prendre sa part du gâteau, ruiné les couloirs restants et préparer un bon costume pour reprendre ses entreprises après mai 2010 ! Il fera tout ». Serait-il en train de se laisser convaincre par les suppliques du fou furieux Idi qui veut absolument une autre chance ? La réconciliation a l'air en tout cas bien engagée...

 


Autre mec de la famille et autres problèmes avec Miftah Ali Bamba. Petite piqûre de rappel pour ceux qui ont la mémoire courte : le vénérant Miftah a annoncé quelques jours avant le dernier réaménagement technique du gouvernement Sambi, qu’il démissionne de ses fonctions, de Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, de l’Administration Pénitentiaire et des Affaires Islamiques. Déclarée par la presse locale comme une démission spectaculaire !

 

Reconquête oblige, les amis du foyer FNJ ont renoué il y a quelques jours. Entre Amour, Gloire et Beauté. Un retour de flammes qui ne fait pas particulièrement plaisir à la famille Sambillah, les Moegné Dossar, Moegné Djaffar, Boina Okacha, … En effet, l’ancien patron de la justice est perçu comme quelqu'un de très immature et d'infidèle et il aurait déjà fait beaucoup souffrir le clan. Un clan qui, au fond prépare déjà leurs bagages ! 

 

La famille s'inquiète donc beaucoup, surtout pour le Mollah, qui semble déjà fatigué mentalement. Les problèmes qui s’amplifient de jours en jours. Le souhait des institutions financières internationales qui l’accablent, la misère, le chômage, la famine des comoriens, les préparatifs pour l’organisation des élections législatives qui doivent se tenir d’ici la fin de l’année, à vrai dire, ça ne va pas du tout !

 

Le cercle familier a vraiment peur que la renaissance d’une grâce à Miftah pourrait mettre en péril certaines choses confidentielles. Le comportement de cet homme ne plait à personne. Il se murmure même que le clan ferait pression sur le Mollah pour qu'il rompe définitivement avec lui.

 


Rien n'est vraiment facile chez les Sambillah ...


Charif Ben Abdallah

 

20 000 euros et Fermez vos gueules ! Ok ?

Le 09/09/2009

Stéphane Salord, le consul des Comores à Marseille
Stéphane Salord, le consul des Comores à Marseille 
Les familles des victimes du crash de l’A310 recevront une « première indemnisation provisoire sous forme d’avance » précise le site internet Malango. L’annonce émane de la cellule de suivi du crash mise en place par l’ambassade de l’Union des Comores en France.

« Conformément aux conventions internationales, les assureurs de la Compagnie Yemenia Airways ont décidé de verser aux familles des victimes du Crash de l’Airbus A 310, une indemnisation provisoire, sous forme d’avance, d’un montant de 20 000 euros pour chacun des passagers à bord du vol IY626 », indique le communiqué de l’ambassade des Comores à Paris.


Quelques jours après l’accident au large de Grande Comore, la compagnie yéménite avait déjà proposé une indemnisation de 20,000 euros par famille. Cette proposition avait été qualifiée « d’indécente » par un des avocats comoriens des familles des victimes.


Clash ! Un témoignage de taille vient de critiquer sévèrement l’affaire. Stéphane Salord, le consul des Comores à Marseille, ne décolère pas contre la compagnie Yemenia. 


Le consul accuse les responsables de Yemenia de très mal agir depuis le début le crash. "La compagnie n'a jamais réellement voulu collaborer" avec les autorités du Comores et "fait preuve d'une absence totale d'humanité", se plaint Stéphane Salord qui affirme que les ponts sont rompus entre le consulat et Yemenia.

 

                                                                                                   Z. Ziad/AK

 

Quand la passion de devenir ministre impose des sacrifices

Le 05/09/2009

Prince Fahami Saïd Ibrahim, Président du PEC
Prince Fahami Saïd Ibrahim, Président du PEC 

Après avoir sacrifié son petit frère, Mourad Saïd Ibrahim, « nommé » ambassadeur des Comores à Madagascar avec résidence à Zilimadjou (Moroni), le petit prince Fahami, président du Pec, continue de cogner les siens.


Ceux qui connaissent notre avocat savent combien ses frères et neveux veulent sa tête après avoir continué à les blesser dans leur propre orgueil par ses pratiques hors normes et qui ne répondent pas à notre étique.

 

Mais cette fois ci, « Maître » comme l’appellent ses victimes du palais de justice de Moroni est allé trop loin, car sa nouvelle victime est sa propre femme pourvu qu’il soit nommé ministre des affaires étrangères, ne serait ce que 48 heures avant la fin du feuilleton Sambi. Tout le monde sait que Madame Fahami est chargée par la cellule de la sécurité intérieure sous les ordres de Abou Achrafi à mettre tous les indésirables du régime Sambi sous écoute téléphonique. Un travail qui rapporte beaucoup à l’intéressée même si l’objectif principal n’est pas atteint notamment la nomination du petit prince au poste de Ministre des relations extérieures.

 

Craignant les foudres de l’histoire, les protégés du petit prince commencent à quitter discrètement le navire et le capitaine est panique. Bénéficiant tous les largesses du butin de la citoyenneté économique, les lieutenants de Fahami préfèrent ne pas cogner sur la table pour qu’on ne leur demande pas de rembourser les quelques miettes qu’ils ont reçues de leur chef.

 

Même scénario que celui des deux députés qui, voulant trop manger se trouvent aujourd’hui abandonnés et laissés sur le trottoir. Il s’agit du député Sidi et Mondoha alias Ndjizi, qui, l’histoire les guette après avoir trahi les leurs en accompagnant la sale opération orchestrée par Sambi sur la vente de notre citoyenneté, avec contre partie, des ordinateurs portables, des séjours dans le Golfe, quelques millions de francs comoriens.

 

Comme les traîtres ne tardent jamais à payer leur traîtrise,  les deux députés avec « d » minis cule viennent de prendre de gifles. Le premier est roulé dans la farine après avoir été trahi au poste de directeur des hydrocarbures et pas plus qu’hier, candidat au poste de directeur général d’Al-watwan, il a vu ce poste s’envoler vers l’autre côté de sa propre région, le Mbadjini. Quant au second, il attend toujours sa nomination au poste d’ambassadeur des Comores auprès de l’Union africaine. Comme disait Dossar, je cite « votre ami Ndjizi attendra longtemps, et je lui conseille de se lancer dans la bataille des législatives ».



Pire encore notre député s’est vu refusé son intégration aux Affaires étrangères, son corps d’origine, même si les proches du ministre, Moegné Ahmed Jaffar, disent eux aussi que Ndjizi est un simple instituteur et sa place est à l’école primaire. Une insulte pour cet opportuniste qui, sous le dos de son mentor Ali Bazi a vite gravé tous les échelons. Mais bref, le clan Sambi a fini par comprendre que, « celui qui a trahi aujourd’hui, trahira toujours » et tant pis pour les deux députés traîtres.

 


De passage à Moroni après avoir tiré de bas un élu de la République, l’ambassadeur Mohamed Toihir a consommé son divorce avec son ami de Bordeaux. Lavé. Le second accuse le premier de lui sacrifier avec des promesses sans lendemain. Mais ceux qui connaissent la naïveté de Sidi ne seront pas surpris car l’homme est sans convictions.

 

En attendant la nomination de Fahami au poste de ministre des affaires étrangères, Ndjizi au poste d’ambassadeur, Sidi aux hydrocarbures, les poules auront bien sûr de dents.


                                                                                             Mroudjaé Charfaoui

                                                                          Consultant Indépendant

 

Les Comores sont-elles complices d’un génocide déguisé ?

Le 05/09/2009

 
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 2009, un énième kwassa (bateau de fortune) fait naufrage entre Anjouan et Mayotte. Comme d’habitude, le bilan fait état de : x morts, y disparus et z rescapés. Comme à son habitude, l’Etat Comorien reste silencieux face à ce drame humain et devient complice par son indifférence et son silence, de ce génocide déguisé en lutte contre l’immigration clandestine en France.

Dans la nuit 3 au 4 décembre 2007, une collision entre un kwassa et une vedette de la police française, avait fait plusieurs morts. La plupart des rescapés assuraient que la vedette avait volontairement renversé leur kwassa. La CNDS recommandait “instamment” de ne “plus recourir à des méthodes, qui aboutissent à la mise en danger d’êtres humains (…) dans des conditions susceptibles de caractériser le délit d’homicide involontaire. Les Comores n’ont pas bronché. Depuis l’instauration du visa « Balladur » en 1995, appelé « visa de la mort » plus de 7000 comoriens ce qui correspond environ à 700 000 français, ont péri dans le bras de mer séparant Mayotte, d’Anjouan sous le silence de la communauté internationale.


Cette communauté qui a admis justement les Comores en leur sein, comme pays composé de quatre îles (Grande-Comore ; Mohéli ; Anjouan et Mayotte). Dans sa résolution 3385 (XXX) l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies ayant reçu la communication du Conseil de sécurité, en date du 17 octobre 1975, recommandant l’admission des Comores à l’Organisation des Nations Unies, ayant examiné la demande d’admission des Comores, réaffirmant la nécessité de respecter l’unité et l’intégrité territoriale de l’archipel des Comores, composé des îles d’Anjouan, de la Grande-Comore, de Mayotte et de Mohéli, comme le soulignent la résolution 3291 (XXIX) du 13 décembre 1974 et d’autres résolutions de l’Assemblée générale, décide d’admettre les Comores à l’Organisation des Nations Unies. En droit comorien et en droit international, tout comorien est chez lui à Mayotte.


En expulsant le comorien de Mayotte, la France se rend coupable de crime contre l’humanité, car tout comorien expulsé de Mayotte, prendra tous les risques pour y retourner afin de rejoindre ses proches. Un comorien qui a ses attaches familiales et matérielles à Mayotte ne peut pas rester dans une autre île. Un passager d’un kwassa m’avait dit : « Si je reste à Anjouan, c’est la mort. Si je prends le kwassa pour Mayotte je risque de mourir, donc je le prends. » En refusant (et c’est tout à fait légitime sauf si c’est le droit français qui est applicable aux Comores ) d’accueillir ces pseudo-clandestins, l’Etat comorien sauvera beaucoup de vies humaines. C’est le seul moyen d’enrayer cette hécatombe et amener en même temps la France à des négociations sereines pour le retour de Mayotte dans son ensemble naturel.


Une nouvelle protestation devant l’assemblée des Nations unies, une éventuelle rituelle condamnation des nations unies ne changeront rien. Les Comores de Sambi auront-elles l’audace de le faire ? Je suis sûr et certain que le refus d’accueillir les refoulés de Mayotte réduira de manière significative le nombre de morts comoriens entre Mayotte et Anjouan. La plupart de ceux qui tentent d’entrer à Mayotte par un Kwassa, sont les refoulés de Mayotte.


A chaque fois que les Comores accueillent les déplacés de Mayotte, elles contribuent au génocide de son peuple. Expliquez-moi, sinon pourquoi les Comores ne peuvent-elles pas refuser ces faux clandestins.


Ibrahim Hachim (Etudiant en droit international)

 

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