blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comor

Bangwenet est un espace libre, un blog d’informations comoriennes. Il est fondé en décembre 2006 par des blogueurs comoriens de plusieurs horizons. ============== Email (Envoyez vos articles ): bangwenet@yahoo.fr

Blog dans la catégorie :
Actualités

 

Annonce vocale

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

BANGWE.NET : «Découvrez l'info de nos Bangwé»

Pourquoi notre plus grand '' sauveur " a-t-il échoué ?

Le 07/11/2009

Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi
Le président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi 
Harcelé médiatiquement, le président de la République n'entend pas jeter l'éponge. Il persiste et signe, '' le 17 mai 2009, le peuple a adopté une Constitution qui rallonge mon mandat de quatre à cinq ans, une thèse confirmée par son directeur de Cabinet et numéro deux du pouvoir. Et à une période où les avis divergent quant à cette volonté délibérée du président Sambi visant à prolonger son mandat à moins de six mois de la fin, il est quasi normal qu'on se demande pourquoi celui qui prétendait ''incarner'' l'espoir de tout un peuple joue les prolongations et pousse Moheli à la rébellion. C'est une démarche à haut risque qui nous impose tous la lucidité et la vigilance. C'est une alerte précoce et une prévention car l'avenir semble incertain.

On se rappelle qu'à la veille de sa victoire écrasante, Sambi déclarait :'' quatre ans, c'est beaucoup pour un président qui sera élu sous la base d'un programme prometteur. Tel est mon cas. Par contre, c'est beaucoup pour un président '' nul'' qui n'a rien à proposer à son peuple pour le sortir de son marasme économique''. Et cerise sur le gâteau, à la question sur la modification de la Constitution, le président, déclare, je cite : '' je jure sur le Coran et la main sur la poitrine que je ne verserai aucune énergie pour changer une Constitution qui nous garantit la paix et la stabilité''.Fin de citation

A la question de savoir pourquoi le '' sauveur'' a-t-il échoué, c'est l'énigme total. Ayant compris que le peuple comorien aspire au changement après plus de 35 ans d'indépendance , Sambi qui, à travers ses prêches a étudié la nature du Comorien, a réussi à trouver une nouvelle recette pour convaincre les électeurs à le porter à la tête du pays. Et cette recette est composée de la religion et du populisme. Sambi s'est comporté en champion de fabricant de chimères. Mais avions-nous vraiment le choix ?

A son arrivée au pouvoir, Sambi s'est forgé une idée selon laquelle les autres sont à ses yeux, des ratés, des hommes sans foi, des ennemis de la nation, des arrivistes, des malfaiteurs, des voleurs, des incompétents et des égoïstes d'où une haine qui s'est affichée partout à l'égard de ces ''ennemis'' de la nation .Dans un élan populiste bien soigné avec la complicité d'une justice à deux vitesses, Sambi a giflé la classe politique. Malheureusement, la déception n'a pas tardé .

Le président Sambi a réussi un autre coup en déclarant qu'il prendra rarement l'avion et enverra ses ministres au compte goutte des rendez vous internationaux importants. Encore de la poudre aux yeux. Il dispose aujourd'hui d'un permis de pilote.Rentré de son premier voyage officiel, Sambi annonce la restitution à la trésorerie publique du reste de ses perdiems pour prouver son honnêteté. Un point de plus pour le Raïs qui manie ses talents populistes pour tromper la vigilance de tout un peuple.C'est autour de ces deux millions de dollars offerts au Raïs par le Roi d'Arabie Saoudite destinés au projet Habitat que nous nous interrogeons tous aujourd'hui. Où sont –ils passés ? Ceux qui ont voté Sambi dans cet élan, se voyaient déjà installer dans ces maisons fantômes qui ne verront jamais le jour, à moins qu'on accorde au président un an de rallonge.

Plus le temps passe, plus les fonctionnaires, ennemis jurés du président accusent des mois d'arriérés de salaire sans aucune force de défense. Mais dans tout ça, les rêves du Raïs envahissent les places publiques et surtout avec ces belles photos qui embellissent la capitale et ces complexes hôteliers qui poussent comme de champignons sur le territoire national à l'instar de Janat El Kamar, au nord de la Grande Comore. Que des rêves ! La démolition de l'hôtel Galawa n'est que la face cachée du bâtisseur.

Le moment fort de ces rêves sans lendemain est le projet de loi sur la'' Citoyenneté économique''. Pressé de réaliser son rêve, le président a promulgué cette loi sous un faux numéro. Avec plus de 200 millions de dollars pour cette noble transaction, le président n'a trouvé mieux que de créer une société fantôme ,écran et fictive de travaux publics avec ses amis arabes, une manière de justifier l'utilisation des fonds.

A cela s'ajoute la volonté du président et sa détermination au mépris du peuple comorien de '' louer'' Mayotte à la France et d'accepter en même temps de recevoir sur son île à Anjouan, les Comoriens expulsés de Mayotte.

Dans son chantier dont il est le seul architecte, maître d'œuvre, maçon, ouvrier, Sambi fait et défait une Cour Constitutionnelle qui ne fait qu'obéir aux injonctions du Roi avec la bénédiction du palais.

Convaincu que ni les rêves, ni l'acharnement, ni les effets populistes ne peuvent durer ou générer les fruits de la politique générale politicienne d'un chef d'Etat élu confortablement, le président Sambi a fini par croire en l'existence du '' Droit'' pour s'accrocher au pouvoir, mais de quel '' Droit'' ? A vos claviers, messieurs les juristes.

A homme paradoxal, bilan paradoxal. Projet habitat, investisseurs étrangers, justice, argent, chiisme, citoyenneté économique, location de Mayotte à la France... Chaque fois qu'il a pu, le président Sambi a joué sur l'ambiguïté. Et qui donc peut prétendre qu'il fut tout à fait prophète ou tout à fait incube ? Il est attrapé par son propre jugement. Il restera donc le reflet de nos contradictions.

Pour toutes ces raisons, l'homme auquel ces milliers de Comoriens qui ont envahi le stade Ajao avec l'espoir du changement a échoué et, il faut en tirer les conséquences, ne serait ce que pour permettre à ce monde de vivre dans la paix et la stabilité, à défaut de la révolution verte. Et si ces législatives lui offrent une porte de sortie honorable au lieu d'engager un bras de fer sans lendemain ? La réponse est dans les mains de la Communauté Internationale, actrice principale de l'Accord Cadre Cadre de Fomboni.

Sambi a raté une occasion pour se faire inscrire dans l'histoire politique contemporaine, à l'instar de , Frantz Fanon, Nelson Mandela,Martin Luther King, Mahatma Ghandi.

Ali Mohamed TABIBOU

 

Le Ministre Djaffar se trompe de cible

Le 05/11/2009

le Ministre des Relations Extérieures, Ahmed Djaffar est déjà affaibli
le Ministre des Relations Extérieures, Ahmed Djaffar est déjà affaibli 
Dans sa conférence de presse du 12 octobre 2009, le Ministre des Relations Extérieures s'est lancé dans des diatribes insensées contre le Comité Maore. Il nous faut rétablir la vérité.

1- Nous n'avons jamais accusé le Président de « leurrer le pays ». Nous avons indiqué que certains se posaient cette question et nous avions indiqué que ce n'était pas notre option. Il suffit de lire notre déclaration en entier pour en avoir le cœur net.

2- Certains nationalistes purs et durs nous ont taxés de vendus à Sambi après avoir lu la déclaration incriminée par M Jaffar. Ils ne comprennent pas notre adhésion à la thèse un Etat deux administrations.

3- Au lieu de passer du temps à répondre à l'interview de l'ambassadeur de France aux Comores, le Ministre Jaffar, a préféré s'exciter contre le Comité Maore.

3- Nous observons que le Ministre Jaffar s'est longuement appesanti sur les principaux arguments des français pour leur donner de la consistance. Il s'agit en premier de l'argument suivant laquelle les temps ont changé et que la solidarité des pays envers les grandes causes a fait son temps au profit des intérêts de chaque pays. Les faits montrent pourtant que cela est faux. La solidarité envers notre pays est là pour en témoigner. Malheureusement comme on dit « on ne peut pas être plus royaliste que le roi ». Le Mirex, sous M Jaffar, porte à cet égard une lourde responsabilité. L'autre argument français concerne les sentiments des maorais envers leurs frères des autres îles. Et M Jaffar ose nous reprocher de ne pas être présent à Maore. Il y a un Comité Maore à Maore mais il est soumis à une rude répression. Tout le monde connaît l'inébranlable Youssouf Moussa et son combat héroïque. Qu'a fait le Mirex pour le soutenir ? Le Comité Maore a toujours demandé des lignes de crédit dans le budget de l'Etat pour soutenir les patriotes qui sont à Maore. On ne peut pas ne pas être indigné car la situation rappelle celle du « voleur qui accuse l'innocent de voleur »

A l'endroit de l'ambassadeur de France, nous soulignons que la thèse du Président Sambi est celle qui permet un vrai dépassement des contradictions qui existent entre les Comores et la France, c'est elle qui ouvre la voie à un rapprochement réel des frères et sœurs des quatre îles, c'est elle qui conduira à une réconciliation des cœurs, à une transition apaisée et graduelle vers la réunification du pays tandis que celle de M Hallade consacre un état de fait créé et perpétué par la force d'un Etat puissant qui malmène un petit pays.

La thèse du Président Sambi part de la reconnaissance française que nos quatre îles sont sœurs et qu'elles ont donc vocation à se retrouver dans le cadre d'un Etat unique et indivisible. Et le Président Sambi avance une proposition pragmatique, réaliste suivant des étapes qui rapprocheront petit à petit nos quatre îles en butte au séparatisme insulaire, régional voire même villageois.

M Jaffar, ne croyez pas que notre peuple est dupe, ne croyez pas qu'il suffit d'utiliser les médias d'Etat pour que le faux passe pour le vrai. Le Comité Maore, imperturbable poursuivra sa lutte pour apporter une contribution à la lutte imprescriptible et irréductible de notre peuple vers son unité et son développement économique et social.

Comité Maoré Moroni le 13 octobre 2009

 

" Pas de stabilité sans la tournante de Mohéli "

Le 05/11/2009

Saïd Larifou, le leader du parti Ridja
Saïd Larifou, le leader du parti Ridja 
« L'alternance démocratique en mai 2010 est irréversible ». Cette déclaration est de Saïd Larifou, le leader du parti Ridja [Rassemblement pour une initiative de développement avec une jeunesse avertie], lors d'une conférence de presse qu'il a tenu hier matin au siège de son parti. Cette rencontre avec la presse fut l'occasion, pour ce parti d'opposition de s'exprimer par rapport aux législatives en cours et les prochaines élections présidentielles.

Cette formation politique a affiché sa détermination à défendre fermement le respect de la constitution. « Tant que Mohéli n'aura pas exercé sa présidence tournante conformément à l'accord cadre de Fomboni, il n'y aura pas de stabilité dans ce pays », a estimé Saïd Larifou. Entouré de ses proches collaborateurs, il a annoncé le lancement officiel de la « consultation populaire et nationale pour une alternance démocratique aux Comores en mai 2010 ».

Cette initiative dont il avait déjà évoquée la finalité, il y a quelques jours au même endroit, consistera à recueillir par pétition des milliers de centaines de signatures favorables à ce changement de régime l'année prochaine. Certaines personnes ont déjà apposé leurs signatures sur ce document. « Nous tablons sur 200 000 signatures », a-t-il avancé. Une autre opération sera lancée parallèlement. Des bulletins de vote imprimés par les soins du parti seront distribués dans les villes et villages de l'archipel et les personnes intéressées auront à choisir par « oui » ou « non », si elles acceptent l'alternance en mai 2010.

Concernant les législatives en cours le leader du Ridja a déclaré la présence de certains candidats de son parti dans cette course vers le palais du peuple. « Le Ridja aura des candidats dans certaines circonscriptions et dans d'autres nous soutiendrons des candidats de l'opposition dont nous partageons le même combat », a-t-il fait savoir sans préciser le nombre de leurs candidatures. « Les militants du parti Ridja seront présents dans toutes les circonscriptions de l'archipel lors de la campagne électorale. La couleur rouge et verte du parti sera partout », a ajouté Me Larifou.

Le capitaine du parti Ridja s'est également exprimé sur d'autres sujets d'actualité notamment le mouvement de grève des pêcheurs dont son parti s'est déclaré « solidaire ». Mais également, sur la société Albalad qui a « annoncé son intention de procéder à des relevés nominatifs et informatisés des Comoriens ». « C'est pour quel objectif ? Où ont-ils obtenu l'autorisation pour cela ? En tout cas, nous ne tolérerons pas de tels actes », a-t-il déclaré ajoutant que le « Ridja portera cette affaire devant la justice qui tranchera ».

Abondant dans le même sens, il a exprimé « ses doutes » par rapport aux financements du journal Albalad, ce quotidien du groupe Comoro Gulf Holding distribué gratuitement dans l'archipel depuis plus d'un an. « Ils veulent tuer la presse locale », a-t-il plaidé. « Cela doit interpeller nos juges. Il y a une nécessité de mener une enquête pour savoir comment ils arrivent à tenir leurs engagements auprès de leurs partenaires », juge Larifou.

Cet avocat s'est aussi interrogé sur les fonds dits de la « citoyenneté économique ». « Nous voulons savoir l'identité de ces personnes qui obtiennent nos passeports. Qui collecte les fonds et où sont-ils versés ? Au trésor public ? Car en dehors de ce circuit, nous pouvons parler de détournement de deniers publics », a enchaîné l'avocat. Une série de questions qui restent sans réponses et dont le parti Ridja s'est engagé à les présenter devant les juges pour qu'ils tranchent.

S.A.
051109/sa/hzkpresse

 

« Ndé Zéhélé » : Listes Provisoires

Le 04/11/2009

Préfectures/Régions N° de la Circ. Candidats/suppléants

Anjouan

Sima 5

Ibrahim Ahamadi / Ahamed Nassor
Nourdine Fadhula / Mohamed Said Houmadi
Mouhamadi Boinali / Artadhu Mouchitadi
Salim Abasse / Chamssiddine Mouhoudhoir
Mohamed Djaffar M'soili / Sidi Maskati


Mutsamudu 6

Chamoussidine Ioussouf / Nourallah Combo
Abdou Sidi / Ibrahim Ahmadi
Youssouf Abdou / Roufouanti Houmadi
Mouhtar Elhad A. Salim / Attoumane Houmadi
Youssouf Miftahou / Ahamed Dine Combo
Sidi Bacar / Nabile Jaffar
Ahmed Mohamed / Daoud Toilha


Mutsamudu 7

Abdou Saïd Houmadi / El-Had Badrou Combo
Abdou Salami Abdou / Maoudjoudi Houmadi
Dhounouraine Ali Bacar / Said Ali Houmadi
Ahmed Djanffar / Ahmed Youssouf
Ali Ousseni Chafi / Youssouf Daoud


Ouani 8

Attoumane Allaoui / Attoumani Houmadi
Saidali Ahamadi / Mohamed Youssuf Houmadi
Mohamed Ahmed Ben Ali / Idrisse Malide


Ouani 9


Abdou Yssoufi / Toiliha Ahamadi
Mohamed Said/ Ali Attoumani Ibrahim
Soiffa Ousseni / Abdou Bamdou
Sadjadou Halidi / Attoumane Boili
Anli Attoumane Ismael / Zaidou Ahamadi


Domoni 10

Attoumane Issiaka / Mohamed Machitaka
Abdallah A. Abderemane /Ibrahim Abdoulwahid
Ahmed M. El-Amine / Issouf Papa Moirabou


Domoni 11

Amirddine Boura / Abdou Lavani
Moursoidi Massondi / Moustoifa Ahmed
Abdou Oili / Nassur Abdallah


Nioumakele 12

Said Ali Mahamoud/ Mohamed Bourhane
Mahamoud Attoumane / Attoumani Houmadi
Soumaila Haribou / Mohamed Bacar
Halidi A. Ibrahim / Hamidoune M'bouchi
Abibou Ben Mahamoud/ Jannette Sanadane
Ahmed Samir / Houmadi Bacar
Moussa Houmadi / Latufou M'soma


Nioumakele 13

Mohamed Soula / Aoussoine Soilihi
Kamal Issouf / Anueche Ahamadi
Nassimou Ahamadi / Daroueche Houmadi
Toihirdine Allaoui / Said Ali Riassa
Assane Houmadi / Antoy Ousseni
Zaza Djanffar / Nidhoimi Chadhouli
Maendhu Ahamad/ Soidikane Ahamadi


Grande comores

Moroni Nord 14

Ibrahim Mohamed Soulé / Youssouf Boinahéri
Ali Said Ridjali / Baraka Mmadi
Said Mohamed Habib/ Zalhata Mohamed
Soule Ali / Nourdine M'ze
Abdoulfatah Said Mohamed/ Sarah Said
Mahamoud Ali M. / Moinafatima Mohamed
Ali Mliva Youssouf / Jean Mone Ahmed
Said Chaehoi Soilihi / Maoulida Ben Ousseine


Moroni Sud 15

Hafsoita Hamada / Nourdine Ben Ahamad
Mouhssini Hassane / Said Ahmed Said Ali
Soilihi Mohamed Soilihi / Ibrahim Abdou Raz
Samra Bacar Kassim / Yacoub Mohamed
Mohamed Papa Mdjassiri / Mariama Hortensi Ali
Moilime Djoussouf / Mohamed M'ze Soilihi
Ahmed Moumini / Mohamed Abdallah
Tourqui Said Mohamed / Amina Mohamed
Djaffar E.S Ounkachat / Riadhi Said Ahmed


Bambao 16

Alhadhur Ali / Youssouf Ismael Mmadi
Youssouf Mohamed Boina / Soymata Minihaj
M'ze Madi Mariama / Ali Yamani Bakari
M'zé Mroivili Nassuri / Ahamada Andhumati
Abdou Assimakou / Youssouf Baboulou
Issa Ben Said / Kamardine Mohamed M'zé


Oichili- Dimani 17

Chatoi Abdou Mahamou / Hahim Abdoulfatah
Ahmed Mohamed / Ibrahim Mahamoud
Ahamada Ali / Assoumani Ali
DajéAhamada Chanfi / Mahamoud Ali
Ali Mohamed Ali / Hassani Zoubeiri
Soulé Mdahoma / Ahamada Halidi Ouledi
Ali Abdou Soimadou / Said Ali Mohamed
Said Ben Youssoufa / Younoussa Rachidi


Itsandra Nord 18

Yahaya Mohamed Ali Assa / Ahamada Hamadi
Naoufal Boina / Mohamed Moimba Youssouf
Ibrahim Ali Mchangama / Mohamed Madi
Mohamed Saleh Bin Ahmed/ Mohamed Said Charif
Hassani Ali Ngazi / Mohamed Abdou Ben Ayouba
Hamada Abdou Mbechezi / Ibrahim Ahamada Isslam
Hassani Mlanaoindrou / Youssouf Adam
Ahmed Ali Youssouf / Hassani Youssouf
Hassani Ii Ali Tabibou / Djoumoi Mohamed
Ali M'sa Idjihadi / Mohamed Ahamada Samada


Itsandra Sud 19

Mhamed Bakry Chakira / Ibouroi Said
Mohamed Ali Dia / Ali M'sa
Mohamed Said Ahmed/ Hassane Ben Ali
Aboubacari Charifou / Abderemane Charif
Said Ibrahim Fahami / Faroukou Yahya Boina
Allaoui Said Abasse / Said Mohamed Said Harouna
Hassani Ahamada Youssouf / Mohamed Rachid
Soule Said/ Faissoil Youssouf
Boinaidi Abdou Elghaniyou/ Soulaïmana Youssouf


Mitsamiouli-Moudé 20

Saadi Abdou Ahamada/ Ahmed Youssouf Islam
Ahamada Ali Mmadi / Mohamed Youssouf
Djaffar Mohamed Ahmed Mansoib/ Said Mdahoma
Hamdi Mohamed / Mohamed Adria
Said Mohamed Mchangama/ Hassani Ahamada
Said Mohamed Adamou/ Sudiki Ahamada
Mihidhoir Sagaf / Yousouf Mohamed Abdou
Said Abdou Djaé / Avouka Mchangama


Hambou 21

Ousseine Djoubeire/ Abdoul-Afour Said Islam
Souna Ali Imamou/ Ahamada Soule
Bourhane Hamidou / Boinahidy Abdallah Moussa
Ibrahim Souef Mdahoma/ Said Soilihi M'zé
Delapayre Jean Emile/ Abdou Nadjatte
Mchami Msaidie / Said Hamidou
Said Abdallah Salim/ Said Mohamed Ben Said Ali


Hamahamet-Mboinkou 22

Mohamed Ahmed Idi / Mikidachi Abdou
Ibrahim Ahmed/ Ahmed Toybou
Mbaé Ali Ahmed/ Chakour Hamada
Mohamed Ali Soilihi / Hassani Mouigni
Hamidou Bachirou / Abdou Omar Moengarié
Hamidou Karihila (Dr) / Said Ahamada Mohamed


Ngouengwé 23

Ibrahim Ali / Said Youssouf
Rihaoindro Saroumaya/ Keldi Said Ali M. Toihir
Mohamed Maoulida / Fatouma Djoumoi Soilihi
Said Mogni / Salim Said
Said Abdallah Abdou Elkarim/ Ali Mohamed Ibrahim
Ibrahima M. Sidi / Youssouf H. Saandi Kassim

Itsahidi 24

Omar Tamou / Abdallah Moumine
Abdillah Yahaya / Adiwane Ahmed
Ahamada Soilihi Mlatame /Banatti Rachidi
Abasse Saadi / Ahmed Soudjay
Mohamed Hassani / Soule Youssoufa


Mohéli

Dewa 1

Aboubacar Hassane / Attoumane Younoussa
Hamada Madi Ali / Ali Said Houmadi
Ahmed Daroumi / Abdallah Soidri
Zaouenti Imani Hilali / Abdou Tamadouni


Msoutrouni et Moimbassa 2

Abdallah Said Sarouma / Ben Mourchid Ahamada
Hadidja Mansourou / Hidayat Salim Madi
Said Ahmed Zaki / Soudjay Madi Mooi
Sitti Kassim Soufou / Mohamed Abdallah


Djando 3

Abdallah Ahamadi Attoumane / Matrafi H. Abdallah
Ali Issoufa Boina / Abacar Nomane
Djabir Abdou / Mohamed Mhoma Soilihi
Saindou Youssoufa Djabir / Abdou S.Toumani
Ambdi Madi Boina / Abdou Halidi Attoumane


Nioumachoi 4

Abdou Bacar Soihir / Nabouhane Ben M'sa
Bianrifi Tarmidhi / Andili Lieda
Loutfi Attoumane Ali / Chaanrane Bacar
Said Ali Dahalane / Abdou Latuf Madi Ali

La CENI

 

Lettre ouverte aux futurs Députés (1/2)

Le 04/11/2009

Hachim SAID HASSANE, Président de la fondation des Comores
Hachim SAID HASSANE, Président de la fondation des Comores 
Par Hachim Saïd Hassane
Président de la Fondation des Comores


Au nom de l'infiniment grand par essence et par excellence, maître de l'orient et de l'occident, du levant et du couchant et détenteur du meilleur logiciel.


PREMUM OMNIUM SALUS PATRIAE  << NDE NTSI RANGU >>

Cette célèbre expression latine, formulée par le plus illustre des français,  Charles de Gaulle, à l'endroit de Pierre Pflimlin, ancien président du conseil, doit être le fil conducteur de votre action politique, pendant toute la durée de votre législature.
Le 22 décembre 1974, après la signature des accords de juin 1973 à Paris, entre les autorités françaises et comoriennes, sur le futur de l'archipel , le peuple comorien s'est prononcé à plus de 96%, pour l'indépendance.

Une indépendance, mal préparée, mal négociée et fatalement mal acquise. Cette accession à la souveraineté internationale , a précipité le pays  dans les abysses du désespoir, du désenchantement, et de la désolation.
Depuis maintenant 34 ans, le navire Comores, sans boussole, sans véritable capitaine, et sans port d'attache, erre, tangue, navigue à vue et se trouve submergé par de lames de fond successives.
Notre bel archipel, pays béni par l'Auditent et l'omniscient, et parce que doté d'une nature généreuse et d'une << élite >> ( je pèse mes mots  , parce que comme on le dit souvent , l'intelligence des hommes, ne se mesure pas avec le degrés des diplômes obtenus . Et qu'on peut sortir de Azhar, de Normale Supérieure, d'Oxford, de Harvard et ou de West Point, tout en étant un pauvre débile avancé ) formée dans les grandes universités françaises , africaines , et arabes , mérite , et c'est vrai un autre destin.

Oui ! si le tout Puissant a fait de nous un peuple unit par la langue, l'histoire, la religion, la culture, les us, coutumes, et traditions et non un peuple aux mille et un tribus, c'est pour nous permettre de construire, un avenir radieux pour nos enfants, petits enfants , et pour l'histoire. Alors ! pourquoi tant de haines et de malheurs , dans un minuscule pays de 800.000 âmes (l'effectif de B.M.W , avec la sous-traitance) et 2061 kilomètres carrés de superficie  (l'équivalent d'une ferme en Australie ) ? La réponse est simple, claire comme  << bafuta ya thamanini >>. Tout simplement parce que, nous avons oublié ce que nous sommes avant tout.

C'est à dire des êtres musulmans, soumis à Dieu.
Le déni de justice, la perte et le reniement de la foi, le manque de patriotisme, l'absence d'autorité parentale, la démission de l' Etat, la privatisation de l'enseignement et de la santé , la montée en puissance dans toutes les couches et catégories sociales de l'alcool, de la drogue, de la prostitution, de la fornication,  du kawm luth, du lesbisme,  de l'inceste, de l'échangisme, de la pornographie, des maisons closes, du viol, du crime ,  du suicide , de l'autodestruction , de l'individualisme, de l'association ( fitina ) du mensonge, de la traîtrise, du vol, de la corruption, du népotisme, du clientélisme, du favoritisme, de l'anarchie, et du séparatisme, constituent le cancer, qui ronge les poumons d'une société comorienne, jadis musulmane. Voila les raisons qui expliquent par A+B, cette descente aux enfers. Par des agissements païens et immoraux, nous avons réussi à faire du peuple comorien, un grand blessé de la vie, au destin plus que jamais hypothéqué.
Oui ! la miséricorde est en colère contre nous et elle nous le fait savoir à sa manière.
Heureusement,  que la Providence écoute encore,  les prières et doléances de nos aïeux fondateurs de la nation comorienne.
Si une partie du monde ( le monde occidental, une partie du monde arabe ) nage dans le bonheur, et la joie de vivre, c'est parce que, le seigneur tout puissant, s'est engagé à faciliter la vie, des sociétés qui acceptent d'être gouvernées  par la balance, fussent-elles chrétiennes, juives, musulmanes, ou matérialistes ( Saint Coran ).
En toute vérité, les solutions à nos problèmes ne viendront jamais, d'une sébile qu'on promène à travers le monde, pour que chaque âme généreuse, verse un dirham, un dollar, un euro, un livre et ou un yen, mais de nous mêmes.

Nous sommes les artisans de nos propres malheurs, ce qui veut naturellement dire, que nous serons aussi   à condition de le vouloir les artisans, de notre propre délivrance. On a toujours laissé entendre, ce qui est vrai d'ailleurs, que la où il y a une volonté , il y a un chemin, et que le courage force l'obstacle, quand toutes les issues sont barrées. L'histoire de l'humanité nous a enseigné, qu'une crise peut entrainer heurts, malheurs, catastrophes, et désastres, mais aussi réveiller les consciences, l'audace, le talent, mais aussi l'esprit créatif. L'homme,  cette formidable machine de résistance et d'espérance, doit être au cœur de tous les chantiers de construction du pays. Exemple de résistance : Athènes, petite cité de la Grèce antique, qui a refusé de rendre l'âme , et qui a fini par triompher des ses  ennemis  démons et  barbares, pour donner naissance à la philosophie et à  la démocratie.

Mesdames, et Messieurs les futurs députés,

Pour vous livrer le fond de ma pensée, je pense comme l'immense majorité des comoriens , que le salut des Comores , passe par une seconde révolution, beaucoup plus féroce que la précédente. Et l'état de déliquescence, et de décrépitude totale, du pays et des individus le justifie plus que jamais.
Nous avons l'habitude de dire, ce qui n'est pas faux, que le sang comorien est un mélange de sang noir et arabe.
C'est à dire un parfait concentré d'huile de coco (mafura ya nazi ).
Et pour une  meilleur irrigation  de ce précieux liquide  dans les vaisseaux et artères  il faut une séance de préchauffage.
En attendant l'éclosion  certaine  Inch Allah,  de ce technicien chauffagiste sur la scène nationale, vous allez avoir la destinée des Comores, et des comoriens pendant 5 ans. Chaque député ( homme ou femme ) avant de pénétrer dans l'hémicycle doit en son âme et conscience, se poser  5 questions :

1- Qui suis je ?
2- Quel est le but de mon engagement en politique ?
3- Pourquoi j'ai été élu député et non mes challengers ?
4- Comment tenir mes engagements ?
5- Après la fin du mandat , quel bilan ?

C’est donc en essayant d'apporter de  vraies réponses, à de vraies questions, que le futur parlementaire, gagnera ses galons de héros de la nouvelle révolution comorienne. Vous aurez donc à choisir, entre devenir des dignes fils des Comores, ou les excréments du peuple. Dans un pays plongé dans un comma profond, où les indicateurs de tendance de la vie politique, économique et sociale , ont viré au rouge, et où le pronostic vital est engagé, il est du devoir de chaque élu, de tout faire pour devenir un acteur de la chose politique  et non un spectateur.
Car, notre pays s'il plait à Dieu, va certainement guérir, retrouver sa force et sa vitalité et ce jour là, le pays saura récompenser et honorer comme il se doit ses vrais enfants.

A New York, à la 64eme assemblée générale des nations-unies, le président Sambi, a fait une proposition de location de Mayotte à la France.
Une proposition qui fait encore de nous, la risée du monde. Pourquoi ? Parce que Mayotte n'est,  ni Hong Kong, Macao, Samoa  ou les Falklands. Un décret du gouvernement français de 1886, reconnait l'unité politique et administrative de l'archipel , composé de Grande-Comore, Anjouan, Mohéli et Mayotte.
Nous avons avec nous,  la force de la charte  de l'O.N.U, que la France a ratifié et en plus, nous avons le plus grand des soutiens, celui d'Allah, qui s'est engagé à apporter la liberté, à tout peuple qui se bat pour la libération de son sol ( Saint Coran ). On a donc  pas besoin d'être messie pour savoir et comprendre que la France, ne fera rien pour favoriser l'unité de l'archipel.

Bien au contraire, par l'intermédiaire des ses << djarssousses >> , elle déployera tous ses moyens, pour faire de l'archipel, un pays plus que jamais , divisé , déchiré, émietté, compartimenté comme un chapelet. L'intitulé du référendum du 22 décembre 1974 << consultation des populations des Comores >>, l'éclatement de la crise sécessionniste anjouanaise le 3 Août 1997 et la départementalisation au forceps de Mayotte le 17 Mai 2009 sont des preuves irréfutables pour les doux rêveurs, les brasseurs de vents et les tisseurs de cordes de fumée ( Mikabaya ya djossi ).
Et pourtant, s'il ya un pays au monde, où vivent et cohabitent plusieurs peuples, ethnies et tribus ( alsaciens , normands , vendéens , périgordiens , provençaux, niçois, sans oublier les ultra-marins : corses, martiniquais, guyanais, calédoniens, polynésiens , réunionnais etc.…) c'est bien la France.
Alors qu'il n'y a jamais eu, une consultation des populations de France. Le démembrement  de notre archipel est une opération voulue, organisée, conçue, ficelée et programmée en haut lieu.
Mais, Dieu est le meilleur de tous les stratèges. ( saint coran ).

C'est donc intelligemment qu'il faut agir, c'est à dire jouer sur la corde sensible.
En 1997, j'ai publié << le devoir d'être comorien >> , un hymne au patriotisme.
Un livre réflexion, sur la crise politique, institutionnelle et identitaire que traverse l'archipel, avant, pendant et après indépendance. J'ai essayé à travers cet ouvrage et par mon statut de français, d'appeler la France à la raison,  dans cette affaire Mahoraise.

J'ai même tiré la sonnette d'alarme avec mes deux bras, sur les risques de voir la France, par sa façon de faire et d'agir,  perdre sa place de choix , dans le cœur des Comoriens. Mon rôle aussi, en ma qualité d'observateur avisé  de la météorologie politique comorienne et française c'est d'essayer d'arrondir les angles, de lancer de ballons d'essai, de dresser des ponts et des parallèles  entre la France et les Comores.
Et pour preuve, les 577 députés français, les membres du gouvernement Jospin et le président Chirac, avaient  reçu chacun un exemplaire et gratuitement s'il vous plait.
J'ai repris l'idée,  d'une indépendance association avec la France, comme stipulé et non respecté dans les accords de juin 1973.
Pourquoi ? Parce que, nous sommes le seul pays ex-colonie française dont la moitié de la population et une partie du territoire sont français. Une première dans l'histoire de la décolonisation française, anglaise, espagnole etc..

Sans oublier, la présence sur le sol français, de plus de un quart des comoriens.
Ce qui fait de la communauté comorienne de France, la première communauté étrangère, proportionnellement à la population.
Une population respectueuse des lois de la république , de la France et des français et qui ne demande qu'une chose : s'intégrer au sein du tissu social.

Jai même rappelé à la France que les Comores  méritent  respect et considération.
Car, au moment où les autres peuples de la planète versaient le sang de la France, nous comoriens ,  nous avons su le préserver.

Aucune goûte de sang français , n'a été versé pour l'indépendance de l'archipel. Mais,  fidèle à son arrogance et ingratitude légendaires, qui lui font survoler les réalités du monde tel qu'il évolue aujourd'hui, la France a préféré camper sur ses certitudes. Aujourd'hui, et 12 ans après, la Chine par sa politique de coopération visible à l'œil nu  ( Palais du peuple, présidence, maison de la radio et de la télévision, aérogare, bâtiments administratifs etc...) et de respect mutuel, a fini par remplacer la France, dans le cœur des comoriens, suivi par les iraniens, les arabes , les américains etc. Et tant pis.

La France, parce qu'elle n'a pas su,  ou voulu  renvoyer l'ascenseur, entretenir l'amitié tissée, entre le décolonisateur Charles de Gaulle, l'Afrique et les Africains est en train de faire ses adieux à l'archipel  et à l'Afrique épaulés aujourd’hui,  par des alliés de poids et qui ont pour noms : mondialisation, globalisation et multipolarités. En vérité, il n' y a rien qui retient la France aux Comores. Les couleurs de la France ont même  disparu de la circulation.
Et bientôt, ça sera la langue, elle même. La France,  vient d'offrir dernièrement,  aux plus offrant son dernier parc immobilier et Monsieur l'Ambassadeur qui était propriétaire est devenu simplement simple locataire.

Une chose est aujourd'hui sûre et certaine, lorsque ces trois alliés de poids, finiront par faire de l'archipel, une vitrine économique et sociale, un exemple de développement, en un mot,  le lieu géométrique de l'océan indien, la  France à la demande de nos frères mahorais, se verra également dans l'obligation de leur adresser ses adieux. La  France doit savoir, que pour nous comoriens, Mayotte est notre ligne Maginot.

Le 17 juin 1889, le Sultan Hachim est mort assassiné, d'une décharge en pleine poitrine, pour avoir dit non à la France. C'est ce même non, que j'adresse à la France au sujet de Mayotte. J' ai épousé comme de millions de personnes la France, j'ai même accompli mon devoir de citoyen, avec en prime la médaille de la défense nationale française, du 4eme R.I.M.A ( régiment d'infanterie de marine ). Ce qui veut dire, que si par malheur, la France se trouve, attaquée  envahie ou menacée, je serais emmené à prendre les armes, pour défendre ses couleurs, son honneur et son intégrité physique.
Mais ,  mourir aussi pour les Comores , serait pour moi une très belle mort. Ce qui veut dire, que si un siècle et vingt ans plus tard, je dois connaître le même sort, que mon arrière, arrière grand père, eh bien qu'il en soit selon ta volonté ô toi Eternel. Nous avons tous en mémoire, l'histoire de l'Algérie qui a été pendant des années et des années un département français.

Quel est le statut international de ce pays aujourd'hui ?

C'est un pays indépendant, qui occupe la place qui est la sienne dans le concert des nations , et qui inspire crainte et respect à la France. Personne n'a oublié , la mémorable bataille internationale,  livrée avec brio et maestria, par le regretté et guide de la révolution. La France prise par le tournis et acculée jusqu'a ses derniers retranchements était à deux doigts de se fracasser le crâne  devant le mur comorien,  dressé par ce fin et redoutable stratège qu'était Mongozi.
La France,  devant la détermination d'Ali,  n'avait qu'un seul et unique choix : rétrocéder Mayotte,  ou commettre un génocide.
C'était,  la fameuse théorie de la viande pimentée,  inconsommable pour le rapace, l'aigle ou le vautour.

Et comment aussi oublier, l'uppercut << Ndaha  madji >> d'Abdallah, traité d'incapable, et qui a  mis K-O  debout la France, un certains 6 juillet 1975.

Qui a dit que les comoriens n'ont pas de couilles ?

Lire la suite …

 

Minibluff the card game

Hotels