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Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

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Elections 2016 : Listes des prétendants à la magistrature suprême

Le 23/12/2015

Prince Said Ali Kémal Mohamed Ali Soilihi Hachim Said Hassane Docteur Mtara Maecha Colonel Azali Assoumani

Prince Said Ali Kémal
Prince Said Ali Kémal 

La date butoir des dépôts de candidatures était fixée à hier, lundi à 23h59. En cette date, la cour constitutionnelle a enregistré 28 candidats à la course à l’élection présidentielle de l’Union des Comores. Voici la liste exhaustive de ces candidats pour les présidentielles :

 

Ahmed Abdallah Sambi (Juwa), 
Azali Assoumani (CRC), 
Mouigni Baraka Said Soilihi (RDC), 
Assoumany Aboudou (Urango), 
Mohamed Ali Soilihi (UPDC), 
Abdouloihabi Mohamed (APSI), 
Youssouf Said Msahazi (indépendant), 
Said Hachim Achiraffi (CADIM.), 
Allaoui Said Hamidou (Ulezi), 
Salimou Mohamed Amiri (indépendant), 
Nassor Mohamed Ali (indépendant), 
Mohamed Daoudou-Kiki (Orange), 
Said Ibrahim Fahmi (indépendant) 
Cheikh Ahmed Said (MDC), 
Larifou Said (RIDJA), 
Bourhane Hamidou (indépendant), 
Mohamed Mohamed Ali Dia (Komor ya leo na meso). 
Maecha Mtara (RND rénovateur), 
Said Ali Kemal Ed-dine (Chuma), 
Hassane Said Harouna (UNDC), 
Moinaecha Youssouf Djalali, (indépendante).
Salim Saadi (indépendant)
Mohamed Ahmed Wadaane (Rifaid Comores)
Mohamed Issimaila (Indépendant)
Ibrahim Hissani Mfoihaya (Afpc)
Said Ahmed Said Ali (Yzima)
Mzé Abdou Soulé Elback (Psdp Dudja)
Said Hassane Hachim (indépendant)

 

T. Maecha
La Gazette des Comores

 

Les biens de Bashar Kiwan dans le viseur

Le 23/03/2014

Le PDG de Comoro Golf Holding, Bashar Kiwan
Le PDG de Comoro Golf Holding, Bashar Kiwan 
Le magnat émirati Talal Al-Khoury pensait que sa victoire judiciaire sur Bachar Kiwan à Abu Dhabi lui donnait la propriété de l'Itsandra Beach. Mais il n'en est rien.

Les représentants, quatre italiens et un avocat égyptien, dépêchés par le magnat Talal Al-Khoury à Moroni la semaine passée, avaient l'idée de prendre en main l'hôtel Itsandra Beach (LOI nº1375). Selon une source du ministère comorien des transports et du tourisme proche du dossier, ils pensaient que l'hôtel était la propriété de Comoro Gulf Holding (CGH) de Bashar Kiwan. Et qu'il revenait donc à Talal Al-Khoury en exécution du jugement prononcé par la justice d'Abu Dhabi octroyant à ce dernier 75% des biens de Bashar Kiwan aux Comores.

Les autorités ont dû leur préciser qu'en fait l'hôtel était la propriété exclusive de l'Etat comorien, que Kiwan n'en était que le gestionnaire et que l'exequatur du jugement d'Abu Dhabi portait uniquement sur les investissements réalisés aux Comores dans le 
cadre d'un contrat signé en 2007.

Au terme de deux rencontres entre les représentants d'Al-Khoury et les autorités comoriennes, une commission mixte a été constituée pour procéder à l'évaluation des investissements réalisés par CGH à Itsandra Beach. Une seconde phase de négociations portera sur les conditions contractuelles d'une éventuelle gestion de l'hôtel par Al-Khoury.

Mais ces subtilités juridiques sont passées au-dessus de la tête d'une partie de la délégation d'Al-Khoury, toujours présente à Moroni cette semaine. Un de ses membres, cuisinier de profession, a pris immédiatement possession de la cuisine de l'hôtel pour se mettre aux fourneaux. Le gérant provisoire de l'établissement, Rachid Mohamed, a dû faire preuve de tact pour tempérer ses ardeurs et lui faire comprendre qu'Al-Khoury n'avait pas encore pris les rênes de l'Itsandra Beach.

 

Alhadhur : «Comorien, une grande fierté»

Le 23/03/2014

Chakir Alhadur L'équipe nationale des Comores, Les Cœlacanthes

Chakir Alhadur
Chakir Alhadur 
Auteur d'une prestation très encourageante pour sa première sélection avec les Comores (1-1), Chaker Alhadhur, le latéral gauche du FC Nantes, s'explique sur son choix.
 
«Chaker, vous êtes depuis peu international comorien. Parlez-nous de cette nouvelle aventure…

J’y pensais un peu, mais ce n’était pas ma priorité. L’objectif, c’était de jouer avec Nantes. L’équipe de France, je n’y pensais pas trop. Et puis, jusqu’à aujourd’hui, je ne suis allé qu’une fois au pays, en 1998.

Comment s’est passé le premier contact avec votre sélectionneur, Amir Abdou ?

Dès le premier appel, il m’a expliqué qu’une nouvelle ère commençait et que la Fédération mettait plus de moyens. Il voulait rassembler tous les joueurs. J’ai demandé à réfléchir. J’en ai parlé à mes parents, qui y étaient plutôt favorables. Ma première inquiétude, c’était l’organisation, d’autant que je sais qu’avant ce n’était pas top ! Aujourd’hui, le staff dispose de vrais moyens.
 
Aujourd’hui, vous êtes international et avez fêté votre première cape contre le Burkina Faso (1-1). Quel est votre sentiment ?

C’est une grande fierté. On essaie de bâtir quelque chose et ça a commencé avec ce match contre le vice-champion d’Afrique. Le groupe a bien vécu ensemble, ça rigolait bien à table. C’est important. Je connaissais quelques gars comme Halifa Soulé, qui est passé par le centre de formation de Nantes, et puis Kassim Abdallah (Evian-TG, ex-OM).
 
Qu’attendiez-vous du match de Martigues, qui a permis de découvrir une sélection très joueuse et pétrie de talent ?

C’était plus qu’un match amical. Cela a contribué à faire parler de nous. Beaucoup de gens pensaient avant ça qu’on n’avait pas d’équipe nationale. On a prouvé le contraire.
 
On a le sentiment que votre arrivée et celle d’autres pros annonce une relance de votre sélection, qui n’a pas vraiment d’expérience…

Pourquoi est-ce qu’on n’a pas fait tout ça avant ? Il n’est jamais trop tard pour faire grandir un pays sur le plan du football.
 
Justement, vous connaîtrez bientôt votre adversaire en éliminatoire de la CAN 2015, ce qui constituera le début de l’aventure pour la nouvelle génération des Coelacanthes des Comores. Impatient d’être à Moroni ?

Ce sera en mai, alors j’espère ! Il y a un gros engouement chez nous pour la sélection.»

FRANK SIMON, à Plan-de-Cuques
Francefootball

 

La Crimée aujourd’hui, comme Mayotte hier !

Le 21/03/2014

Le Président russe, Vladimir Poutine
Le Président russe, Vladimir Poutine 
Depuis quelques semaines, les caméras du monde entier ont détourné leurs objectifs du Mali et de la Centrafrique pour les braquer sur un seul pays l’Ukraine, pardon la Crimée. Vue d’Afrique, la Crimée est une contrée perdue du bout du monde que peu de nos dirigeants, pour ne rien dire du citoyen Lambda d’Afrique peuvent situer sur la carte du monde.

Or c’est à Yalta, petite ville de Crimée au bord de la Mer Noire, que les grands de ce monde ont dessiné en fin 1945 la nouvelle carte du monde qui a précédé ce qu’on a appelé pudiquement la guerre froide. Une histoire inscrite au programme des classes terminales de nos lycées et collèges dans les années 60 et 70. Plus d’un demi- siècle après, rebelote pour la Crimée qui occupe aussi tristement les devants de l’actualité politique internationale reléguant au second plan les causes même de la nouvelle crise  à savoir, le coup d’état parlementaire contre le régime pro-russe et corrompu du dictateur Yanukovitch en Ukraine. Ces deux dernières semaines en effet, tous les médias de notre planète ne parlent que de la Crimée, pas de la manière dont les successeurs de Yanukovitch gèrent l’Ukraine mais des exactions supposées des milices pro russes et du référendum annoncé comme gagné d’avance par la Russie. Cette dernière est perçue comme une puissance impérialiste accusée de vouloir renouer avec les pratiques dites éculées de la guerre froide. Nous sommes inondés d’ images chocs contradictoires des manifestations de protestation des Ukrainiens et des scènes de liesse populaire des milices soit disant manipulées par Vladimir Poutine, présenté par les médias internationaux comme le nouveau Tsar de toutes les Russies.


Les puissances occidentales manient avec Poutine successivement le bâton de la menace des sanctions et la carotte d’une entente cordiale avec prise en compte de ses intérêts. La Russie, consciente des nouveaux rapports de forcedans le monde, ne veut pas laisser la seule Amérique régenter la planète- terre et entend visiblement retrouver la toute puissance de l’ex Urss, ne serait-ce que par l’encouragement d’un irrédentisme pan-russe. Elle sait que des pays de l’Union européenne comme la grande et puissante Allemagne dépendent d’elle, pour le gaz exporté via l’Ukraine. L’Union européenne quant à elle veut tout et son contraire : regrouper dans une vaste Union de l’Atlantique à l’Oural tous les peuples de culture européenne -avec ou sans la Turquie musulmane- pour devenir la grande puissance capable de rivaliser autant avec la Russie qu’avec l’Amérique.

C’est l’Union Européenne qui a fait dans la provocation de la Russie en encourageant les « pseudos démocrates » ukrainiens ex alliés de Yanukovitch, à refuser l’offre financière de la Russie. L’attrait de l’Union européenne, de son euro fort et du pouvoir d’achat qui en découle a fait le reste. D’un autre côté, l’Amérique n’était pas en reste. Les leaders de l’opposition républicaine comme John Mc Cain, ancien candidat ont fait le voyage de Kiev, la capitale ukrainienne, pour soutenir les manifestants pro- européens. Parce que l’Amérique affaiblie par les guerres d’Iran, d’Irak et d’Afghanistan est tiraillée entre la volonté de se désengager des conflits dispendieux pour son économie rattrapée par la Chine et la volonté de demeurer la seule puissance mondiale.

Il n’y a guère que l’Afrique qui continue d’être en

marge du monde, le seul continent où toutes les autres puissances peuvent intervenir impunément à sa propre demande souvent, sans soulever aucune indignation de par le monde. Au contraire, au moment même où la Russie est épinglée comme une puissance en quête de territoire étranger à annexer, la France a acquis le statut de puissance protectrice de l’Afrique dont les fils sont incapables d’organiser une riposte appropriée contre une bande de terroristes déguenillés dont la seule force vient des armes abandonnées par les troupes de Kadhafi défaites et mises en déroute par les Occidentaux. L’Afrique est tellement affaiblie et si inconsciente de sa force qu’elle est incapable de comprendre que la pièce de théâtre qui se joue en Crimée s’est déjà jouée chez elle-même en toute ignorance et en toute impunité aux Comores avec l’annexion by force par la France à la fin des années 70, pas si loin que ça, de l’île de Mayotte .Mayotte devenue depuis, un département français peuplé de populations noires de même langue et de même religion que celles des Comores. 

L’enjeu pour la Russie d’aujourd’hui comme pour la France d’hier est le même : la présence permanente et stratégique dans l’Océan Indien pour la France et dans la Mer Noire avec débouché sur la Méditerranée pour la Russie.

Cependant, la Russie peut se prévaloir de deux avantages que la France n’a pas aux Comores : le premier et de loin le plus important est que La Crimée était une possession soviétique cédée dans les années 50 à l’Ukraine par Kroutchev. En contrepartie de quoi, la Russie y conserve une importante flotte navale depuis lors .Deuxième avantage certain : la Crimée est peuplée à hauteur de 60% par des populations d’origine russe. On ne peut pas en dire autant de Mayotte peuplée majoritairement , sinon exclusivement de Noirs musulmans contraints de devenir français, pour ne pas subir le sort peu enviable de leurs frères de sang comoriens. L’élévation de la France au statut de grande puissance vaut le sacrifice d’une « immigration » librement consentie et solidement contenue et jamais remise en cause par l’ensemble de la classe politique hexagonale.


Par Vincent FOLY
La Nouvelle Tribune Monde 

 

Votre blog reprend du service

Le 05/03/2014

Blog Bangwenet
Blog Bangwenet 

Nous revoilà ! Depuis le 03/08/13, votre blog Bangwenet s'était accordé quelques mois de vacances après sept ans de dur labeur (ce blog fonctionne depuis 2007). Ce temps de vacances était nécessaire, voire primordiale ; le temps de déstresser et de recharger les batteries avant une nouvelle aventure que nous espérons encore plus intense.


On a pu constater, durant cet intermède, combien de services ce blog rend à des milliers de compatriotes (pour la plupart installés à l’étranger), en quête d’un espace d’information crédible sur les Comores. A Moroni, la capitale des Comores, de nombreuses connaissances nous ont plusieurs fois interpellé sur les raisons de notre silence. Il est vrai qu'on aurait dû vous prévenir de cette ‘‘fugue’’, mais nous espérons que vous ne nous en tiendrez pas rigueur.

Nous profitons de ce retour pour adresser nos vifs remerciements à tous les visiteurs, réguliers ou occasionnels, du blog bangwenet.blogs.fr/ A partir de cette semaine, vous ne serez pas déçus de faire un petit détour par ici.

 

Des informations de première main que vous ne trouverez nulle part ailleurs, vous seront livrées en temps réel et à jets continus. Nous ne manquerons pas non plus de pousser nos cris de gueule comme on le faisait habituellement si les principes républicains sont bafoués.


Chers visiteurs, on vous invite, enfin, à nous faire parvenir vos points de vue sur la situation politico- économique des Comores et à enrichir, par vos contributions pertinentes, le débat sur l’avenir tout court de notre pays. Courriel : bangwenet@yahoo.fr

Vive dignement les Comores !

Bangwenet

 

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